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3,48

sur 104 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
L'amour sonne toujours deux fois

Préparez vos valises. L'eurostar vous attend. Direction Londres.
Vous allez accompagner Joachim dans une enquête qui lui tient à coeur.
Son père, un grand professeur de littérature française, a laissé à sa mort un carnet dans lequel il a jeté les premières esquisses d'un projet d'écriture sur les amours De Chateaubriand.
Un chapitre qui se résume à une question énigmatique dédiée à une sonneuse de cloches de l'abbaye de Westminster attire alors son attention.
Une jeune fille dont Chateaubriand évoquera le tintement d'un baiser dans ses "Mémoires d'outre-tombe " quelques décennies plus tard.

Les investigations de Joachim nous emmeneront dans les rues de Londres à la recherche de l'identité de cette mystérieuse sonneuse et nous permettront peut-être de savoir à quel point ce baiser qui résonne encore a pu embraser le coeur de l'écrivain...ou de manière beaucoup plus surprenante le sien ...

Un petit vent londonien rafraîchissant nous pousse à tourner les pages de ce roman qui pétille d'humour et de beaux sentiments. Une fiction originale, tour de passe-passe magique, qui n'hésite pas à solliciter l'imagination du lecteur pour donner à la réalité un air de légèreté revigorant.






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Au début des années 2000, un professeur de lettres meurt dans un hôpital où il a laissé un carnet de liaison avec son infirmière car il ne peut plus parler.
Ce n'est pas seulement un carnet de liaison car son fils Joachim découvre que son père travaillait sur le séjour qu'a effectué Chateaubriand , réfugié à Londres en 1793 pour échapper à la Terreur.
Il parle de la petite sonneuse de cloches de l'abbaye de Westminster et de son baiser furtif. Il est aussi question de cet épisode dans les Mémoires d'outre-tombe.
Joachim décide de continuer le travail de son père et part à Londres où il rencontre un ami de son père et s'aperçoit qu'une jeune bibliothécaire s'intéresse aux mêmes recherches que lui.
Certaines scènes sont étonnantes comme les sonneurs de cloches de Westminster à notre époque . le moment où Chateaubriand arrive à Londres en 1793, affublé d'une rage de dents est très colorée. Il arrive chez un dentiste très original qui le qualifie d'émigré. Et oui, il arrive d'une France en plein tumulte après tout, où les nobles et les nantis ont intérêt à disparaître pour quelques temps.
Ce détail de la vie De Chateaubriand m'a bien intéressée.
Le texte est remarquable, très harmonieux, admirablement exprimé, très original.
J'ai dû faire des efforts pour rester dans l'ambiance du livre mais c'est très personnel.
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A la mort de l'éminent professeur Joe J. Stockholm, son fils Joachim consulte le cahier qui permettait à son père de s'exprimer avec ses soignants. Il y trouve un projet de livre sur les amours cachées des grands écrivains. En se basant sur une phrase extraite des mémoires d'outre-tombeDe Chateaubriand, il tente de comprendre quelle a pu être la réalité d'une rencontre dans l'abbaye de Westminster : une petite sonneuse de cloche, un baiser.

Le voilà sur les traces de François-René de Chateaubriand lors de son premier séjour à Londres en 1793. L'écrivain voyageur a vingt-cinq ans et un long parcourt qui l'a mené jusqu'en Amérique. Comme tant d'autres nobles, il a fui la France de la terreur qui fait tomber les têtes à tout va. C'est un jeune homme fiévreux, fauché et mort de faim qui s'endort une nuit dans les allées glaciales de l'abbaye. Mais a-t-il réellement rencontré Violet, la petite sonneuse de cloche ?
Parti à la rencontre des sonneurs de cloche Joachim croise la route de la jeune Mirabel, bibliothécaire de son état.

Alternant ces deux époques et la quête des deux hommes, Jérôme Attal nous fait faire un double voyage dans le temps, aussi érudit que poétique. Avec d'une part Londres, sa saleté, son automne pluvieux, ses migrants arrivés de France, et d'autre part la situation politique française au 18e comme toile de fond à cette quête de l'amour rêvé. J'ai aimé parcourir les rues de Londres restituées avec un réalisme qui n'est jamais dénué d'humour, même dans les situations qui auraient pu être tragiques ou désespérées.
Lien : https://domiclire.wordpress...
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1793, le chevalier De Chateaubriand s'est exilé à Londres, comme nombre de ses concitoyens fuyant la terreur qui sévit en France. On le retrouve sans un sou, une dent de sagesse cariée l'amenant chez un « gentil dentiste » plein d'humour, qui évoque la méthode radicale qu'a récemment inventée le peuple de France pour les extractions dentaires. Sur les conseils avisés de l'homme de l'art, pour supporter un arrachage inévitable, Chateaubriand repense à la petite sonneuse de cloche qui lui a donné un doux baiser en l'abbaye de Westminster où il s'était assoupi.

À quelques siècles de là, Joachim, qui vient de perdre son père professeur de littérature, découvre au dos du cahier de correspondance destiné aux infirmières, des notes sur un prochain livre consacré aux amours De Chateaubriand, et plus précisément au fameux baiser, furtivement évoqué dans « Mémoires d'outre-tombe ». Il décide de se rendre outre manche pour tenter d'en savoir plus ce qui semblait ne pas être pour son père qu'un passage anodin dans l'oeuvre du célèbre écrivain.

Le récit alterne la quête de Joachim en territoire londonien, qui n'aura pas forcément pour lui le résultat escompté mais dans laquelle il rejoindra en quelque sorte le sujet de ses recherches, et celle du chevalier bien décidé à retrouver sa belle pour lui déclarer sa flamme.

J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur. le ton est léger, les situations souvent burlesques. L'écriture est superbe, d'une grande finesse humoristique, principalement dans l'évocation des péripéties d'un chevalier De Chateaubriand en recherche de reconnaissance et d'appuis financiers pour l'écriture d'une première oeuvre, qui passe cependant après son obsession pour la petite sonneuse de cloches.
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En hommage à son père décédé, Joachim se lance dans une quête, une investigation laissée en suspens par le célèbre professeur qu'était Joe J. Stockholm. Une question le tourmentait avant son décès : qui était la petite sonneuse de cloches dont Chateaubriand évoque le baiser dans ses « Mémoires d'outre-tombe » lors d'une brève nuit passée au coeur de l'abbaye de Westminster  ?

Jérôme Attal nous entraîne sur les traces De Chateaubriand, son quotidien en exil à Londres en 1793 fuyant la Terreur, ses espoirs et ambitions de devenir écrivain, se mêle au récit contemporain. Joachim cherche des réponses aux questions laissées par son père : cette jeune femme, si furtivement évoquée a-t-elle pu avoir une place plus importante dans le coeur de l'écrivain français ? Sous la forme d'une enquête, Joachim tente de rassembler des preuves et résoudre l'énigme mais il n'est pas le seul à être intéressé par les archives d'époque. Des rencontres haut en couleurs avec des sonneurs de cloches, une bibliothécaire récalcitrante et une jeune femme, Mirabel, qui fera chavirer son coeur. L'histoire est entrecroisée par l'aventure De Chateaubriand avec la jeune sonneuse de cloches, un présent est imaginé pour donner vie au récit.

J'ai passé un excellent moment, l'impression de découvrir un secret enfoui, la construction dédoublée du roman est passionnante et on brûle de connaître la suite. Malheureusement c'est à ce moment là que ça a coincé pour moi, arrivant aux dernières pages je ne pouvais croire que c'était (déjà) terminé, sans réponse. J'ai terminé ce livre avec une grande frustration, en espérant qu'il y aura une suite car ça le mérite !
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Treizième roman (le cinquième consécutif que Robert Lafont en quatre ans), « La petite sonneuse de cloches », de Jerôme Attal, nous amène sur les pas De Chateaubriand, à partir d'une simple phrase écrite par ce dernier dans ses « mémoires d'outre-tombe », au chapitre cinq du livre XII, et particulièrement sur une véritable histoire d'amour vécue par ce grand de la littérature française, nous faisant voyager dans le Londres infime (celui de ceux qui l'aiment).

Mais cette histoire d'amour du « coureur de jupons » qu'était Chateaubriand est l'occasion de lui mettre en parallèle celle de Joachim, le héros contemporain de l'ouvrage, dont l'existence-même et ses situations sont présentées en « jeu de miroir », avec celle du célèbre écrivain, à deux siècles de distances.
Bien au-delà de l'histoire, qui est surtout prétexte à parler de la quête du grand amour, c'est surtout le réalisme historique dont fait preuve Jérôme Attal qui fait la force de ce livre, ajouté, comme toujours chez cet auteur, le savoureux langage, fait de trouvailles originales et poétiques.

Note : 4/6 étoiles

(Critique disponible dans le dossier spécial grande rentrée littéraire 2019 - partie 2/2, du numéro d'octobre 2019 de "FemmeS du Monde magazine")
#LaPetiteSonneusedeCloches #JéromeAttal #RobertLafont #FemmeSduMondemagazine #ChristianEstevez
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Bonjour à toutes et à tous…

J'aime beaucoup le genre de roman qui mêle habilement réalité historique et fiction. Jérôme Attal se penche sur un véritable élément de la vie De Chateaubriand avec délicatesse, humour et romantisme en mélangeant avec aisance, une histoire ancienne à une histoire contemporaine par un habile jeu de miroirs.

“J'entendis le bruit d'un baiser, et la cloche tinta le point du jour”, est LA phrase tirée des “Mémoires d'Outre-tombe” qui va déclencher l'intrigue de ce récit. Une histoire d'amour méconnue De Chateaubriand, alors qu'il était en exil à Londres en 1793…

J'ai beaucoup aimé l'originalité et la crédibilité de l'immersion historique. Mais, après mon enthousiasme du début, lié à une idée de départ prometteuse, alors que tension et mystère disparaissaient pour céder la place à une intrigue romantique, peu à peu, j'ai décroché.
Il aura fallu que deux charmantes demoiselles, Mirabel et Violet viennent, par leur ton joyeux et déluré, me raccrocher au récit et susciter un nouvel intérêt.
Je garderai l'impression globale d'un bon livre, brillant, tant par son style d'écriture, que par la construction du récit, mais “La petite sonneuse de cloches” n'a pas pour moi, tenu toutes les promesses que son idée originale avait fait résonner en moi.

Néanmoins le récit de Jérôme reste un roman très agréable à lire.

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Extraits :
« En remontant les rues étroites de Soho, une puissante averse de grêle les surprend, tombe sur leurs épaules. Pour y échapper, ils courent en se tenant la main, insouciants, libres pour quelques heures. Comme elle est trempée, et qu'elle lui dit qu'elle ne peut pas rentrer chez elle dans cet état, il propose de la conduire chez lui pour se sécher, à deux pas, dans son grenier de Mary-le-Bone.
Elle accepte et reste à ses côtés bien après que la dernière flamme de la torche suspendue à la dernière maison du quartier ait rejoint l'enclos de la nuit. »

…/…

« Une fille habillée en soubrette prit notre vestiaire. Mirabel lui confia son manteau et sa pochette en carton sans que je sache ce qui était le plus imprudent des deux. Mon trouble décupla face au spectacle délicieux de ses épaules nues dans sa robe en lamé et de ses cheveux aux reflets or brun qui ruisselaient sur ses clavicules sous les lustres du couloir. Je lui dis que la couleur de ses yeux me faisait penser à l'un des anges du diptyque de Wilton, ou à tous les anges à la fois, dès le moment où son regard se porte sur moi. »
Lien : http://leressentidejeanpaul...
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L'idée de départ est originale : alors que son père Joe J Stockholm, spécialiste De Chateaubriand, vient de mourir, Joachim s'aperçoit que dans son dernier opus, il s'intéressait à une petite sonneuse de cloche.

Tout part d'une phrase dans les « Mémoires d'Outre-tombe » : « J'entendis le bruit d'un baiser, et la cloche tinta le point du jour ». S'agit-il d'une histoire d'amour méconnue De Chateaubriand, alors qu'il était en exil à Londres en 1793 ?

Joachim, aidé d'un ami de son père, qui croit que cette jeune fille n'existe pas, et qu'elle sort tout droit de l'imagination fertile du Chevalier, dont la vie sentimentale fût mouvementée. Il nous emmène donc sur les traces du grand homme, via l'Eurostar, et tente de refaire le parcours de François-René dans les rues de Londres de l'époque.

Tout commence par un rendez-vous chez le dentiste (le gentil dentiste dit-il) pour Chateaubriand, pour un arrachage de dent, avec en guise d'anesthésie une « ébauche d'hypnothérapie ». Il se rend ensuite à l'Abbaye de Westminster, où reposent des hommes célèbres, s'y laisse enfermer et un baiser le réveille.

On va ainsi alterner le parcours De Chateaubriand dans le Londres de l'époque, à la recherche de la jeune fille dont il pense être tombé amoureux et ses conditions de vie on ne peut plus précaires et celui de Joachim qui se lance sur ses traces, pour vérifier si la petite sonneuse de cloches existe vraiment.

J'ai choisi ce livre pour Chateaubriand, évidemment, et découvrir un petit secret dans sa vie, pourquoi pas ? Mais, déception car on a droit à une « historiette d'amour » dans histoire d'amour…

Dommage, car Jérôme Attal écrit vraiment très bien et son sujet était prometteur. J'ai lu, il y a longtemps, un livre sur les histoires d'amour du Chevalier, écrit par un autre spécialiste De Chateaubriand, alias Jean d'Ormesson, : « mon dernier rêve sera pour vous » qui m'a laissé un grand souvenir…

Il m'avait convaincue de lire « Les Mémoires d'Outre-tombe » qui trônent fièrement dans ma bibliothèque et que…. Je n'ai pas encore lues !

J'ai quand même passé un agréable moment de lecture, car la plume de l'auteur m'a plu. Jolie petite histoire. Et, la couverture est très jolie.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Robert Laffont qui m'ont permis de découvrir ce livre et son auteur.

#LaPetiteSonneuseDeCloches #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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1973, Chateaubriand, alors sans le sou et exilé à Londres, échange un baiser avec une petite sonneuse de cloches de l'abbaye de Westminster. de nos jours, Joachim perd son père, éminent professeur de littérature, dont les dernières notes portent sur l'énigme de cette petite sonneuse de cloches. Il décide de partir à Londres pour en savoir plus.

Avec "La petite sonneuse de cloches", Jérôme Attal nous offre une très jolie histoire qui mêle habilement passé et présent. le style de l'auteur est fluide, particulièrement agréable à lire, et les jeux de mots font mouche. Les passages retraçant la vie De Chateaubriand sont également soit très bien écrits soit très bien documentés tant ils paraissent réalistes.

En revanche, j'avoue être restée un peu sur ma faim en terminant le livre ... C'est très personnel, mais je n'aime pas les fins ouvertes. Et là, beaucoup de choses restent pour moi en suspens ou sans réponse.

Un très joli roman, très bien écrit, qui invite au voyage, que ce soit dans le temps ou vers la belle ville de Londres, mais dont la fin m'a un peu frustrée. Dommage ...
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« J'entendis le bruit d'un baiser, et la cloche tinta le point du jour. La sonneuse fut tout épouvantée lorsque je sortis avec elle par la porte du cloître. Je lui contai mon aventure; elle me dit qu'elle était venue remplir les fonctions de son père malade : nous ne parlâmes pas du baiser. » Une phrase, un petit, tout petit élément littéraire, quelques mots tirés de l'oeuvre de François-René de Chateaubriand (plus particulièrement Les Mémoires d'outre-tombe) ont suffi à Jérôme Attal pour déclencher l'écriture de la petite sonneuse de cloches. J'aime assez cette idée de partir d'un fait quasiment invisible, tel un fil que l'on tire, un tout petit événement qui déclenche par effet papillon toute une série de rencontres et d'aventures. C'est ce fameux baiser d'une sonneuse de cloches qui donne corps à ce roman.

Deux époques : celle à laquelle vécut Chateaubriand, à la fin du 18ème siècle, à Londres, alors en exil pour échapper à la période post révolutionnaire française. Il a un rêve, devenir écrivain, erre dans la capitale londonienne dans l'espoir d'échapper à sa condition miséreuse de l'époque et, par inadvertance, se retrouve enfermé dans l'abbaye de Westminster où il rencontrera quelques heures plus tard, cette petite sonneuse de cloches sont l'image le poursuivra des années durant, jusque dans l'écriture d'un de ses plus grands ouvrages Mémoires d'outre-tombe. Est-ce un rêve ? Est-ce la réalité ? Est-ce une vision, un spectre, une présence ? Ou réellement une rencontre emprunte du romantisme de l'époque ? Toutes ces interrogations seront le fil conducteur de ce livre.
Deuxième époque : Joachim Stockholm vient de perdre son père, éminent professeur qui, sa vie durant, a écrit de nombreux essais littéraires. Gravement malade et diminué, sur son lit d'hôpital, il griffonne dans un carnet ses dernières recherches. A sa mort, son fils retrouve cet énigmatique écrit et décide de partir sur les traces De Chateaubriand et de la mystérieuse petite sonneuse de cloches. Direction Londres où il sera accompagné par un ami de son père qui le guidera et le mènera jusque Westminter rencontrer la conservatrice du lieu afin de consulter les registres des sonneurs de cloches. Mais une bibliothécaire londonienne, intéressée, semble-t-il, par ces documents, les a subtilisés. Mais quel est son but ? Est-elle à la recherche de la sonneuse de cloches De Chateaubriand ? Poursuit-elle la même chose que Joachim ? Est-ce un hasard ? L'aventure continue pour le narrateur, que découvrira-t-il ?

L'intrigue est bien ficelée et, comme je le disais au début de ma critique, j'aime particulièrement lorsqu'un auteur s'empare d'un fait « insignifiant » pour créer une histoire qui se tient et lier des personnages les uns aux autres. Globalement, j'ai apprécié le style de l'auteur même si certaines phrases me paraissaient interminables, l'écriture reste fluide et agréable. Autre petit bémol, mon attente était peut-être trop forte par rapport à la quatrième de couverture, par conséquent j'ai été un peu déçue, je m'attendais peut-être à un peu plus de rebondissements, de secrets, de mystères. Quoiqu'il en soit, merci à Babelio et aux éditions Robert Laffont, pour ce bon moment de lecture.
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