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sur 532 notes
Stefania Auci est une romancière née en Sicile à Trapani mais palermitaine de coeur. Après des études de droit, elle travaille quelques temps dans un cabinet juridique avant de devenir enseignante. Elle vit aujourd'hui de l'écriture.
« Les lions de Sicile » (I leoni di Sicilia), le premier tome de la saga de la famille Florio, a été écrit en 2019 et traduit en 2021. Ce livre a remporté beaucoup de succès.
En 1799, Paolo et Ignazio quittent leur Calabre natale pour aller à Palerme en Sicile. Ils veulent devenir des personnalités puissantes de la ville. A force d'obstination et de travail, ils se lancent dans le commerce des épices. Vont-ils arriver à atteindre le but qu'ils se sont fixé ?
Ce roman historique nous conte, de l'année 1799 à 1868, la vie de la famille Florio qui a vraiment existé. On y suit trois générations qui essayent de réussir dans le domaine des affaires en faisant divers commerces (épices, marsala, thon…). Avant chaque chapitre, on trouve un exposé historique sur la période qui va être abordée. On y parle de la condition des femmes et de la rivalité entre bourgeoisie et noblesse.
J'ai adoré ce premier tome et j'ai hâte de lire la suite.
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Je me suis fortement ennuyée à lire ce pavé. J'ai manqué le laisser de coté plusieurs fois & pourtant il avait été loué en groupe de lecture

Aucun élan romanesque, tout est linéaire, on a l impression de lire un journal écrit derrière la caisse de l herboristerie familiale à Palerme

Le sujet était intéressant, je ne connais pas l histoire de la Sicile mais je ne lirai pas les tomes suivants; pour en savoir plus je suis allée simplement sur Wikipédia

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En 1799, un tremblement de terre touche durement – une fois de plus – la bourgade de Pietraliscia (en Calabre) où vivent Paolo Florio, sa femme Giuseppina (et leur bébé Vincenzo) son frère cadet Ignazio ainsi que Vittoria, la fille (orpheline) de leur défunt frère ainé, Francisco. Les frères Florio ont également perdu leurs deux parents dans le précédent séisme de 1783. Leur soeur Mattia a épousé Paolo Barbaro et vit dans la ville voisine de Bagnara avec leurs deux enfants (Raffaele et Anna).

Ne voyant pas l'avenir d'un bon oeil, Paolo et Ignazio Florio vont partir s'installer à Palerme (en Sicile) où ils possèdent un magasin d'épices avec leur associé (et beau-frère) Paolo Barbaro, resté à Bagnara avec sa famille. Mais la déception sera immense à l'arrivée devant la décrépitude du commerce ! Et il faudra travailler sans répit et se battre bec et ongles afin de parvenir à se faire une place au soleil sicilien ! …

D'octobre 1799 à septembre 1868 (soit plus d'un demi siècle) l'auteure nous invite à suivre les aventures (heureuses ou pas …) des frères Florio et de leurs proches, puis de leur descendance (les trois enfants de Vincenzo et de son épouse Giulia : Angelina, Giuseppina et Ignazio « le jeune »)

Un enrichissant et captivant roman de 620 pages, à l'intrigue foisonnante, qui donne envie de poursuivre avec la lecture du second volet (« le triomphe des Lions »)
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Le résumé de ce roman m'avait beaucoup attirée car j'apprécie les romans historiques.
Mais quelle déception ! Je n'ai pas réussi à aller au bout de cette lecture. J'ai pourtant essayé, je me suis forcée à avancer encore et encore. Mais quand la lecture n'apporte aucun plaisir il faut se rendre à l'évidence : l'abandon est la meilleure solution !
Le style n'est vraiment pas à mon goût. Cela manque de fluidité et le rythme n'est pas le bon... l'auteur nous fait des descriptions avec des phrases très courtes - à mon humble avis ce rythme est plus adapté à l'action - et cela devient un peu pénible à la longue. de plus cela manque totalement de vie et de chaleur. Cette histoire est racontée froidement et je n'ai absolument rien ressenti pour les personnages ; ils sont fades et sans âmes.
Je ne comprends pas trop comment ce roman a pu rencontrer un tel succès... j'ai du passer à côté de quelque chose... (ou pas... 😊)
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Quelle déception que ce roman, pourtant annoncé comme un "phénomène littéraire", preuve que la notion est pour le moins galvaudée ! le style est pauvre, la narration bâclée et sans charme aucun. Il en aurait pourtant fallu pour me faire aimer les personnages, qui sont pour la plupart assez antipathiques de surcroît. Reste le plaisir de lire un récit ayant pour toile de fond le sud de l'Italie, et les repères historiques qu'il donne. Cela ne suffira cependant pas à me donner envie de lire le tome 2...
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Quel plaisir de se plonger dans cette saga à la fois familiale mais aussi historique. de Calabre à Palerme, de soulèvement en révolution, de naissance en mariage, cette fresque est aussi envoûtante que l'est Palerme!
J'avais envie de ne pas terminer ce roman… une des critiques de Babelio évoquait un second tome… je l'attends depuis avec une patience réjouie!
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Comme c'est douloureux de devoir rédiger une critique où le moins contrebalance le plus et l'agacement vient menacer l'enthousiasme. L'histoire est intéressante, le style n'est pas désagréable, le parcours des personnages remarquable et pourtant 100 pages avant la fin je n'en pouvais plus, gavé que j'étais de ces archétypes, de ces héros intransigeants et si peu humains que leur réussite ne provoque aucune envie.
En mai est sorti 'L'inverno dei Leoni' non encore traduit en français et qui raconte la chute cette fois di Casa Florio. Peut-être qu'un peu d'humilité sortira cette fois de la prose de Stefania Auci...?
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Un roman qui se situe dans une période extrêmement bien décrite (notamment les premières pages de chaque partie redonne le contexte historique) ce qui est intéressant. Des personnages auxquels on ne s'attache pas vraiment mais qui sont, chacun à leur manière, bien campés. On voit parfaitement les différentes "classes" (noblesse, bourgeoisie, hommes de peine...) et la difficulté de s'intégrer dans une société très cloisonnée. Alors, oui, cette histoire est intéressante, L Histoire avec un grand H est très bien décrite, et on n'a aucun mal à aller jusqu'au bout. Cependant il s'agit d'une saga de plusieurs tomes et j'avoue que je ne pense pas lire la suite, de peur de finir par m'ennuyer... Il manque, en effet, un peu de rythme pour que cela puisse tenir en haleine sur la longueur.
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Je viens juste de terminer la saga des Cazalet et je crois que cette lecture a une influence considérable sur la critique que je m'apprête à rédiger sur les Florio. La barre est placée bien haut et j'ai donc eu un peu trop d'attentes vis à vis de cette nouvelle saga.
Nous sommes cette fois en Italie en 1799 et après un nouveau tremblement de terre en Calabre, Paolo, sa femme Giuseppina, son fils Vincenzo et enfin le frère de Paolo Ignazio décident de partir s'installer en Sicile.
Les portes de Palerme et de ses habitants ne s'ouvrent pas facilement pour ces nouveaux arrivants : la bourgeoisie et la vieille noblesse sont plein de mépris pour ces personnes, certes travailleuses, mais qui gagnent leur vie à la sueur de leur front.
Paolo est plein d'ambition, prêt à tout pour réussir, quitte à oublier un peu sa femme. Rivalités professionnelles et amoureuses ponctuent la vie de Paolo et de son frère Ignazio.
Une lecture plaisante, bien documentée historiquement (notamment avec des rappels éclairant la situation européenne, italienne et sicilienne en début de partie) mais des personnages que j'ai trouvé relativement froids et peu accessibles... Ce n'est pas une atmosphère "cosy" comme chez les Cazalet ;)
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J'ai adoré me plonger dans cette saga familiale que je n'aurai peut-être pas découvert sans ma participation aux jurys de lecteurs du Livre de Poche.
J'ai adoré suivre ces deux frères calabrais partis de rien, mais animés d'une féroce volonté.
J'ai adoré voir leur évolution et leur adaptation sans cette Sicile pas toujours accueillante tant au niveau des hommes que de la nature.
J'ai adoré découvrir et me balader dans une Palerme riche, puissante, vivante, colorée, animée, grouillante et odorante.
J'ai adoré voir les générations suivantes continuer avec une volonté acharnée l'oeuvre entreprise par leurs aînés.
Vous l'aurez compris, j'ai adoré cette saga et j'ai hâte d'Ivoire entre mes mains le tome 2.
Mes sentiments :
+ Histoire romanesque. Il y a beaucoup de détails historiques, c'est très documenté et riche à ce niveau, mais c'est aussi romancé
+ J'ai beaucoup aimé Ignacio. Cet homme travailleur, intelligent, sensible et humain
+ L'amour que porte Ignacio à son neveu Vincenzo
+ J'ai appris à apprécier Vincenzo à travers sa femme Giulia. Une femme au caractère étonnant et détonnant pour l'époque
+ L'auteure nous interroge sur la condition des femmes à cette époque
+ de même, l'auteur nous interroge sur les conditions sociales et la réussite. Les Florio ne seront-ils que des "parvenus" malgré leur réussite ? Feront-ils un jour le poids face aux "sang-bleu" ?
+ le second Ignacio qui me paraît prometteur...Hâte de lire la suite pour si mon intuition est juste
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