Hector réintégra la maison paternelle en 1811. Le docteur (son père) entreprit son éducation. Avec une patience infatigable, un soin minutieux et intelligent, il fut un maître de langues, de littérature, d'histoire, de géographie et même de musique. La bibliothèque paternelle était assez bien garnie. Hector y appris pêle-mêle ce qui le passionnait et négligea le reste. Il fut en somme un autodidacte guidé par un homme cultivé.
Claude Ballif : A cor et à cri, opus 39 - première audition