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« Alto braco》, le « haut lieu》en Occitan, l'ancien nom du plateau de l'Aubrac. Un nom mystérieux et âpre, à l'image des paysages que Brune traverse en venant y enterrer Douce, sa grand-mère.
Après la mort de sa mère, elle a grandi à Paris, au-dessus du Catulle, le bistrot tenu par Douce et sa soeur, Granita, qui vont l'élever.
Au fur et à mesure du roman, on va découvrir la vie de ses tantes, son enfance, la vie de son père et les secrets de famille.
Brune va se familiariser avec cette région et découvrir l'élevage et les différentes façons dont sont nourris les veaux. Comment la viande part en Italie. Elle va s'attacher à cette terre sauvage.
Un livre qui rend hommage à l'Aubrac et dont l'écriture est enveloppant et chaude. On s'attache au personnage de Brune qui est à la recherche de ses racines.
Un livre qui m'a donné envie de lire ses deux autres romans.
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Savourer un aligot accompagné de viande d'Aubrac, arrosé d'un verre de Marcillac et suivi d'un morceau de Laguiole, ça vous tente ? Alors attablez-vous devant ce roman proposé comme un repas complet. Entrée, plat, dessert, vin compris pour 19 euros, vraiment pas cher pour bien manger !
Pour découvrir ce menu, il faut suivre Brune, une jeune femme issue de la "bistrocratie" auvergnate régnant sur Paris, qui retourne sur la terre de ses ancêtres afin d'y inhumer sa grand-mère. Sous la protection de Granita, sa grand-tante, elle (re)découvre ses véritables origines et le pays d'Aubrac qu'elle ne connaît que peu pour n'y avoir passé que quelques semaines pendant les vacances d'été quand elle était enfant. Vingt trois ans qu'elle n'y avait pas mis les pieds !
En leur compagnie, cette balade sur un plateau d'altitude blanc l'hiver, vert l'été - à la fois aveyronnais , cantalou et lozérien - entraîne le lecteur à la découverte d'une région riche en traditions et en produits de terroirs, notamment sa vache aux yeux noirs, belle et fière, qui règne depuis plusieurs siècles sur les pâturages d'Aubrac. 
J'y ai passé un agréable moment même si la cuisine proposée par Vanessa Bamberger m'a parue un poil trop bourrative. Son côté parfois fort didactique , surtout en ce qui concerne la vacherie, m'a gênée même si son propos est extrêmement intéressant. Ses révélations peu appétissantes sur l'élevage bovin m'ont trop pesé sur l'estomac pour me permettre d'atteindre les sommets de gourmandise littéraire que j'attendais.
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J'ai beaucoup aimé ce roman qui célèbre la terre mythique de l'Aubrac et ses habitants que l'auteur décrit avec une vérité quelquefois redoutable. Ces hautes terres sont tellement prenantes, à toutes les saisons, par presque tous les temps, tous les vents, et l'auteur en a saisi l'âpreté et la dimension.

L'histoire en elle-même est très classique et si l'on se perd un peu dans les parentés, biologiques ou non, de cette famille, on a deux personnalités très attachantes, les deux grands-mères de Rose, la narratrice.

Celle-ci découvre, le plateau, les Aveyronnais et les Lozériens, leurs mentalités, leurs contradictions et leurs mystères, leur unité lorsqu'ils se sentent agressés. Elle découvre le passé de sa famille au fil des pages; bien sûr, c'est un peu eau de rose, et alors?

Les descriptions des éléments de l'Aubrac, ciel, eau, vent, lacs, neige, vaches et taureaux m'ont paru finement élaborées et d'une précision très bien documentée. Ainsi, la couleur noire des truites du Bès, les rochers tombés du ciel, le maquillage bien connu des vaches, tout l'ensemble est très bien rendu. Les lieux ne sont pas en reste qu'il s'agisse du lac de Saint-Andéol, du taureau de Laguiole, de la domerie d'Aubrac ou de l'église de Nasbinals, pure merveille de l'art roman.

Les vaches tiennent une place de choix avec des considérations agricoles que tout le monde peut ne pas partager qui contiennent plusieurs vérités. elles sont aussi les héroïnes de ce roman car, sans ses vaches, l'Aubrac serait dépouillé d'âmes qui animent tout le plateau dès la Pentecôte, par leur présence, leur mouvement, le son de leurs clarines.

Et puis, j'ai trouvé certains passages magnifiques, anthologiques s'il en est, comme la description des deux soeurs photographiées dans leur adolescence, l'auteur détaillant leurs personnalités dans leurs attitudes et regards.

Enfin, ce paragraphe final sur les deux reines attendant le verdict de Rose sur leurs galettes des rois.

Un beau texte pour tous les amoureux de l'Alto Braco.
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un récit intéressant tant pour l'Aubrac que sur le plan de la famille.
De fil en aiguille, Brune va découvrir la face cachée de sa naissance. En commençant par sa grand-mère, puis sa mère et enfin son père.
Le ton manque de fluidité, ça reste trop stricte, l'Aubrac, malgré sa rudesse est une terre de poésie , et elle fait défaut ici dans ce récit à mon goût.
On y apprend sur les filières de l'élevage, et ce n'est pas toujours joli joli.
On découvre des histoires de clochers, de familles, des traditions ancestrales, pour cela c'est enrichissant.
Vite lu, j'ai aimé retrouver l'Aveyron mais sans plus.
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Avis mitigé pour ce roman.

Brune Alazard est une jeune parisienne qui dirige une crèche, elle a été élevée par sa grand-mère et sa grand-tante. Celles-ci étaient propriétaires d'un café-restaurant dans le 17 ème arrondissement et originaires d'Aubrac. A la mort de sa grand-mère, Brune s'interroge sur ses origines, sur l'importance de la région natale, sur la transmission, l'hérédité... Elle va retourner à Laguiole, Lacalm et Nasbinals, à la recherche de sa famille et y découvrir plusieurs secrets de famille. Parallèlement à l'histoire de Brune, on apprend aussi énormément de choses sur les conditions d'élevage des vaches Salers et Aubrac.
Ce qui m'a un peu gênée, c'est le côté reportage journalistique, très documenté, on n'est plus dans un roman et cela fait un peu artificiel.
Je trouve que Marie-Hélène Lafon parle beaucoup mieux de l'Aubrac que Vanessa Bamberger, mais c'est juste mon avis !
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[ Racines ]

Un roman sur l'Aubrac...
L'Aubrac, ce pays de ma mythologie familiale.
L'Aubrac, cette terre où l'on crevait de faim tant les hivers y était rudes.
L'Aubrac, ce plateau que mes aïeux ont dû quitter pour tenter de vivre mieux.
Ce livre m'était destiné, j'avais hâte de m'y plonger.

Vanessa Bamberger raconte cette région à travers le destin des soeurs Rigal.
Douce et Granita ont comme tant d'autres quitté leur pays pour la capitale et en bonnes aveyronnaises passé leur vie à bosser dans leur café parisien.
Du matin au soir derrière le comptoir du Catulle, à servir à boire, à faire à manger. Travailler, toujours travailler, ne jamais avoir « la cagne ».
Dans ce bistrot, elles ont élevé leur petite fille, Brune.
Brune à deux grands-mères. C'est rare. C'est même impossible. Mais quand on a plus de mère, deux grands-mères ce n'est pas de trop. Deux grands-mères avec un sacré caractère, radicalement différentes mais indissociables.
L'Aubrac natal est loin, Brune la parisienne y a passé ses vacances jusqu'à 15 ans et puis plus rien.
Quand Douce meurt, Brune respecte son désir d'être inhumée sur ses terres. Accompagnée de Granita, elle va redécouvrir ce plateau, cette terre d'éleveur et les secrets bien cachés de la famille Rigal.

On lit avec ce que l'on est et la fille d'agriculteur que je suis n'est surement pas la lectrice idéale pour cette histoire.
Brune est Parisienne, le monde agricole lui est inconnu et les problèmes de l'élevage moderne tout autant. A travers les secrets des soeurs Rigal, l'auteur parle longuement des difficultés et des questionnements (pratiques et éthiques) de la filière viande. le bio, les marchés étrangers, la mutation génétique des troupeaux, les labels, les terres que l'on se jalouse entre voisins, etc…. : très intéressant et sans doute original quand on est loin de tout ça mais terriblement familier quand on est de la campagne. du coup, une petite impression de déjà vu (limite folklore) ne m'a pas lâché.

Alto Braco n'en reste pas moins un hommage vibrant à une région, un roman sur la transmission , sur ce que l'on porte en soi sans le savoir, sur l'importance des racines.
Douce et Granita sont deux personnages très attachants et cette histoire, à laquelle je reproche deux trois bricoles, est cependant très agréable, sensible, profondément humaine et a le mérite de nous rappeler que le travail de la terre a encore un sens.
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Brune a été élevée par Douce et Annie, deux soeurs, Douce est sa grand-mère. Après la mort de sa mère, elle a été recueillie par sa grand-mère, ne voyant son père que rarement. Ils vivaient tous en région parisienne mais leurs racines étaient celles de l'Aubrac. Une région que Brune n'a connu que très jeune lorsqu'à l'époque elle allait chez des cousins en vacances.

Aujourd'hui, Brune a 38 ans, elle est directrice de crèche, sa grand-mère vient de mourir. Elle est enterrée sur sa terre natale selon sa dernière volonté. C'est donc un retour timide qui se fait sur la Plateau d'Aubrac, dans cette famille mal connue, retour vers un père qui à la mort de ses parents a repris leur ferme. La découverte d'une culture, d'un territoire, de la cuisine, chaque chapitre est une partie d'un repas, tout commence avec la mise en bouche.

Avec Brune nous allons au fil des pages rencontrer la famille, les cousins, le père, entendre des vérités bien cachées, les langues se délient, on dépoussière les mémoires pour faire ressurgir les secrets bien gardés. Jusqu'à la fin, alors que nous pensions tout savoir enfin, eh bien non, ce n'est pas tout, tu ne savais pas, personne osait encore le dire mais ....

Tout un voyage dans le temps et dans cette magnifique région de l'Aubrac. Ce roman est un très bel hymne à cette région, au monde paysan. C'est aussi une histoire de femmes, de ces femmes qui comme dans bien d'autres régions de France et du monde, femmes de marins ..... ont donné de leur vie pour tenter de vivre une vie décente, de réaliser leurs possibles. Si elles ont un peu des grands-mères de l'auteure, tout en restant personnages de fiction, elle me rappelle, avec beaucoup d'émotion aussi mes deux " grands-mère ", deux soeurs, Tante guite et grand mère, tout un sujet de roman aussi....Enfin une autre histoire.

Un très beau portrait de femmes tout en surprise, humour et délicatesse, merci Vanessa Bamberger et les éditions Liana Levi.

Prix Arverne 2019
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"Il me semblait que le sentiment d'appartenance n'était qu'une construction de l'esprit, une histoire qu'on se raconte à soi-même. Je voulais bien croire à l'influence de l'environnement sur le corps et le mental, admettre que le pays de mes grand-mères les avait façonnées, faites dures comme le granit glacé, tranchantes comme le basalte, mais elles n'étaient pas nées ainsi".

Après un premier roman, Principe de suspension qui explorait le milieu des petits patrons d'industrie et les arcanes du couple, Vanessa Bamberger nous emmène sur le plateau d'Aubrac, terre d'élevage, de coutellerie et d'origine de nombre de bistrotiers de la capitale. Un voyage aussi rude que les paysages d'Aubrac avec au centre, la question des origines et de la transmission. Une terre peut-elle être inscrite dans nos gènes ?

Brune, la narratrice, n'y croit pas un instant. Elevée par sa grand-mère maternelle, Douce et la soeur de celle-ci, Granita, elle n'a aucun souvenir de l'Aubrac où elle passait pourtant ses vacances d'été lorsqu'elle était enfant. Pire, elle a la phobie des couteaux et ne supporte pas la viande rouge. Elle a toujours vécu à Paris, auprès des deux femmes qui semblaient très détachées de leur terre d'origine, dans l'appartement au-dessus du bistrot dont elles étaient propriétaires. Adulte, Brune ne s'est éloignée d'elles que de quelques rues. A la mort de Douce qui souhaitait être enterrée à Lacalm, le voyage en Aubrac va s'avérer riche en découvertes : une région, une famille, quelques secrets et quelque chose qui pourrait ressembler à un sentiment d'appartenance. Oui. Mais pas si simple...

Dans ce roman, le premier personnage est sans conteste l'Aubrac. Les paysages sortent du cadre de la page, les ciels engloutissent le lecteur projeté dans cet environnement minéral et décoiffé par l'écir, qui souffle sur le plateau où les vaches paissent tranquillement. Comment ne pas imaginer que cette terre façonne les hommes qui en sont issus ? L'auteure nous offre une vision à 360 degrés et parvient à faire ressentir la rudesse d'un territoire mais surtout ce qui le constitue. Ce lien charnel qui unit vaches et pâturages, au point qu'il se murmure que "sur l'Aubrac, les vaches étaient plus précieuses que les êtres humains". On s'amuse en cheminant dans le récit, du parallèle que ne peut s'empêcher de faire Brune entre les femmes et les vaches. Son prénom et celui de sa grand-mère ne sont-ils pas d'ailleurs des noms donnés aux vaches ? Mais on en apprend beaucoup sur cet univers de la production de viande, soumis à des conflits de générations entre tenants de la tradition et partisans du bio. La confrontation entre les idées des citadins et les réalités du terrain contribue à montrer la complexité de ces sujets. Et puis que serait un terroir sans ses plats ? La cuisine, les saveurs, les fumets, omniprésents dans la narration, disent l'importance des papilles dans la transmission.

Ceci dit, Alto Braco est aussi une jolie déclaration d'amour à ces deux femmes, personnages directement inspirés de la famille de l'auteure. En démêlant la pelote des fils enchevêtrés de l'histoire de sa famille, en découvrant peu à peu des réponses à des questions dont elle n'avait jamais eu conscience jusqu'à ce jour, Brune ne se défait jamais de l'amour immense qui caractérise sa relation avec ses "deux grands-mères". Comme dans son précédent roman, le coeur et la raison se renvoient la balle, et le coeur gagne, lui qui saigne de la perte de ceux qui nous sont chers et conserve intact le souvenir de l'amour échangé.

Un roman dense, intelligent et imagé, qui dit avec force et sensibilité l'importance de la connaissance de son histoire, sans laquelle on n'est jamais tout à fait complet.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Brune est petite-fille de bistrotières, de ces aveyronnais qui ont un jour quitté leurs terres pour conquérir Paris derrière un zinc. Et aujourd'hui, Douce, sa grand-mère est morte. Avec la soeur de celle-ci, sa grande-tante Annie, dite Granita, elle va retourner en Aubrac pour enterrer celle qui l'a élevée. Dans une terre qu'elle ne connait pas et où pourtant se logent ses racines.

Ce roman me laisse un sentiment mitigé. J'ai bien apprécié cette incursion en Aubrac, avec ses éleveurs de bovins. Les informations distillées tout au long du récit sur l'élevage, les races, la filière viande... étaient intéressantes et point de départ de plusieurs réflexions. J'ai bien aimé également l'aspect du roman qui se penche plus sur les racines des êtres, l'héréditaire par rapport à l'acquis, l'appartenance à une terre ou à une histoire. Mais j'ai eu un peu de mal à faire le pont entre les deux approches.
C'est sans doute la raison pour laquelle je ne suis pas vraiment entrée en empathie avec Brune et je ne m'y suis pas attachée. J'ai finalement lu ce livre sans beaucoup d'émotion, avec un regard parfois presque clinique des événements. Par moment, alors que le récit est relativement court et que le nombre de personnages n'est pas excessif, je mélangeais les protagonistes masculins.

Bref, une lecture pas désagréable mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable alors que j'en attendais beaucoup, peut-être trop.
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Un premier roman très réussi "Principe de Suspension", une première rencontre chaleureuse avec l'auteure, Vanessa Bamberger, c'était en 2017. Puis une deuxième rencontre, l'année dernière à la Comédie du Livre à Montpellier, tout aussi chaleureuse et la dédicace de son deuxième roman "Alto Braco". Les jours ont filé et pendant tout ce temps, il m'a attendu. Voilà, je l'ai enfin lu, il confirme haut la main le grand talent de la romancière.

Brune, Parisienne, directrice de crèche retourne en Aubrac pour les obsèques de Douce, sa grand-mère, propriétaire d'un café parisien, et qu'elle ramène sur ses terres originelles. Douce, à la beauté transcendée par une écriture fabuleuse, Douce qui "…avait emporté son pays sur son visage. Son front bombé, une prairie éclaboussée de lumière, ses dents blanches, des pétales de narcisse du poète, sa fossette au menton, une combe, son corps long et délié, la rencontre d'un chemin pierreux et d'un cours d'eau." Annie, la soeur de Douce, est là aussi, que l'on appelle plutôt "Granita". Loin de moi, l'idée d'entrer plus avant dans l'histoire. Un roman comme celui-ci se mérite. Il a besoin d'être découvert, pas à pas, d'être savouré, il a besoin de se dévoiler lentement.

A la manière d'un repas avec mise en bouche, hors d'oeuvre, viandes et entremets l'auteur nous raconte une histoire, véritablement romanesque entre secrets de famille et personnages hauts en couleur. Parmi ces derniers, le plateau dont le nom vient de l'occitan "Alto Braco", Braco, comme la boue, la tourbe dont est fait le sol, souvent détrempé par les pluies froides, sa beauté, sa rudesse, ses vaches et ses couteaux. Car les vaches prennent une place considérable dans le récit, sans que pour autant, il ne soit jamais ennuyeux. C'est un bel hommage, sensible et émouvant que Vanessa Bamberger rend à cette terre rude et à ses occupants, aux éleveurs, aux couteliers. On sent derrière ses mots un amour inconsidéré pour la région de ses aïeux. Et, je ne parle pas de l'allusion à l'impact éventuel de l'environnement sur nos gènes, question fort intéressante liée à l'épigénétique.

En un mot, j'ai adoré ce deuxième roman de Vanessa Bamberger, pour la forme, le fond, la merveilleuse écriture, et la force avec laquelle elle nous démontre que se connaître est indispensable pour bien vivre.

Lien : https://memo-emoi.fr
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