AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Océan mer (189)

peut-être que le monde est une blessure et quelqu'un en ce moment la recoud...
Commenter  J’apprécie          60
C'est une belle manière de se perdre, que de se perdre dans les bras l'un de l'autre.
Commenter  J’apprécie          60
Pourquoi les choses ne deviennent-elles vraies que sous la morsure du désespoir? Qui a fait le monde ainsi, que la vérité doive se tenir dans la part obscure, et que les marécages inavouables d'une humanité reniée soient l'unique et répugnant terreau où pousse ce qui est seul à n'être pas mensonge?
Commenter  J’apprécie          60
"– Quelquefois je me demande ce que nous sommes en train d'attendre.
– Qu'il soit trop tard, madame."
Commenter  J’apprécie          60
– Je te dois la vie.
– Une vie. La mienne, je m'en fiche. C'est une autre vie, celle que je veux.
Commenter  J’apprécie          60
Le présent disparaît et tu deviens mémoire. Tu te défais de tout, tes peurs, tes sentiments, tes désirs: tu les conserves, comme des habits qu'on ne met plus, dans l'armoire d'une sagesse que tu ne connaissais pas, et d'une tranquillité que tu n'espérais pas.
Commenter  J’apprécie          60
Je ne reconstruirai aucune vie, parce que je viens d'apprendre à être la demeure de celle qui fut la mienne.
Commenter  J’apprécie          60
Aterdel leva les yeux sur le père Pluche. C'était un peu plus qu'un regard. C'était une visite médicale.
Commenter  J’apprécie          60
Elle marchait,et elle savait vers quoi.C'était ça l'important.Une sensation merveilleuse.Quand le destin finalement s'entrouvre,et devient chemin visible,trace indéniable,et direction certaine.Le temps interminable de l'approche.Ce moment où l'on accoste.On voudrait qu'il ne finisse jamais.
Commenter  J’apprécie          60
On entendait la mer, comme une avalanche sans fin, le tonnerre incessant d'un orage né d'on ne savait quel ciel. Elle ne s'arrêtait pas un instant. Ignorait la fatigue. Et la clémence.
Quand tu la regardes, tu t'en rends pas compte: le bruit qu'elle fait. Mais dans le noir... Toute cette infinitude alors n'est plus que fracas, muraille de sons, hurlement lancinant et aveugle. Tu ne l'éteins pas, la mer, quand elle brûle dans la nuit.
Commenter  J’apprécie          50






    Lecteurs (2630) Voir plus



    Quiz Voir plus

    "Soie" tu sais ; "soie" tu sais pas !

    Ce court roman est paru en France en...

    1985
    1997
    2003

    10 questions
    257 lecteurs ont répondu
    Thème : Soie de Alessandro BariccoCréer un quiz sur ce livre

    {* *}