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Attention, ce livre n'est pas un roman, mais un essai sur notre condition d'êtres numériques. Il retrace les grandes étapes de ce qu'il faut bien appeler une révolution, même si elle ne s'est pas imposée comme telle, ni aussi brutalement que les révolutions proprement dites. le ton est un peu agaçant, mais Baricco met le doigt sur les bouleversements cognitifs et sociologiques fondamentaux que des gamers un peu cinglés de la silicone valley ont provoqués, sans avoir semble-t-il la moindre idée des transformations civilisationnelles qu'ils allaient déclencher. C'est l'un des rares essais, à ma connaissance, qui aborde la question sous cet angle, la plupart se situant en général dans le camp de la technophobie et dénonçant - souvent à juste titre - les dangers d'une "gouvernementalité algorithmique". Baricco, lui, met l'accent sur le changement de point de vue qui s'est opéré entre une "ancien monde" structuré par des pouvoirs pyramidaux, dans tous les domaines, et un monde nouveau, où ces pouvoirs se sont horizontalisés, anonymisés, démocratisés. Il y a bien d'autres idées passionnantes développées dans cet essai, à lire par ceux qui voudraient ne pas se contenter d'une hostilité de principe à l'égard du phénomène numérique, fût-il argumenté. La critique que je lui adresserais, in fine, serait que son enthousiasme pour le gaming apolitique lui fait oublier la très préoccupante concentration de cette nouvelle puissance entre les mains de quelques acteurs devenus intouchables : les GAFAMI, pour ne pas les nommer.
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Posons le décor : je suis fan absolu de Baricco dont j'ai lu beaucoup de fictions et de « non fictions » ; j'ai même pu interpréter au théâtre le personnage de Savigny - inspiré d'un rescapé du radeau de la méduse - dans son oeuvre majeure « Océan Mer » !
donc je ne suis pas objectif… !
mais qui l'est dans une critique sur Babelio ou ailleurs ??

Je crois aussi que je peux me permettre de comparer entre ses oeuvres. Selon moi, dans cet essai, il réussit parfaitement à marier son talent de conteur, de peintre de l'âme humaine, avec un travail impressionnant de chercheur et de vulgarisateur scientifique (qu'il avait esquissé dans ses précédents essais sur les nouveaux barbares). Et tout ça avec un humour décapant et une pseudo légèreté assez inégalés dans cet exercice à quelques rares exceptions. Je pense à ce que fait Alexandre Astier dans ses exoconférences et avec lequel Baricco partage aussi une formation en musique.

Légèreté, humour, vulgarisation certes … mais aussi de la profondeur, des références nombreuses et une complexité assez impressionnantes. Et cela rend aussi certains passages assez ardus à ingurgiter : je songe aux longs développements des « commentaires » qui concluent et prolongent les différents chapitres.Il faut s'accrocher parfois et parfois relire certains passages ; d'ailleurs Baricco nous y invite régulièrement dans une forme de pédagogie répétitive ou circulaire …

Et sur le fond justement, il y a de magnifiques trouvailles et des thèses défendues qui sont plus que brillantes. lumineuses ! … elles donnent un éclairage sur ces « deuxièmes mondes » numériques qui tournent comme des réalités parallèles mais aussi emboîtées les unes dans les autres. Très surprenante aussi l'hypothèse des origines, des intentions émancipatrices et des ruptures sémantiques voir philosophiques des fondateurs (hélas des hommes,blancs, ingénieurs et américains dans leur immense majorité !)

Fulgurante aussi la trouvaille d'avoir nommé ce deuxième monde The Game (LeJeu pour les anglophobes !!) car ce nom se décline en multiples facettes et ramifications.

Allez voir aussi la description de la « posture zéro » homme/clavier/écran (avec le passage du Baby foot à la console Space Invaders !) , de l'aérodynamique des « vérités-minute », des pyramides inversées que sont les applications avec leurs icônes qui flottent à la surface de nos écrans comme la partie immergée de véritables icebergs technologiques…

j'ai lu que certain-es critiques reprochent à Baricco dans cet ouvrage une forme de complaisance béate, voire d'idolâtrie et de naïveté vis à vis de ce monde numérique dans lequel il semble nager avec bonheur. c'est vrai en partie . mais alors il faut aussi prendre le temps de lire ses développements lucides sur les insurrections indispensables pour lutter contre les dérives constatées : une nouvelle forme d'élite et de concentration de pouvoirs entre quelques milliardaires (principalement les boss mégalo des GAFA…) … Il en appelle d'ailleurs aux plus jeunes générations nées dans le Game qui seules pourront le renouveler en lui apportant notamment une vision plus diversifiée : femmes, jeunes, cosmopolites, artistes

Et pour terminer je ne résiste pas à recopier ici un passage que je pense beaucoup d'entre vous devraient apprécier (pages 391 et 392 de l'éditions poche ! sur 410 pages !).
Baricco y constate et célèbre l'incroyable survie et vitalité d'un objet totalement anachronique dans The Game

« … Nous ne nous perdrons jamais vraiment tant que nous aurons des livres entre les mains. Pas pour ce qu'ils racontent, non. Pour la façon dont ils sont faits. Ils n'ont pas de liens. Ils sont lents. Ils sont silencieux. Ils sont linéaires, vont de gauche à droite, de haut en bas. Ils n'affichent pas de score. Ils commencent et se terminent. Tant que nous saurons les utiliser, nous serons humains. C'est pourquoi le Game les place entre les mains des enfants. du moins il attend qu'ils posent leur PlayStation, puis il les place entre leurs mains »

Tiens, je vais demander à mon libraire préféré (pour mémoire le Relais de Poche à Verniolle /Ariege !!!) s'il veut l'afficher dans sa vitrine !
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Ce livra m'a été proposé dans le cadre d'une masse critique.
Ce n'est pas le genre d'ouvrage vers lequel j'irai dans un premier temps.

Il s'avère que j'ai été agréablement séduit.
Séduit par le sujet, quelque peu vulgarisé, mais qui permet de suivre aisément l'analyse faite par l'auteur. Il nous plonge dans un univers parallèle à notre monde, le "deuxième monde", nous en dévoile les rouages, les connexions, les points forts et les plus faibles.
Séduit par un propos sans jugement, sans connotation et sans prise de position
Séduit par un humour omniprésent qui permet un détachement nécessaire pour pénétrer avec facilité dans son discours
Séduit par des exemples concrets, qui ramènent au réel et à la vie courante

Baricco dresse une historique des étapes qui ont permis cette révolution numérique, des acteurs et des protagonistes qui l'ont engendrée.
Il mêle à cela avec brio une pensée davantage philosophique, et déborde avec aisance du cadre pour créer un parallèle pertinent avec nos vies respectives.

Si, de prime abord, il m'a été difficile d'entamer cette lecture, j'avoue en ressortir avec un certain plaisir de lecture.
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C'est toujours pour moi une gageure de me lancer dans ce type d'essai. Car je suis une attardée du monde numérique. Je n'adhère pas vraiment. Tout se mélange dans ma tête et, dès qu'on cherche à m'expliquer, mon cerveau se bloque. Je regarde cette jeune génération hyperconnectée, qui ne parle plus mais tweete, qui ne sort plus discuter avec leurs camarades mais les rejoint sur snap ou autres... Je constate leur curiosité qui s'amoindrit, leur appétence qui disparait, leurs yeux qui se ferment par manque de sommeil du fait de leurs veillées digitales, leurs cris dès qu'on leur demande d'écrire... Aussi, ai-je été interpellée par cette réflexion fort juste d'A. Baricco: "Quand les gens pensent voir la fin de la culture chez un jeune de seize ans qui n'emploie pas le subjonctif, sans remarquer que par ailleurs ce garçon a vu trente fois plus de films que son père au même âge, ce n'est pas moi qui suis optimiste, ce sont eux qui sont distraits." J'ai alors décidé de ne pas faire partie de ces personnes qui jugent sans essayer de comprendre, ceux que je traitais de « vieux cons » quand j'étais jeune… Et cette lecture a été pour moi une révélation, essentielle pour éviter de mépriser les adolescents que je côtoie chaque jour.

La première chose que j'ai appréciée, c'est le fait de ne pas me sentir noyée, le fait de comprendre le propos tenu. Je ne dis pas que l'eau ne me passait jamais par-dessus la tête, que je n'étais pas parfois attirée vers le fond : la différence entre Internet et le web, la post-vérité, le storytelling… Mais A.Baricco nous rattrape juste à temps pour nous remettre à flots. Il nous explique les choses par le biais d'images, d'anecdotes (qu'est-ce que j'ai aimé celle du libraire qui n'avait pas le dernier livre de Valérie Trierweiler !) ; A.Baricco a évoqué des choses qui me parlent pour m'expliquer des choses obscures. Il m'a guidée, prise par la main pour m'emmener là où je ne voulais pas aller du fait de mon blocage. Il m'a ouvert l'esprit. Ainsi, pour expliquer l'évolution de notre pensée, il est parti des jeux qui étaient présents dans les cafés : d'abord le baby-foot, puis le flipper, puis le Space Invaders… Les jeux se sont succédés et déplacés en même temps vers l'abstrait, vers un deuxième monde, qui cohabite avec notre premier monde, en même temps qu'il fusionne avec lui.
J'ai aimé la relation instaurée entre l'auteur et le lecteur : j'avais presque l'impression d'être dans le bureau d'A. Baricco, qu'il me tenait une discussion, créant des pauses au cours desquelles il allait « se chercher une bière », faisait une incursion aux toilettes… Une complicité me mettait en confiance, acceptant de recevoir le message. Je sentais l'auteur prendre plaisir à ses explications (il le dit d'ailleurs : « je commence vraiment à m'amuser »), savourer le fait de renverser notre vision des choses (prendre l'iceberg dans l'autre sens). A. Barrico nous explique, sans porter de jugement. On ne sait d'ailleurs pas trop s'il adhère ou pas à l'invasion numérique; il est certainement comme moi, indécis, voyant les bons côtés et regrettant aussi d'autres éléments de notre premier monde qui disparaissent.

J'ai ainsi quelque peu modifié ma façon de voir les choses, j'ai ouvert la porte. Mais j'ai aussi appris beaucoup de choses puisque A. Baricco refait un historique de l'évolution du numérique. J'ai mieux cerné l'idée de navigateur, moteur de recherche… Pour certains très calés, cela parait certainement inutile, ennuyeux… Mais pour moi c'était nécessaire. Et j'ai trouvé amusant de me replonger dans cette ère si proche et pourtant si éloignée où on glissait une cassette dans le walkman, enviant le copain qui avait un MP3… Cet historique était accompagné d'explications sur les mentalités qui nous ont menés à cette omniprésence du numérique. Une chose m'a été révélée: ce n'est pas le numérique qui change l'esprit: c'est parce que notre esprit change que le numérique évolue et devient si présent.

Je le répète, ce ne fut pas une lecture facile à chaque page pour moi ; j'avoue avoir sauté quelques lignes mais cela ne m'a pas empêchée de comprendre la suite. Preuve que l'auteur nous tient vraiment la main, ne nous lâche pas, acceptant néanmoins que notre regard se porte ailleurs à quelques moments. Les éléments, particulièrement, auxquels je n'ai attaché aucune attention furent les cartes qu'A. Baricco a conçues et qui sont glissées au fil des pages. Je n'y ai pas vu d'autre intérêt que le plaisir de l'artiste. Mais ce dernier ayant accepté que je divague de temps en temps, je ne peux qu'accepter que celui-ci ait divagué également !
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Adapté d'un essai adulte d'Alessandro Baricco, cet album documentaire raconte, avec de nombreuses anecdotes et commentaires (l'auteur s'adresse à la jeune génération) les grandes étapes de la révolution numérique. Conçu par thèmes (ordinateurs, jeux vidéo, smartphones, réseaux sociaux, etc.), il utilise beaucoup de comparaisons et d'exemples (le monde numérique est représenté sous forme de carte composée de différentes "îles") et les nombreuses illustrations viennent compléter avec humour un texte facile à comprendre malgré les termes techniques ("Windows 95 n'est pas un ordinateur. C'est un système d'exploitation, une série de programmes qui, installés sur un ordinateur, permet de l'utiliser facilement"). L'ensemble est à la fois vivant et nostalgique, et permet d'apprécier le progrès accompli (j'ai aimé les avant/après très drôles comme: "Avant, pour écouter un disque vinyle, il fallait 1. Prendre le disque; 2. le sortir avec mille précautions de sa pochette cartonnée; 3. Poser le disque sur la platine; 4. Déplacer puis abaisser tout doucement le bras de lecture et si on tremblait, on risquait d'abîmer le disque;", etc.).

Certes les connaissances restent basiques. Cependant le résumé à chaque fin de partie permet d'ouvrir une réflexion sur ces nouveaux outils. Pour une fois ils ne sont pas diabolisés (notamment les réseaux sociaux), l'auteur constatant juste qu'ils constituent "une façon de vivre différente. Peut-être risquée, difficile, pleine de défauts, mais c'est notre façon de vivre". Bien sûr il met en garde contre la dépendance ("Il faut garder une relation équilibrée avec la réalité") ainsi que la nécessité "d'enseigner les règles" de fonctionnement du monde numérique. Il déplore par ailleurs que ces nouveaux outils facilitant l'accès aux informations et aux échanges aient échoué à réduire les inégalités.
L'ouvrage conclut sur les possibilités à venir de l'intelligence artificielle tout en insistant sur la nécessité "de ne pas s'éloigner de ce qui fait de nous des humains". C'est donc une première approche simple et complète encourageant les jeunes à situer leurs objets du quotidien dans une histoire plus générale, et à en comprendre le fonctionnement global au lieu d'en être les utilisateurs asservis.
Lien : https://www.takalirsa.fr/the..
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Déception. Je m'attendais à un regard décalé sur l'ère numérique, venant d'un écrivain porteur d'idées neuves sur la société digitale. L'ironie légère de Baricco ne leurre pas longtemps. L'auteur de Soie a un faible pour les joujoux numériques. Je cite : les réseaux sociaux enrichissent la réalité/ Les méfaits de la digitalisation sont minimes comparés à l'invention de la bombe atomique. Et ceci " Ce n'est pas le Game qui doit revenir à l'humanisme. C'est l'humanisme qui doit combler son retard et rejoindre le Game." Pour moi, ce fut game over tellement le jeu m' a paru pipé. L'historique de la civilisation numérique est correct, le reste du livre est pure construction de l'esprit. L'auteur agite quelques idées, les répète et les emballe dans un style décontracté, lassant à la longue des 374 pages. Mauvaise pioche de ma part.
Au fait, c'est quoi le Game : c'est le monde numérisé où le mode de penser s'apparente à un jeu permanent. le plus malin (le plus puissant ? le plus riche ?) finit toujours par gagner les nombreuses parties soumises à sa sagacité. La vie n'est jamais qu'un grand jeu amusant à manipuler.





Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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Depuis la création du jeu vidéo "Space Invaders" le monde est entré dans une nouvelle ère celle de la numérisation ou digitalisation. Plus qu'une révolution c'est un changement quasiment anthropologique. unique dans l'histoire de l'humanité.
Pour en arrivé à cette thèse Alessandro Baricco part donc du jeu "Space Invaders" et retrace toute l'évolution du numérique jusque à aujourd'hui, et se demande si tout cela ne serait pas qu'un jeu ?

Fourni, parfois dur à suivre avec des schémas abscons (du moins pour moi) des explications sibyllines ce dont l'auteur à parfaitement conscience, il le dit à plusieurs reprise, cela dit, très pertinent sur la chronologie.
On ressort de la lecture un peu hagard ave un arrière gout désagréable comme si l'on avait perdu son temps.
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Après un début très vague, des idées intéressantes surgissent, malheureusement pour être répétées en continu par la suite. Dès la moitié du livre, j'ai eu un mal fou à poursuivre par ennui. Cela finit par des suites d'énumérations, comme si construire des chapitres était laborieux. Des aspects du Game émergent à la lecture, mais non suggérés par l'auteur,lesquels auraient mérité des développements, comme par exemple les démarches administratives dématérialisées, un outil donc, ou la starisation de médiateurs.
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Je fais partie des pionniers du numérique français : la première machine sur laquelle j'ai programmé était un TRS 80 de Tandy et j'ai commencé à surfer sur le net aux débuts du web avec Compuserve. Bref je suis un vieux con.

Alors lorsque Alessandro Baricco a publié son essai sur le monde numérique, je me suis précipité chez mon libraire. Car si je suis Mac, iPhone, blogueur, surfeur, je lis encore des livres papiers et écoute des vinyles.

Alessandro nous raconte l'avènement du numérique, cette révolution technologique et sociale, partant du postulat que les souffrances du XXème siècle ont engendré ce deuxième monde immatériel. J'avoue qu'au début sa thèse m'a laissé quelque peu sceptique lorsque je l'ai écouté présenter son livre sur ARTE dans le 28 Minutes. Il a cependant fini par me convaincre avec ses mots, mais je suis un garçon influençable.

A l'aide de plusieurs moments forts de cette épopée née dans la Silicon Valley (le Web, le moteur de recherche Google, Amazon, l'iPhone, Facebook), présentant quelques piliers de cette construction et traçant pour nous une carte du monde numérique, il raconte l'évolution de notre société, ses résistances, ses paradoxes avec une certaine distance cependant.

Moi qui baigne dans ce monde numérique, j'ai pris conscience de bien des postures, des paradoxes de ce miroir de notre quotidien dans lequel nous passons de plus en plus de temps. Sans être d'accord avec toutes ses assertions (il est artiste, je suis rationnel), il m'a ouvert les yeux sur la révolution culturelle que représente Internet et m'a fait réfléchir à bien des sujets comme ce qu'est aujourd'hui La Vérité dans ce monde deux point zéro.

J'ai pris conscience du Tout en lisant ce livre alors que j'en use chaque jour, l'accès à tous les contenus moyennant pas grand chose. J'ai également découvert que le Mouvement Cinq Etoiles était né sur la toile.

Le livre possède quelques lacunes (je regrette qu'il ait passé sous silence une des grandes révolutions de cette époque, à savoir l'avènement du libre, que ce soit celui de la création artistique ou celui du logiciel), mais il fera réfléchir ceux qui ne le font pas souvent (moi le premier) sur ce nouveau monde fait de réseaux sociaux, d'applications connectées, de jeux, ce monde qu'Alessandro appelle The Game.
Lien : http://www.blog.neoprog.eu/i..
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