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sur 763 notes
♫Il court, il court le furet
Le furet du bois joli
Il est passé par ici
Il repassera par là♫
𝒟é𝒷𝓊𝓉 𝒳𝒱𝐼𝐼𝐼 , 𝒞𝑒 𝓃'𝑒𝓈𝓉 𝓅𝒶𝓈 𝓊𝓃 𝒻𝓊𝓇𝑒𝓉 𝓆𝓊𝒾 𝓋𝒾𝑒𝓃𝓉 𝒹𝓊 𝒷𝑜𝒾𝓈, 𝓂𝒶𝒾𝓈 𝓁𝑒 𝒸𝓊𝓇é 𝒟𝓊𝒷𝑜𝒾𝓈, 𝒸𝑜𝓃𝓉𝓇𝑒𝓅è𝓉𝑒𝓇𝒾𝑒" 𝐼𝓁 𝒻𝑜𝓊𝓇𝓇𝑒 𝒾𝓁 𝒻𝑜𝓊𝓇𝓇𝑒 𝓁𝑒 𝒸𝓊𝓇é". !!!
----♪---♫---🚴‍♂️---📚---🚴‍♂️---♫---♪----
Lui faire payer très cher ce camouflet
Tu as créé le Cercle des Derniers Libraires
Te v'là maintenant au centre de l'affaire
Quadrature d'un cercle à l'odeur débusquée.
Un embrouillamini sauce Agatha Christie
Du Jane Austen pour semer des cailloux
Un plan dément, tenir le lecteur jusqu'au bout
Ne rien quémander, rester au dessus des flatteries.
J'en connais un rayon, à l'insu de mon plein gré
Rejeter tout ce qui n'est pas vital
Terminer mon Cycle lecture du Cantal
La vie est une bicyclette tournée en épingle, j'ai fini par la trouver.
Elle court ,Vélo, velours, St Flour, je dois faire le tri
Avec une poulie d'or, la Vérité sort toujours du puits.
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Quand un groupe de libraires décide de créer un cercle afin de lutter contre le fléau qu'est Amazon, ça donne un polar léger et sympa.
De plus, rien que le titre est, selon moi, accrocheur pour tous les amoureux des livres.

Ce roman est un vrai hommage à nos libraires. J'ai apprécié les petits clins d'oeil qui ont ponctué ma lecture.
Un roman qui se lit vite et bien.

Si la mise en route est assez longue, il faut reconnaître qu'on finit par s'attacher aux personnages. Mais ceux-ci auraient mérité d'être travaillé un peu plus, même si ils gagnent en qualité au fils des pages.
L'intrigue est intéressante et se tient bien.

Une lecture agréable car l'écriture de l'auteure est fluide et prenante.
Je vais surveiller cette auteure avec attention, car le lecture de se roman fut une vraie détente...

Merci a Babelio et aux éditions j'ai lu pour cette découverte.
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Lecture très mitigée pour moi, qui penche plus vers le côté "je n'ai pas aimé".


Au début ça m'a fait un peu penser à du Agatha Raisin. Un décor rural magnifique, un détective amateur, un polar plutôt léger (malgré les meurtres).
Le point positif c'est que l'intrigue démarre rapidement, on ne tergiverse pas, mais malheureusement ça s'essouffle très vite. Au fur et à mesure de la lecture je me suis laissée gagner par l'ennui. Parfois j'ai eu l'impression que l'histoire des meurtres devenait vraiment secondaire et que le but de l'autrice était simplement de défendre le métier de libraire indépendant. Chose faite très maladroitement, de mon humble avis.


Je n'ai pas du tout aimé le personnage principal. Au départ il est absolument imbuvable, exécrable, prétentieux, hautain, condescendant, il a des a priori sur tout le monde, enfin bref vous avez compris. Pas étonnant qu'un des personnages le prenne pour un parisien (je précise au cas où que je suis parisienne donc ce stéréotype ne me dérange pas).
Et puis, et puis ...il suffit d'une nuit pour changer totalement !
Une nuit à l'écart de tout à écouter un taureau meugler sous sa fenêtre et à regarder le paysage nocturne de la montagne et bim ! Changement de personnalité !
J'ai trouvé la psychologie du personnage extrêmement mal gérée. Comment peut-on passer en quelques pages d'un abruti qu'on a envie de baffer à un mec sensible et compréhensif ???


Ça résume assez bien le bouquin dont j'ai trouvé l'écriture très inégale. Il y a des passages très bien écrits et puis d'autres où on se croirait dans un roman Harlequin avec une histoire d'amour culcul la praline comme pas possible qu'on voyait venir à 10 000 km à la ronde...


Les personnages sont assez caricaturaux dans l'ensemble, et surtout très manichéens. Il y a d'un côté les gentils de l'autre les méchants. Point.
Cette dualité mal gérée se retrouve dans tout le récit malheureusement. Avec d'un côté l'arrogance du citadin contre les très ouverts et serviables ruraux. le grand méchant Amazon contre les petits libraires indépendants. Les intellectuels contre les gens moins portés sur les bouquins. D'ailleurs je n'ai pas du tout aimé la façon dont le personnage d'Adrien, journaliste sportif, passe pour un abruti juste parce qu'il aime le sport. Personnellement j'aime beaucoup le sport et je lis la presse spécialisée et des bouquins sur les sports qui m'intéressent. Il y a énormément de journalistes sportifs qui sont extrêmement cultivés. Ce stéréotype du sportif crétin m'a vraiment agacée.
Bref tout est très tranché. Pour moi c'est trop facile et pas assez travaillé.



Mon plus gros reproche sur ce roman ce trouve dans la partie spoilers.





Dans la biographie de l'autrice il est précisé qu'elle est une admiratrice d'Agatha Christie, Patricia Wentworth, Patricia Mac Donald, ... Je trouve ça décevant et un peu insultant à l'égard du lecteur qu'elle n'ait pas su s'éloigner de ses modèles et qu'elle ait carrément réécrit la même histoire en changeant juste quelques petits trucs par-ci par-là.
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Un polar qui se passe dans le monde des librairies, c'est juste le rêve (désolée pour les victimes libraires). J'adore flâner dans les librairies. Et du coup j'étais ravie que les livres soient au coeur du roman.
Au niveau de l'intrigue, un journaliste sportif passionné de vélo mais qui a eu un gros accident est envoyé enquêter sur le meurtre de trois libraires dans la région auvergne (ça aussi j'ai bien aimé retrouver ma région au coeur de l'intrigue). Ce journaliste, Darcy (oui oui comme dans le roman) déteste les bouquins mais au moins l'enquête lui change les idées. il finit par découvrir au contact d'Emma une libraire, que les trois libraires assassinés faisaient partie d'un cercle. Il s'agissait de promouvoir la lecture et de lutter contre la vente sur amazon.
L'intrigue policière est un peu légère. Il ne se passe pas grand chose et il n'y a pas vraiment de suspense. Les personnages sont assez caricaturaux et pas franchement attachants.
Il m' a manqué quelque chose pour avoir un coup de coeur pourtant ce roman avait vraiment du potentiel.
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J'avais acheté ce roman à cause de sa superbe couverture et du livre-objet en lui-même. Les éditions J'ai lu ont créé une couverture empaquetant le livre, l'effet est très joli, original et intrigant. Je voulais le lire peu de temps après l'achat mais il aura fallu l'aide d'une pioche (merci à Callie pour Octobre) pour m'aider à le sortir de ma pal. L'auteure m'ait totalement inconnue.

Le début était intrigant et sympa avec cette idée d'enquête sur des décès suspects de libraires. Par contre, l'enquêteur n'en est pas un et se croit supérieur aux intellectuels car le sport est son leitmotiv… Comment dire que ce genre de personnage m'insupporte. Certaines joutes verbales étaient rigolotes mais d'autres, beaucoup moins. Il y a même des chapitres qui ne servent à rien. En peu de temps, ça a malheureusement permis de plomber ma lecture… J'ai malgré tout voulu m'accrocher mais un chapitre de plus de 20p sur un mec qui se plaint de sa situation après avoir picolé et tout en laissant son gamin géré le petit déj' d'une maison d'hôtes n'est pas pour m'y aider, d'autant plus quand l'histoire en elle-même n'avance pas et s'enlise. La mise en place longue ne m'aura même pas permis d'apprécier les personnages tant ils sont caricaturaux d'une certaine espèce d'humains (le sportif, l'écrivain incompris, la libraire, …). Par ailleurs, le choix des noms n'est pas sans rappeler certaines oeuvres littéraires, encore faut-il les avoir lus… Même en connaissant de nom, je n'ai fait le lien qu'à la lecture de certaines critiques. Moi qui me faisait une joie de découvrir ce roman policier, le coche a été loupé…

Comme vous l'aurez compris, la bonne découverte n'aura pas été au rendez-vous de ce roman à la superbe couverture. Il aura été abandonné à 1/4 du livre après un énième chapitre qui ne nous sert qu'à nous dépeindre un des personnages alors que l'enquête est au point mort (le roman est pourtant assez court, moins de 400p). Si vous êtes amateurs de cosy mystery, je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je passe mon chemin.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Une enquête dans l'univers des livres et des libraires, ça ne court pas les rayons de librairie. C'est la principale raison de mon achat.

L'auteur, Sylvie Baron, serait spécialisée dans le "whodunit".
Kesako ?
Jamais entendu ce mot...
Whodunit, contraction de "Who (has) di dit ? Qui l'a fait ?".

Il s'agit donc de "gentil" roman policier mené par un/e détective amateur/trice au profil (forcément) inattendu.

C'est vrai que tout y est : l'enquêteur ici s'avère être un sportif blessé en convalescence très autocentré.
Commençons pas le positif, j'ai au départ apprécié l'intrigue et trouvé le style plaisant, bien développé notamment quand l'auteure pose le décor et ses personnages.

S.B. défend intelligemment le métier de libraire et en dévoile quelques facettes intéressantes, un peu moins le tempérament des Auvergnats, qui sont tous (ou presque) selon elle, "solidaires et aimables à pas toute épreuve" (!!!). On comprend vers quel électorat elle est tournée.
Bref !

Là s'arrêtent les points positifs que j'ai relevés. Mon plaisir s'arrêtera net quand l'amourette (vraiment facile) démarrera et que le changement de personnalité de Dracy s'opérera par magie.
Jane Austin a révélé Darcy avec d'autres moyens...
Bon, vous l'aurez compris, je n'y ai pas cru un quart de seconde. Ni à l'un ni à l'autre.

Trop de manichéisme avec le très gentil et les autres tellement moins intelligents, tellement moins cultivés. Tous ces pseudo héros sont comme figés dans leurs caractères stéréotypés. Les pauvres !

Et puis, il y a trop de dialogues qui tentent de cacher une intrigue qui m'a parue molle, mal servie par une plume inégale, un champ lexical irrégulier comme j'en ai rarement relevé.

"Pleutre" "pusillanime" côtoient " ils s'embrassèrent comme des furieux ".

Et je ne parle pas du dénouement spectaculaire. Même Joséphien ange gardien y met plus de temps.

Je comprends qu'on puisse aimer ce genre de lecture ; ce n'est pas mon cas actuellement. Un jour peut-être ?
Lien : http://justelire.fr/le-cercl..
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J'aurais bien aimé m'attarder un peu plus dans cette petite librairie d'Aubusson, découvrir tous les livres d'occasion. Mais la rencontre a bien eu lieu : j'ai tout de suite été attirée par le titre "Le cercle des derniers libraires", et j'ai aimé immédiatement la couverture de l'édition J'ai lu : une bicyclette, des rayonnages, des portraits.
Quelques heures plus tard, je ne regrette pas ce choix ultra-rapide. Il m'a permis de découvrir un roman policier sympathique, du genre "meurtre en douceur", situé dans le Cantal, à Saint-Flour.
Une jeune libraire, Emma Pélissier, et un journaliste, Adrien Darcy, vont devoir enquêter sur trois crimes : trois libraires du Cantal faisant partie du Cercle des derniers libraires viennent d'être assassinés !
Je ne connaissais pas Sylvie Baron : j'ai découvert une belle écriture, une intrigue tordue à souhait, un amour de la nature et des paysages.
Un beau plaidoyer pour les librairies indépendantes et toutes les personnes passionnées qui les animent.

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Voici mon retour de lecture sur le cercle des derniers libraires de Sylvie Baron. Cycliste de haut niveau, Adrien Darcy est aussi journaliste sportif. le vélo, c'est sa passion.
Mais depuis son accident, ses récentes blessures le font terriblement souffrir et le laissent affaibli et écoeuré. Lui qui ne vivait que pour la compétition se voit forcé d'admettre qu'il n'est pas près de remonter sur un vélo.
Aussi, quand le rédacteur en chef de la Montagne lui propose de mener l'enquête sur trois meurtres de libraires, le jeune homme relève le défi.
Malgré ses réticences à pénétrer dans cet univers du livre qui lui semble à l'opposé du monde sportif, Adrien se lance à la recherche du meurtrier.
Premier indice : les trois victimes appartenaient au Cercle des derniers libraires. Qui se cache derrière cette association ?
Qui lui en veut au point d'en supprimer les membres ?
C'est bien ce qu'il compte découvrir !
Le cercle des derniers libraires est un petit policier fort sympathique, léger et agréable à lire.
Un cercle de libraires décide de se réunir pour lutter contre amazon. Quand des meurtres se succèdent, touchant les membres de ce club, un journaliste enquête. Il s'appelle Adrien Darcy, oui oui Darcy comme un célèbre personnage de roman. Il ne comprend pas pourquoi tout le monde tique sur son nom de famille car il ne lit pas, et ne connaît donc pas les références littéraires. Cela donne des passages amusants et fort sympathiques.
La rencontre entre Adrien et la jeune libraire, Emma Pélissier, est un peu explosive au début. Avant de s'unir tous les deux pour trouver le coupable.
Adrien est un personnage avec lequel je n'ai pas toujours accroché. Il m'a parfois un peu agacé le sportif qui se repli sur lui même, qui se plaint. Certes, il a des raisons de tirer la tronche mais son comportement m'a parfois lassé.
Par contre, j'ai bien aimé Emma, le fait qu'elle soit libraire, qu'elle aime son métier.
Ce roman est un vrai hommage à nos libraires.
L'enquête est plutôt bien ficelée, ça se lit rapidement et j'ai passé un bon moment de lecture.
Ma note : 4 étoiles.
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A Saint-Flour, Emma, jeune libraire, fonde « Le cercle des derniers libraires ».
Une vingtaine de libraire la rejoignent, mais en trois mois, trois d'entre eux sont assassinés.
Adrien Darcy, journaliste sportif qu'un accident empêche de poursuivre son activité, est envoyé par son patron pour enquêter sur ces étranges morts.
L'idée de départ m'a bien plu.
Des libraires passionnés, un amour inconditionnel des livres, une enquête mystérieuse à mener.....
Mais j'ai vite déchanté.
Dès le début, les dialogues sont plaqués, peu plausibles, difficiles à croire.
L'enquête est étrangement menée.
Les rapports entre les personnages sont surfaits.
Ils ne sont d'ailleurs pas tous sympathiques.
Bref, tout semble plaqué sans beaucoup de coordination.
Heureusement restent quelques belles pages sur les décors d'Auvergne et surtout sur la passion des livres et du métier de libraire.
Le tout aurait mérité d'être beaucoup plu creusé et fignolé.
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3 meurtres. Pas n'importe lesquels. Des libraires qu'on assassine. Mais qu'ont-t-ils fait pour ça ? C'est ce que va tenter de découvrir Adrien DARCY, cycliste de haut niveau, mais également journaliste sportif, victime d'un accident, qui ne peut plus exercer sa passion.

Son rédacteur en chef et ami du journal « La Montagne », va lui proposer de se lancer dans cette enquête. Un peu ronchon au départ, il va se prendre au jeu, d'autant plus qu'il va également s'attacher à une libraire…

Ce livre aborde également les difficultés rencontrées par les libraires indépendants, notamment dans les petites villes. Monde que DARCY va devoir apprendre à connaître, et mettre de l'eau dans son vin, s'il veut dénouer le sac de noeud de ces meurtres.

Un bon polar, à l'anglaise, où j'ai pris plaisir à suivre les pérégrinations de DARCY et à suivre l'enquête. Suspens jusqu'au bout.
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