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3,89

sur 1435 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai vraiment ADORÉ le personnage de Peter Pan. le prémisse du bad-boy ! J'ai beaucoup aimé les petites histoires, rapide et efficaces. J'hésite entre quatre et cinq étoiles mais je pense que je vais laisser cinq pour l'instant. Je pense en gardé un agréable souvenir !
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Peter pan est l'un de mes contes et Disney préféré donc je connaisais déjà un peu l'histoire. J'ai plutôt bien apprécié cette lecture.

L'écriture est très particulière et j'ai mis un peu de temps à m'y habituée. Mais elle ne m'a plus vraiment dérangée dans la deuxième partie du livre.
L'histoire est vraiment intéressante, et j'ai apprécié le personnage de Peter pan, ce petit garçon qui ne veut pas grandir. J'ai aussi apprécié les autres personnages, notamment la fée Clochette et les enfants perdus.

L'univers est vraiment génial et j'ai adoré découvrir le Pays de L'imaginaire avec tous ses habitants et y vivre toutes ces aventures. J'ai surtout adoré les moments avec les pirates.

Donc une lecture vraiment sympa, que j'ai bien apprécié.
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Qui ne connait pas Peter Pan, cet enfant qui ne veut pas grandir et qui embarque Wendy et ses deux frères au Pays Imaginaire ?
Longtemps bercée par la version onirique Disney, qui a beaucoup marqué mon enfance, j'ai eu envie de faire un retour aux sources en me penchant sur la version originale.
J'avais en effet déjà lu pas mal de retours constatant la différence flagrante avec le dessin animé : Peter est loin d'être un gentil héros qui se contente de jouer aux aventuriers.

La lecture de Peter Pan m'a en effet tout de suite surprise dans l'écriture : les phrases sont très littéraires, parfois bien destinées à un public adulte. On retrouve les éléments majeurs de l'intrigue de Disney, avec l'affaire de l'ombre à recoudre, la chienne Nana, le capitaine Crochet, la jalouse Clochette, la jeune indienne, les garçons perdus etc, mais dans une dimension bien plus sérieuse et obscure.

Pour m'attarder sur Peter, il est très souvent dit qu'il n'hésite pas à utiliser la violence, à faire preuve de cruauté et de sang froid pour se faire respecter des garçons : il les affame, les fouette, et va même jusqu'à les tuer s'ils désobéissent au règlement. Son caractère enfantin dénote avec cette attitude : il reste un enfant immature, qui oublie tout (il ne reviendra plus voir Wendy malgré sa promesse et finira par emmener sa fille Jane au Pays Imaginaire), qui confond jeu et réalité, et prend le costume de Crochet une fois qu'il s'est débarrassé de lui. Il n'a pas assez de maturité pour comprendre ce que lui veut Wendy et Lily La tigresse, il constate juste qu'elles ne veulent pas être dans une attitude de maman avec lui.

Le récit de Peter Pan nous interroge également sur la place des filles et des femmes à l'époque : Wendy n'est utile que pour coudre, raconter des histoires et s'occuper des enfants s'ils font des cauchemars. Si elle semble s'en accommoder, j'ai trouvé que les autres filles mentionnées étaient plutôt caricaturées : Clochette est jalouse et rancunière, les sirènes sont futiles et seule Lily la Tigresse semble un minimum mêlée aux combats et aux aventures.

Crochet n'est pas si terrifiant que cela, il reste finalement un homme seul, obsédé par Peter et sa vengeance. le crocodile et son réveil peut être vu comme la métaphore du temps qui passe inexorablement et qui nous poursuit. Quant à l'idée de vivre dans une île sur une étoile, sans vieillir, bon, j'imagine que la métaphore avec le Paradis est facilement trouvée.

Pour conclure, j'ai beaucoup aimé ma lecture et je pense me pencher sur d'autres classiques repris par Disney, pour comparer les versions ;)
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Ne vous faites pas avoir par Disney et son pays des Merveilles car Neverland est le Pays de Jamais ou le Pays de Nulle Part.

Une île sur laquelle on est accueilli aux bruits des canons, où des Peaux Rouges se baladent avec des scalpes accrochés à leur ceinture. Un pays qui n'est en rien Merveilleux, mais bien tragique.

Commençons par les parents (radicalement différent de Disney, encore une fois et c'est la dernière fois que je rappelle à quel point Disney à changer le ton, le texte, le sens de Peter Pan). le père est un gamin immature qui fait semblant d'être le chef de famille et la mère n'a pas de caractère très marquant. C'est la mère. Nana donne directement le ton de l'oeuvre et nous permet de mettre une suspension consentie de l'incrédulité rapidement.

À l'arrivé de Peter on se rend compte de l'horreur que vivent les personnages, principalement Wendy, la plus âgée et la plus à même de comprendre la "tragédie" (et elle le dit souvent) dans laquelle ils sont allés. Dès les premiers instant on trouve un Peter complètement abattu (à pleurer comme un bébé) puis très vite il se retrouve insupportable, dangereux, sans coeur. Il emmène les enfants avec lui mais sans les raccompagner. Wendy sait pertinemment qu'ils dépendent de lui, maintenant, car ce dernier ne leur a pas appris à atterrir ou à dormir en volant (Peter rigole bien en voyant alors les garçons tomber du ciel lorsqu'ils s'endorment). Tout le début montre un garçon extrêmement dangereux (et c'est passionnant !). le garçon qui ne pouvait pas grandir n'est même pas un enfant, car un enfant - par définition - grandi en apprenant et en retenant chaque jour des choses nouvelles. Peter ne grandi pas, n'évolue pas, car il lui est impossible de retenir quoi que ce soit durablement : il oublie Wendy alors même qu'il les emmène au Pays de Nulle Part ; il oublie qu'il assassine les enfants perdus qui grandissent...

Nous pouvons aussi parler de Tinn Tamm, alias Clochette, qui est une fée vraiment jalouse. En tant que fée elle ne peut avoir que des émotions pures. Sa jalousie n'est alors pas mesurée et elle va vraiment tout faire pour abattre Wendy dès le début. Personnage passionnant.

Crochet est cruel, dès sa première description il s'emploie à tuer ses sous-fifres, gratuitement. Et tous ont peur de son mortel crochet ! Sans ça ils se révolteraient. le crocodile au réveil, seul référence au temps qui passe, est ce qui angoisse Crochet. Comme il dit il ne peux pas se reposer car lorsqu'il n'entend pas le tic-tac du crocodile, est-ce par ce que le crocodile n'est pas là ou parce que le réveil est cassé ?

Une oeuvre passionnante qu'il ne suffit pas d'écrire plusieurs lignes pour donner son avis complet !!


N'oublions pas une chose : tous les enfants grandissent, sauf un.
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L'histoire qui se cache derrière le récit de Peter pan, fait qu'on ne peut qu'être touché et bouleverse de ce conte pas si merveilleux que ça. J.M Barrie s'est inspiré de son propre drame familial causé par la perte de son jeune frère, pour donner naissance à Peter Pan : ce garçon parfois égoïste, cruel, mais tout de même plein de fougue.
Le pays Imaginaire serait donc l'endroit où vont les enfants lorsqu'ils meurent, ainsi, ils resteront des enfants pour toujours, et à jamais.
Oubliez l'univers de Disney et plongez vous dans ce roman !
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L'imagination est sans limite. Je vais une fois de plus dire tout le mal que je pense des productions Walt Disney et de leur adaptation à la sauce puritaine, moralisatrice et phallocrate de cette histoire.
Oubliez là pour vous plonger dans cette aventure où le personnage principal n'est pas Peter Pan mais bien Wendy. C'est elle qui lui donne vie.
C'est un merveilleux conte qui au départ était une pièce de théâtre. Il n'est pas réservé aux seuls enfants, tout dépend du niveau de lecture. A chacun de choisir sa clé. D'ailleurs, la compréhension pour les plus jeunes n'est pas si simple et il existe des versions expurgées qui peut la rendre plus abordable au départ et facilite la lecture à voix haute.
Un bien beau roman
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Merveilleux classique !

Je suis totalement fan de la collection Boussole de chez Belin éducation qui permet aux jeunes lecteurs de découvrir des grands classiques de la littérature jeunesse dans une version adaptée (que ce soit en terme de longueur, de vocabulaire ou de structures de phrases).
Maxime Rovere a la difficile tâche d'adapter ces textes pour qu'ils soient accessibles aux cycles 3 tout en restant fidèle aux auteurs originaux et le pari est réussi.

Peter Pan ne peut que passionner tous les petits lecteurs. Ce petit garçon qui refuse de grandir, un peu égoïste mais intrépide, vivant au "Pays du Jamais" et multipliant les aventures aux côtés des enfants perdus, des Indiens et surtout des pirates. Aaaaah Crochet !
Le petit lecteur va se régaler à imaginer les terribles combats contre l'affreux capitaine, il va rire aux éclats en pensant au crocodile et son angoissant Tic-Tac et la petite Clochette ne lui paraîtra plus aussi mignonne après ses crises de jalousie mémorables.

Le roman comporte de nombreuses illustrations couleurs et un dossier de lecture pour approfondir ses connaissances et s'assurer de la bonne compréhension de l'histoire.
Le "coin des curieux" permet de découvrir des extraits d'autres oeuvres à mettre en réseau avec Peter Pan (Le livre de la jungle par exemple ou encore Les aventures de Pinocchio).

Comme pour chaque titre de la collection, les enseignants peuvent trouver sur le site de l'éditeur une séquence clé en main pour étudier l'oeuvre en classe.

Une véritable lecture plaisir qui fait toujours autant rêver les grands et les petits.
I do believe in fairies, I do, I do !

Un indémodable à lire et à faire lire.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Tout le monde connait Peter Pan. Ou tout le monde pense le connaître. En effet, Disney, en a offert une adaptation animée inoubliable de malice en 1953, laquelle a durablement marqué les esprits, au point de faire parfois oublier le Peter Pan original de Barrie. le "vrai" Peter Pan est-il si différent? Disons qu'il est plus complexe, et que l'oeuvre entière, si elle est tout autant fantaisiste, est aussi doublée d'une dimension profondément mélancolique, densité évidemment absente du long-métrage animé mais qui fait pourtant tout l'intérêt de l'histoire.


L'auteur, James Barrie, est un dramaturge de la fin du XIXème siècle dont l'enfance a été marquée par le traumatisme : son frère ainé, David, mort jeune, a plongé sa famille dans un deuil inconsolable qui a durablement touché le futur écrivain au point de transparaitre de façon déguisée dans chacune de ses oeuvres. C'est déjà le cas pour la première apparition de son Peter Pan dans "Peter Pan dans les Jardins de Kensington" (1902), où le futur héros de l'auteur, alors bébé, fugue du monde des adultes et quitte sa dureté pour rencontrer les fées qui, à Kensignton Gardens, l'emmèneront au Pays Imaginaire. Cette fuite en avant dans l'univers des songes pour mieux draper du pouvoir de la métaphore les affres de l'existence (surtout la mort) reviendra avec la création de la pièce "Peter Pan, ou l'enfant qui ne voulait pas grandir" (1904), imaginée pour (ou inspirée par?) les enfants de la famille Llewelyn-Davies, avec qui James Barrie avait créé une forte amitié (des événements qui seront repris plus tard dans le certes très idéalisé mais aussi très beau film "Neverland"). Une autre famille profondément marquée par le deuil, mais ceci est une autre histoire.

"Peter Pan", devenu un roman sous le titre original de "Peter Pan & Wendy" en 1911; est à redécouvrir dans son texte intégral original pour qui ne l'a pas encore fait. C'est la meilleure façon de cerner ce qu'est un grand classique dans le sens le plus profond du terme, car tous les éléments nécessaires sont réunis : la magie, la poésie, la surprenante psychologie des personnages malgré le lectorat jeunesse visé, et la forte symbolique. Bien plus complexe qu'il ne semble l'être, Peter Pan incarne en fait l'enfant triste par excellence, qui, pour oublier sa propre tristesse, décide de lui faire revêtir le masque de l'éternelle insouciance. Double spirituel de l'auteur (qui a aussi créé en James Crochet un autre double, mais nous y reviendrons plus tard), Peter Pan représente la jeunesse dans ce qu'elle a de plus vif, étrange, et insaisissable. A ce titre, James Barrie a su capturer ce qui fait la flamme de l'enfance : la limite entre le rêve et la réalité n'existe pas, chaque frustration est vécue comme la pire des douleurs, et même la mort n'est pas si grave, puisqu'elle est simulée. On vit comme on joue à faire semblant, on meurt comme on joue aux cowboys pirates et aux indiens. Comme un tout petit, Peter n'a pas de mémoire et peut oublier son entourage le plus proche dès que ceux qui le composent n'apparaissent plus à sa vue ; stratagème conscient ou non, il fait partie intégrante de sa nature : en oubliant, Peter ne peut se laisser marquer psychologiquement par quoi que ce soit, ses émotions n'en sont jamais altérées et il reste, comme le dit si bien Barrie, "gai, innocent, et sans coeur".

Peter Pan n'est pas seulement un habitant du Pays Imaginaire : il est le Pays Imaginaire. Sa présence, ses allées et venues conditionnent le fonctionnement de l'île, que James Barrie décrit comme la "carte mentale" qui se cache dans l'imaginaire de chaque enfant, dont elle devient la projection. On y trouve d'autres orphelins qui ne veulent pas grandir (s'ils grandissent, Peter les tue... mais, on fait bien semblant, n'est-ce pas? On ne sait plus, cela parait tellement enfantin!), les fameux "garçons perdus", que leurs nurses ont laissés tomber des landaus et ont oubliés (ne serait-ils pas déjà morts, finalement?), et que l'on retrouve au Neverland sous la forme d'éternels garnements ralliés à la cause de Peter.

Face à Peter, impossible de ne pas évoquer Crochet. Baptisé James, comme l'auteur lui-même, Crochet semble être à Peter ce que le jour est à la nuit, et vice versa. James Crochet serait-il une projection adulte de ce qu'aurait pu devenir Peter ? Rien n'est moins sûr. En tout cas, il représente tout ce que l'éternel enfant déteste : l'âge adulte, la vieillesse et la mort. Mort qui prend la forme du symbolique tic-tac du crocodile qui, rappelons-le, court sans cesse après Crochet. La dualité du pirate et de l'enfant qui ne grandit pas les lie autant qu'elle les oppose, devenant dès lors la clef de voute du Pays Imaginaire. Leur combat semble sans fin, assurant un équilibre à l'île, si bien qu'une fois le capitaine vaincu, Peter se trouve à jouer les deux rôles à la fois, comme pour assurer une sorte de continuum : il investit son bateau, porte sa redingote rouge et tient son index recroquevillé comme un crochet...

Wendy se prête un temps à ce "faire semblant", jouant la mère des enfants perdus et de Peter, telle qu'on s'en souvient même dans les versions les plus simplifiées de l'histoire. On comprend néanmoins très bien, par de nombreux passages d'une prose délicieuse, qu'elle joue autant à la maman qu'à la jeune fille qui rêve d'être courtisée par Peter, et qui aimerait furieusement que là s'arrête le jeu. Wendy y croit jusqu'au bout, essayant d'interroger le garnement sur ses sentiments ou insinuant qu'il aurait une demande à faire à ses parents lorsqu'il ramène les enfant Darling dans leur maison de Bloomsbury. Mais Peter reste Peter, face à une Wendy qui a bien décidé de grandir. C'est pourquoi il continue de revenir, aussi longtemps qu'il s'en souvient, à la fenêtre de la nursery des Darling, pour rencontrer les nombreuses descendantes de Wendy après elle et leur proposer à leur tour d'être sa maman, le temps d'une excursion au Pays Imaginaire (une fin qui insufflera de nombreuses excellentes idées au scénario du film "Hook" de Spielberg puis plus tard au "Peter Pan 2" de Disney).

On pourrait en écrire des lignes et des lignes, détailler chaque personnage (la mère des enfants Darling, superbement décrite et racontée, la fée Clochette qui appelle à ce que tous les enfants du monde frappent dans leurs mains pour la ramener à la vie), chaque lieu (le repère souterrain des enfants perdus, la chambre d'enfants des Darling où commence l'histoire), chaque étrange symbole de ce conte (l'ombre de Peter, élément fascinants parmi tant d'autres), mais nous conclurons sur la plume magnifique de l'auteur. le traducteur Michel Laporte, également auteur de romans jeunesse, rend justement honneur à l'écriture de James Barrie : une langue d'une poésie et d'une virtuosité absolument envoutantes où le lecteur est régulièrement pris à partie dans un jeu de dialogues qui rappelle la version théâtrale de l'histoire. Un style facétieux et mélancolique à la fois qui apporte la touche suprême à cette oeuvre de haute volée.

En bref : Véritable coup de coeur, le "Peter Pan" de James Barrie est un suprême chef d'oeuvre de la littérature de jeunesse qui mérite d'être redécouvert dans son texte intégral pour en apprécier toute la qualité. Tant dans la poésie du style que dans la psychologie des personnages, dans la symbolique de l'histoire que la mélancolie dissimulée dans sa seconde lecture, ce roman reste, plus d'un siècle après sa publication, infiniment précieux.

Lien : http://books-tea-pie.blogspo..
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Il est difficile de se plonger dans l'histoire originale d'une adaptation qui m'a tant fait rêver durant mon enfance, et qui n'a jamais cessé de vivre quelque part dans le coeur de la jeune adulte que je suis devenue.
Alors que le mythe Peter Pan créé par Disney était sur le point de s'écrouler à mesure de ma lecture, c'était sans compter sur l'amour dévoué que je voue à l'histoire du petit garçon et à la profondeur de celle-ci, que je me suis laissée bien évidemment séduire par le texte de monsieur James Matthew Barrie. Il est des oeuvres qui nous touchent plus que d'autres, celle-ci est incontestablement celle que mon coeur de petite fille préfère.
Si l'histoire peut paraître cruelle et d'un péssimisme sans limite à certains moments, il n'en demeure pas moins un véritable hymne à l'innocence de la jeunesse et à la générosité du coeur d'une mère.
Un petit bijou que je ne me lasserai jamais de lire et d'apprécier.
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Relecture récente, empreinte d'un peu de nostalgie je me suis replongée dans l'univers de J.M. Barrie.

J'avais oublié l'écriture du monsieur, extrêmement plaisante, on entend presque la voix d'une Mme Darling narrant ce comte. Avec une touche de poésie, de douceur.

Peter Pan l'éternel enfant innocent, sans coeur. Un comte d'autant plus apprécié avec le temps.

Une lecture rapide mais éternelle à mes yeux.
Cette édition possède d'ailleurs une très belle illustration je recommande cette version.
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