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3,02

sur 133 notes
J'adore la littérature jeunesse. Alors quand j'ai vu la quatrième de couverture et ce titre accrocheur je me suis dit fonce Gaoulette. Pour moi c'est une grosse déception.
Edvard est un looser, un peu punk, des parents bobos, fait une taille 49, vomit pour un oui pour un non et n'a pas d'amis sur Facebook. Il décide de se créer un compte sous un faux pseudo et la machine va s'emballer.
Le sujet je l'ai trouvé intéressant et je me suis dit que j'allais passer un moment cocasse. Et en fait je me suis perdue dans la trame de l'auteur. Je n'ai pas compris dans quelle direction elle partait. Je n'ai pas rigolé aux péripéties d'Edvard. Je n'ai pas compris le pourquoi du comment de Karli. A part son amitié avec le voisin, rien ne m'a emballé.
Il est vrai que l'idée du départ se retrouve à la fin mais je ne me suis pas prise au jeu de l'histoire. Beaucoup d'informations et rien de concrétiser. JE pense sincèrement que je ne suis pas le public adéquat pour ce livre. Beaucoup trop jeunes du coup. Pourtant je suis une fan mais il me faut des émotions, les premiers émois, les premiers baisers ou les bêtises loufoques d'ado pré pubères. Edvard est attachant quand même et ses parents carrément aware. C'est le point très positif de cette nouvelle.
J'offrirais ce livre à une adolescente de 10-12 ans. Je pense qu'elle rigolera. Après on passe quand même un moment sympa, il y a pire comme lecture.
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Et si vous vous inventiez une seconde identité ? Si vous deveniez la personne que vous avez toujours rêvé d'être, une personne adulée ? Si vous mentiez du début jusqu'à la fin sur votre nouveau profil Facebook pour cela ? Voici l'idée de base de Fake Fake Fake : un roman YA plein d'humour !

Si vous pensez que ce livre va traiter de la controverse omniprésente des réseaux sociaux et des dangers qui en découlent je peux vous dire qu'en réalité ce livre traite principalement de la question de l'acceptation de soi et de l'engrenage malsain des mensonges. Ce journal intime qui compose le livre permet d'immédiatement s'attacher à Edvard : un jeune adolescent amoureux d'une fille qui ne le voit pas et victime d'une petite troupe de gros durs.

Si la première moitié du livre permet de mettre en place l'intrigue et les actions successives, j'ai adoré la deuxième partie qui se concentre sur l'évolution du personnage central. C'est un être sensible et intelligent. J'aurais aimé en savoir un peu plus sur lui et ne pas le quitter et ce d'autant plus que l'humour est présent à chaque page !

Malgré tout, ce livre pourra rendre sceptique quelques uns (dont moi) car il manque une petite dose de réalisme et/ou de retours de bâton du fait des agissements poussifs du personnage face à son faux profil. de plus il faut ajouter que l'on pourra être assez surpris par l'évolution de l'histoire qui n'est en rien en quoi on pourrait s'attendre en lisant la quatrième de couverture. En effet les thématiques adolescentes traditionnelles sont laissées en surface pour se concentrer sur un point non mentionné dans le résumé. Cela reste une bonne lecture tout de même mais il faut juste s'attendre à cela !

En définitive, une lecture sympathique et légère !
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Fake, fake, fake c'est l'histoire d'un garçon assez mal dans sa peau, qui a un faux compte facebook et qui aime l'astronomie. C'est aussi l'histoire d'un vieil homme, ancien professeur d'université, qui doit quitter sa maison. Enfin, c'est des histoires adolescentes, des souvenirs de parents anciens activistes, d'envies pour le futur. de ce fait, le résumé du livre est assez inadéquat au contenu réel.

Ce roman entre typiquement dans le genre que je lisais au début de mon adolescence : des histoires d'ados, mais dans lequel des adultes interviennent permettant d'apprendre énormément sur certains sujets. C'est donc un plaisir de revenir à ce genre de temps en temps.

Ce que j'ai particulièrement apprécié dans cette histoire est le côté assez actuel. Beaucoup de romans sont assez intemporels ou dans le passé, j'apprécie pourtant le contact avec les nouvelles technologies ainsi que de parler un peu des parents anciens punks et hippies, ce qui est assez parlant pour moi. Certes, cela ne permettra pas au roman d'être toujours lu dans 50 ans, mais on peut s'identifier plus facilement.

Le personnage principal est un peu lourd par contre… Il se plaint énormément, ne connaît rien au monde, je l'ai trouvé un peu triste et pas intéressant. Au contraire d'autres personnages sont assez travaillés, notamment Karli. J'ai aussi apprécié Anselme, cet ami dont on n'est pas vraiment proche mais qui est toujours là. La mère de Edvard aussi ainsi que M. Tennenbaum.

L'histoire est sympa, dynamique et varie entre les événements vécus par le héros et ce qui se passe sur sa page Facebook factice où tout semble prendre des proportions énormes. Mais pourtant je n'ai pas réussi à en être satisfaite. Je pense avoir lu beaucoup de romans avec la même construction et donc de ne pas le trouver assez original pour marquer le coup. Par contre, vers 15 ans, je pense que j'aurais vraiment adoré ce livre.

Au final, une bonne découverte, mais qui ne laissera pas forcément des marques. Je le conseille volontiers aux adolescents !
Lien : https://nirrita.wordpress.co..
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Edvard est un loser passionné d'astrophysique. Son obsession : l'absence de poils sur son torse (qui lui vaut les moqueries de Henk, la brute du collège) et Constance, LA fille de sa classe. Mais voilà, elle ne veut pas de lui comme ami sur Facebook. Alors il a l'idée de créer un faux profil d'un certain Jason, américain beau gosse, pour pouvoir épier le "mur" de Constance. Sauf que suite à ça Edvard se retrouve pris dans un engrenage lui faisant faire n'importe quoi. Mais il va vite se rendre compte qu'il y a plus grave que ses petits tracas d'adolescent puisque son voisin risque de se faire expulser de sa maison. Il va alors mener un combat pour aider son voisin accompagné de sa famille, ses amis puis de toute sa classe.
C'est frais, c'est barré, un jeune narrateur auquel on s'attache, un véritable "page-turner" sous forme de journal intime à lire d'urgence. Bref, MON livre jeunesse coup de coeur de ce début d'année 2016 (avec Sauveur & Fils de Marie-Aude Murail évidemment) !
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Un prénom pas très fun, une voix qui n'a toujours pas mué, son corps qui s'allonge sans qu'un seul poil ne pousse, et l'amour de sa vie qui ne daigne même pas accepter sa demande d'ami sur Facebook ; décidément la vie d'Edvard est une catastrophe. Et pour que ce soit vraiment la totale, ses parents l'obligent à passer une semaine de vacances végétariennes dans une ferme bio !! Heureusement pour lui, il fait une méga allergie aux légumes ! Ah si, j'oubliais aussi, Edvard a le chic pour marcher dans les crottes du chien du voisin, qu'il ne prend pas la peine de ramasser.
Alors quand il doit retourner au collège, c'est bien sûr en trainant les pieds. Heureusement Edvard a quand même quelques amis (2 !) ; et il y a aussi Karli qui arrive dans le collège ; et ce voisin qui se révèle très étonnant ; et ses parents qu'il découvre sous un autre jour. Tout compte fait, peut-être que ce début d'année scolaire va être un peu plus rock & roll que prévu....
Sous forme de journal, ce roman est plutôt sympathique à lire, même si certains passages sont un peu tirés par les cheveux. En toile de fond, les mensonges dans lesquels on s'enfonce, caché derrière l'écran de l'ordinateur, d'où le titre.
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[ 2.5/5 ] Je m'attendais à un ouvrage young adult, mais au final, « Fake Fake Fake » se promène plutôt sur les étagères de la littérature jeunesse.

Edvard a quatorze ans. En pleine crise d'adolescence, il a l'impression de porter tous les malheurs du monde sur ses épaules. Son ennemi juré, Henk, lui pourrit la vie et dès les premières pages, les réparties des deux garçons ne volent pas très haut. Edvard est obnubilé par son torse, rêvant d'y voir pousser ses premiers poils pour pouvoir assurer un combat de coq avec Henk et prouver qu'il est lui aussi très viril. Edvard est amoureux de Constance, une fille populaire qui s'entête à le prendre de haut et à ignorer ses demandes d'amitié sur Facebook. du coup, il se crée un faux compte (« Jason » est un américain de leur âge en échange scolaire en Allemagne) avec lequel il espionne Constance (qui joue les midinettes devant ce bel étranger) et discute régulièrement avec elle via la messagerie privée du site. Pris à son propre piège, Edvard réalise que se servir de Jason ne fait qu'éloigner encore davantage l'élue de son coeur… et c'est en s'en débarrassant que les choses vont se gâter !

L'histoire est très basique. Présentée sous forme d'un journal intime tenu par Edvard, on nous y raconte dans un style très (trop ?) simple les tracas de l'adolescence, les clans formés par les élèves et les conflits à la pelle. Malgré un père stable et apprécié et une mère artiste et un brin rebelle, Edvard se plaint sans arrêt d'eux et dramatise beaucoup. Franchement, quand on marche accidentellement dans une déjection canine, qui jette directement ses chaussures à la poubelle au lieu de simplement les nettoyer ? Heureusement, cet incident ne sera qu'un prétexte pour qu'Edvard se rapproche d'un vieux voisin, monsieur Tannenbaum. Ce dernier va l'aider à trouver sa voie et Edvard va à son tour lui venir en aide. Cette intrigue intergénérationnelle compense le début maladroit du roman, avec des vacances à la campagne sans grand intérêt et un Edvard particulièrement geignard et agaçant.

Mais l'ensemble reste trop léger et improbable. le développement de l'histoire autour du faux profil de Jason est absolument abracadabrantesque. Nous savons tous à quel point il est difficile de développer une page Facebook mais ici, en quelques semaines, c'est l'avalanche d'abonnés alors qu'aucune réelle communication n'y est faite. Pire encore, on veut nous faire croire qu'une gamine de quatorze ans est apte à ouvrir une fondation caritative et prendre en charge d'autres formalités administratives. Même en admettant qu'elle ait demandé de l'aide à ses parents, je ne pense pas qu'autant de gens leur auraient si facilement fait confiance.

Je ne sais vraiment pas quoi penser de ce roman. Il est rapidement parcouru, il y a des passages assez amusants mais la morale de l'histoire me dérange beaucoup. Les arnaques en ligne seraient-elles respectables ? À croire que la fin justifie les moyens… Les adultes ne cherchant même pas à raisonner leur progéniture, je pense qu'il est important dès le tout début de lire les aventures d'Edvard au second degré pour pouvoir un tant soit peu les apprécier.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Edvard, 14 ans. Tout pourrait presque se résumer à ça. Car forcément, à 14 ans, on ne s'aime pas, on complexe, on veut être différent pour séduire la personne de ses rêves. Celle d'Edvard, c'est la jolie et populaire Constance. Malheureusement, la jeune fille ne lui décroche même pas un regard. Alors Edvard à la parade : devenir quelqu'un d'autre. Il crée donc Jason un étudiant américain qui s'apprête à faire un voyage scolaire en Allemagne. Sur Facebook, Constance adore Jason, peut-être même un peu trop… Alors Edvard décide de le tuer d'une allergie, vraiment pas de bol, mais surtout, c'est une énorme erreur médicale ! Et Constance le sait, elle veut déchaîner les foules, créer un groupe de soutien pour la famille de Jason…
Et pour couronner le tout, Edvard en a plus qu'assez de marcher dans les crottes du chien de son voisin, ses nouvelles baskets sont ruinées et ce vieil homme grincheux semble s'en ficher totalement.

Premier coup de coeur de mon année 2016, Fake Fake Fake cumule les qualités. Dès le début, je me suis esclaffée devant l'incongruité des situations dans lesquelles Edvard se fourre. J'ai lu beaucoup de reproches sur ce livre, notamment à propos d'un certain manque de réalisme. Alors certes, tout ce que vit Edvard n'est pas à 100 % possible, mais ce n'est pas dérangeant. D'autant plus que je pense que la force de Fake Fake Fake réside dans l'humour qu'on retrouve tout au long du livre, ainsi que ses thématiques fortes et superbement bien traitées.

Tout d'abord, on s'attache beaucoup à Edvard malgré ses nombreux défauts et quelques manies parfois agaçantes. le jeune homme est touchant, drôle et on ne peut que comprendre son envie d'être aimé par une jolie fille. Après tout, à 14 ans, qui peut se vanter de ne jamais avoir un coup de coeur pour la mauvaise personne ?
Quant à ses parents, ils m'ont fait mourir de rire. Complètements accros au bio alors qu'Edvard est allergique aux fruits crus, cette situation provoque des moments pleins d'humour. Ils ont un petit côté hippie, rebelle et libéralistes vraiment très sympa à lire, surtout quand ils se lancent dans des projets loufoques.
La mère d'Edvard est particulièrement perdue face aux humeurs de son fils, elle élabore des théories qui les mèneront vers des quiproquos hilarants !

Si c'est la base du résumé ; le faux profil Facebook créé par Edvard n'est pourtant pas le principal de l'histoire même s'il reste, à mon sens, le point de départ de tout ce qui va se passer ensuite. En effet, Edvard va surtout redécouvrir son vieux voisin qui lui réserve bien des surprises. Ils vont développer ensemble une belle relation dont je ne vous dirai rien pour préserver le suspens.

Notre héros va également se faire des amis, des vrais, et découvrir la force de l'amitié et de certaines valeurs tout aussi belles et importantes. Zoë Beck met habilement l'accent sur la difficulté des relations sociales à l'adolescence. Elle montre les bienfaits des proches et ne diabolise pas pour autant internet et Facebook. Elle pose simplement un constat : les amis Facebook n'en sont pas toujours et n'importe qui peut se cacher derrière un profil d'apparence séduisante.
L'autre thème crucial que Zoë Beck aborde avec plein de délicatesse, c'est le harcèlement. Edvard est un loser et Henk et sa bande sont bien décidés à le lui faire comprendre encore et encore. L'auteur en fait une toile de fond qui a aussi façonné le manque de confiance en lui que peut avoir Edvard.
En plus de mener son histoire avec intelligence, Zoë Beck possède une merveilleuse plume et nous livre un journal d'ado drôle, parfois acide, cynique, mais très vrai dans les thèmes qu'il aborde.
Lien : http://lespetitsmotsdesaefie..
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Edvard est un adolescent complexé. En classe, il est souvent en butte aux moquerie de Henk. Il est amoureux de Constance qui l'ignore alors il a l'idée de créer un faux compte facebook sous la fausse identité d'un bel américain qu'il nomme Jason. Mais son stratagème fonctionne si bien que Constance semble vraiment s'attacher à ce personnage imaginaire. Il décide alors de le faire mourir ce qui est loin de mettre fin à l'intérêt de Constance pour l'ado américain.
Edvard se rapproche d'un de ses vieux voisins et découvre qu'il s'agit d'un scientifique qu'il adore. Mais le vieux monsieur va sans doute devoir déménager.

De premier abord, Edvard est tellement vrai en adolescent mal dans sa peau qui voit tout en noir et s'ennuie de tout qu'il m'a exaspéré. Ses histoires de chaussures qu'il ne peut plus porter si il a marché dans des excréments, de vacances qui ne lui plaisent pas... m'ont semblé très agaçantes.
Petit à petit, il montre des cotés plus positifs. Finalement au moment où une nouvelle fille arrivant en classe et dans son petit groupe d'amis et où il sympathise avec son voisin, il se sent plus à l'aise et je l'ai trouvé plus sympathique.
La quatrième de couverture laisse penser qu'il s'agit d'une histoire de personnage inventé sur facebook.
Il s'agit bien plus de l'histoire d'un adolescent, de la manière dont il évolue que de cette histoire de personnage imaginaire. Malgré tout, je me suis amusée de suivre l'ampleur que prend ce faux compte. Edvard sous des dessous "tout cela m'échappe" se sert plutôt bien des réseaux sociaux. Il sait partager des articles qu'il veut faire passer à tous pour retourner les élèves de son collège.
C'est d'ailleurs assez édifiant de voir les foules se lever pour quelqu'un qui n'existe pas et ignorer les gens juste à coté d'eux.
Il y a une sorte de retournement : Edvard est ignoré de Constance et moqué par Henk au début et peu à peu, les choses changent. Peut-être d'ailleurs parce que Edvard comprend qu'ils ne sont pas si importants.
Finalement, le roman m'a bien accroché. Edvard après m'avoir agacé, m'a plutôt touché. L'histoire du scientifique qui va perdre sa maison (c'est la maison de sa famille mais il l'a vendue, mais il l'habite mais elle n'est pas à lui, mais il devait y rester et puis finalement non, et puis peut-être que si...) est plutôt tourmentée avec un peu trop de rebondissements. Mais peu importe, c'est touchant et j'ai été bien accrochée quand même.
Il y a beaucoup de choses dans ce roman qui est pourtant assez court, de personnages secondaires (les parents, les amis, la fille qui arrive...) de choses dites sur les réseaux sociaux mais surtout sur l'adolescence, sur les projets de vie...




Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
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Ce roman jeunesse je l'attendais avec beaucoup d'impatience. J'avais dévoré le précédent livre de cette maison d'édition avec avidité. Je parle bien sûr du livre : le prof, moi et les autres. Un roman que j'ai adoré. J'ai commencé ma lecture de : Fake fake fake avec beaucoup d'enthousiasme. Mais en progressant dans celle-ci, mon enthousiasme a décru et j'ai terminé le livre avec un sentiment d'inachevé.

Edvard est un ado de 14 ans mal dans sa peau. Bon il y a de quoi. Quand on dépasse d'une bonne tête tous ses amis, qu'on chausse du 49 et qu'on n'a pas encore mué, autant vous dire que la vie semble bien pénible. Edvard n'est pas bien dans sa peau. Il est amoureux de la belle Constance mais ne sait pas comment l'aborder. Alors il décide de se créer une nouvelle identité. Un double de lui qui ne serait plus le jeune homme coincé mais un beau gosse américain qui a un charme fou. Edvard créé un profil Facebook et devient Jason. Grâce à Jason, il peut approcher la fille qu'il convoite. Ils échangent régulièrement et font la connaissance l'un de l'autre. Mais quand Edvard veut faire machine arrière, la chose n'est pas si aisée. Comment avouer la vérité à Cosntance ? (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/fake..
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Roman sympathique pour ado sur les réseaux sociaux, l'amitié et l'engagement.
Edvard, 14 ans, est mal dans sa peau trop grande et pas assez musclée d'ado. Il a peu d'ami et pour séduire la populaire Constance, il crée un profil Facebook d'un jeune et beau américain. Mais la situation finit par dépasser Edvard…
Je viens de lire ce livre sur les conseils d'un garçon de 15 ans qui m'a expliqué que c'était le premier roman qu'il avait aimé (et lu en entier). Mais j'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire. Il y a pourtant des éléments intéressants : la relation entre Edvard et son vieux voisin, les parents en pleine remise en question existentielle, le côté parfois surréaliste des réseaux et les prémisses de l'engagement politique chez des ados. A conseiller à ceux qui veulent lire des histoires faciles d'ados d'aujourd'hui (même si Fb est un peu périmé auprès des jeunes).
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