AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,39

sur 4786 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Tout débute par la réception d'une carte postale, un fait somme toute banal pour la plupart d'entre nous, mais qui comporte un drôle de message. Sur cette carte postale 4 noms. Les ancêtres juifs de l'autrice morts dans les campsde concentration. Une carte postale comme venue d'outre-tombe et qui va entraîner Anne Berest à mener son enquête sur la provenance de la carte et donc la mener sur les traces de ses ancêtres.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui est très touchant. Merci à l'autrice de nous avoir partagé ses origines
Commenter  J’apprécie          110
Voilà un nouveau livre sur la SHOAH mais d'un point de vue d'une petite fille qui ne connaissait pas l'histoire de sa famille durant la seconde guerre mondiale. A la réception d'une carte postale, c'est une remontée dans le temps qui s'opère avec la découverte d'une famille inconnue de l'autrice. Il se lit d'un trait et je pense que le choix des lycéens ne se dément pas, j'approuve leur choix et chaque année ils nous font découvrir des sujets variés et qui ne laissent pas indifférent. Je le conseille fortement à la lecture du plus grand nombre.
Commenter  J’apprécie          110
Tout comme j'avais adoré l'enquête de Ruth Zylberman sur le destin d'enfants juifs d'un immeuble parisien pendant l'Occupation dans son "209 rue Saint-Maur, Paris Xe", j'ai beaucoup aimé également celle d'Anne Berest dans "La carte postale". Ici, le sujet n'est pas un immeuble et ses habitants, mais une famille, celle de l'écrivain, un sujet plus intime, plus personnel.
La carte postale qui donne son titre au livre est arrivée dans la boite aux lettres des parents d'Anne Berest il y a une vingtaine d'années avec quatre prénoms griffonnés dessus. Une carte postale mystérieuse et effrayante puisqu'il s'agit des prénoms de deux arrière-grands-parents de l'auteur, d'une grand-tante et d'un grand-oncle, tous les quatre déportés et tués à Auschwitz-Birkenau en 1942. Cet objet rangé et oublié pendant une vingtaine d'années devient un incroyable ressort narratif à la faveur d'un événement déterminant survenu dans l'école de sa fille. Anne Berest s'en est souvenue et a voulu absolument savoir qui l'avait envoyée. Aidée par sa mère, elle se lance alors dans une enquête passionnante contenant tous les éléments d'un polar : des gens assassinés, un courrier anonyme, un détective privé, un criminologue graphologue, des fausses pistes, des hypothèses et une issue incertaine. le lecteur assiste même à deux enquêtes simultanées, l'une dans le présent à la recherche de l'auteur de la carte postale et l'autre dans le passé sur les traces des aïeux de l'auteur.
J'ai beaucoup aimé ce roman tissé sur deux chronologies que sont les deux enquêtes. Celle dans le présent est très touchante, elle dévoile la relation entre l'auteur et sa mère, véritable archiviste de la famille qui enchaine cigarette sur cigarette. J'ai senti les deux femmes très proches et très attentionnées, soudées par une relation joyeuse et respectueuse. Leurs dialogues semblent parfois un peu forcés pour interroger et faire progresser l'histoire de la famille, mais ils témoignent d'un réel partage, d'une communication profonde entre elles. En raison de leur pouvoir perturbateur, certaines questions ont été difficiles à poser, certaines réponses ont été pénibles à formuler ; mais le duo d'enquêteurs formé par les deux femmes est attachant et atypique.
Cette relation m'a interrogé sur la question de la transmission entre générations. La grand-mère d'Anne Berest, seul membre de sa famille à ne pas avoir été arrêté, déporté et assassiné, est restée murée dans le silence toute sa vie. Peut-être se sentait-elle coupable d'être encore en vie. Mais comment fait-on pour vivre quand on est la seule survivante de sa famille ? Elle n'a rien dit à ses enfants, elle ne leur a pas transmis l'histoire familiale dont ce livre vient combler le silence. Parfois, les enfants pardonnent à leurs parents, parfois ils leur reprochent leur silence. Mais qui est à blâmer ? Ceux qui se taisent ou ceux qui ne posent pas de questions ? Anne Berest aborde également de façon bouleversante la question des prénoms qu'on nous transmet de façon inconsciente. Que signifient-ils ? Ils ont déjà été portés, ils ont déjà une histoire, ils sont pour l'auteur l'occasion d'écrire une magnifique lettre à sa soeur, et pour la soeur l'occasion d'y répondre de manière tout aussi émouvante en rappelant qu'il ne faut pas se sentir écrasé par les prénoms qu'on porte, mais au contraire les honorer.
J'ai aimé également la construction réussie du roman et sa langue limpide, simple et claire. Bien que d'origine juive, mais sans avoir été éduquée dans la culture ni en pratiquer la religion, Anne Berest intègre de manière habile des proverbes yiddish à l'intérieur des dialogues, elle fait infuser la culture yiddish dans ses descriptions, elle la fait sentir dans ses personnages. Quant à sa forme, le roman est construit en courts chapitres, un peu comme un feuilleton, avec des éléments qui se répondent d'un endroit à l'autre du récit et qui le rythment de façon vivante. Je pense en particulier aux deux repas de Pessah à cent ans d'intervalle : le premier en 1919 près de Moscou lors duquel le vieux Nachman demande à ses fils de quitter la Russie par crainte des violences contre les Juifs, le second de nos jours à Paris où des amis de l'auteur parlent de s'installer en Israël en raison des actes antisémites et de l'avenir incertain. Je pense aussi à l'alternance entre les deux enquêtes et au mélange des temporalités pour rapprocher les époques, je pense à ce chapitre unique sur les prénoms comme suspendu à côté des autres, une respiration surprenante dans la narration.
Le thème principal du roman reste celui de la Shoah, toute cette partie historique du récit à la recherche des origines de la famille. C'est l'exploration d'une lignée familiale tumultueuse, l'histoire de cette famille de juifs originaires de Russie qui va errer dans toute l'Europe entre les deux guerres mondiales sans jamais réellement s'installer quelque part malgré son désir d'intégration. Confiante dans la capacité de la France à la protéger des nazis et convaincue du succès des démarches de naturalisation auprès de son administration, elle ne verra pas l'horreur arrivée malgré les mauvais signes qui s'accumulent et fera partie des premiers convois vers les camps d'extermination, poussant Billy Wilder à dire plus tard que « les pessimistes ont fini à Hollywood, et les optimistes à Auschwitz. » le terrible récit d'Anne Berest détaille le rôle de l'État français dans la Shoah sur son territoire, l'organisation méticuleuse des rafles, celle des camps d'internement, des camps de transit, de la déportation. N'en déplaise aux négationnistes ou à ceux qui veulent minimiser la responsabilité du régime de Vichy, des faits historiques rappelés par Anne Berest attestent de la participation zélée du gouvernement de Pétain à l'entreprise nazie d'extermination systématique contre le peuple juif.
Je recommande vivement la lecture de "La carte postale", un livre formidable et nécessaire, un travail remarquable, une enquête passionnante à la dimension certes personnelle, mais à la portée universelle.
Commenter  J’apprécie          110
Il y a des livres plus faciles à en parler pendant des heures ou de rédiger un article en 2 mn chrono, soit parce que j'ai pris beaucoup de plaisir dans ma lecture, soit parce qu'au contraire j'ai détesté le livre en question. Et puis il y a les autres dont fait partie La carte postale, ceux qui remuent les tripes, ceux que l'on a aimé et qu'étrangement on n'arrive pas à extérioriser nos sentiments. En général ce sont des livres qui m'ont touché au plus haut point. Pour cela heureusement j'ai les vlogs lectures, les expressions du visage parlant d'eux même.

Ais-je vraiment besoin de vous rabâcher le sujet de ce livre qu'on a vu mille fois passer dans la blogosphère littéraire ? Oui ? Alors voilà.

Un jour les parent d'Anne Berest reçoivent une carte postale, avec les noms de ses aïeuls décédés pendant la seconde guerre mondiale dans les camps de la mort. Il y a des sujets douloureux dans les familles ceux qu'on aimerait oublier et ne plus entendre parler. Alors comme pour clore le sujet la mère d'Anne a rangé la fameuse carte postale dans un tiroir. Et tout le monde l'a oubliée. Jusqu'au jour où ce même passé c'est réimposé à la jeune femme. Avec cette simple phrase prononcée par sa fille. « Je crois que dans mon école on n'aime pas trop les juifs ». Soixante ans plus tard, les propos antisémites sont toujours monnaies courantes. Alors Anne se souvient de la carte postale que sa mère avait reçue et décide de mener son enquête afin de découvrir l'identité de la personne qui leur avait envoyée cette carte adressée à sa grand-mère, seule rescapée. Afin d'en comprendre le geste. Il lui faudra se confronter à son propre passé, aux souvenirs que l'enfant qu'elle était a chassé très loin au fond d'elle-même. Elle se rendra alors compte que la mémoire du sang dicte parfois nos gestes, sans que l'on s'en rende vraiment compte.

Mais pour mieux nous immerger dans ce fameux passé, il nous fallait au préalable comprendre le parcours de la famille Rabinovitch. Ce passé que Myriam la grand-mère d'Anna a caché. C'est Lélia (la mère d'Anne) qui a dû chercher et regrouper des documents, des lettres, des carnets qui lui ont permis de reconstruire cette identité filiale qui lui manquait. Lorsque la carte postale était arrivée Anne séjournait chez sa mère à cause d'une grossesse difficile. Elle nous conte l'histoire de sa famille grâce à un dialogue mère fille.

C'est ainsi qu'on va faire la connaissance de chaque protagonistes de la carte postale. Qu'on va apprendre à les aimer, et qu'on va les voire mourir sous nos yeux ou presque. Car la plume d'Anne Berest à ce pouvoir de nous emmener avec eux, comme si on y était. Je me souviens combien j'ai été furieuse après son arrière-grand-père d'être allez plus d'une fois se jeter dans la gueule du loup.

Mais c'est tellement facile de juger à notre époque. de se donner bonne conscience en se disant que nous, on aurait agi autrement. Personne ne peut l'affirmer, la preuve des propos raciales circulent encore en France. Sans parler des actes antisémites.

Dans la seconde partie de la carte postaleAnne Berest nous montre le poids de ce passé lourd à porter. de ce que c'est d'être juif dans les années 2000.

La troisième partie est consacrée à Myriam, comment elle a fait pour survivre, mais également à travers sa grand-mère elle nous aide à comprendre comment ce sont senti les survivants. Parce que malgré tout il faut apprendre à avancer. J'imagine combien ce doit être difficile de se reconstruire après des épreuves comme ça. Je comprends les silences des survivants. Mais je comprends également l'importance des écrits, journaux, lettres etc. Ils sont importants pour ne pas oublier.

Alors oui c'est un livre qui nous parle encore de la shoah, oui c'est un sujet vu et revu. Mais c'est aussi un livre sur les descendants, un livre qui fait réfléchir qu'on le veuille ou non. C'est également un livre sur une quête.

Il ne s'agit pas d'un livre policier, même si Anne mène une petite enquête afin de connaître l'identité de ce correspondant anonyme. Il s'agit surtout d'une quête identitaire.

L'enquête paraît un brin trop facile, mais le livre comporte déjà 500 pages, alors s'il avait en plus fallu rajouter de façon minutieuse, les années d'enquêtes jusqu'aux moindres détails, on aurait eu un vrai pavé. Remarque, j'aurai peut-être préféré cela aux quelques longueurs ou passages inutiles à la compréhension, qui même s'ils n'ont pas gâché ma lecture, ont enlevé le petit coup de coeur qui s'annonçait au départ.

La carte postale d'Anne Berest n'est pas passée loin du coup de coeur en ce qui me concerne.
Lien : https://grandiravecleslivres..
Commenter  J’apprécie          113
En janvier 2003, la mère d'Anne Berest reçoit une étrange carte postale : l'opéra Garnier côté recto, le nom de ses grands-parents, son oncle et sa tante au verso, exterminés tous les quatre en 1942. Aucune signature, aucune indication quant à l'identité de l'expéditeur. Cette carte ébranle et questionne… puis est vite remisée dans un tiroir. Parce que la vie doit continuer, malgré tout. Vingt ans plus tard, alors que l'auteure s'apprête à devenir mère, elle ressent le besoin de revenir à ses origines, de comprendre qui elle est et d'où elle vient. Répondre à cette question que tous se posent : c'est quoi, finalement, être juif ? Commence alors pour Anne Berest une quête aux allures d'enquête qui l'emmènera aux quatre coins de la France et la poussera à raviver les blessures et les non-dits familiaux.

C'est avant tout la plume d'Anne Berest, douce, sensible et pleine d'affecte, qui traduit de la charge émotionnelle qui se cache derrière ce pavé de la rentrée littéraire. C'est une histoire à fleur de peau, qui met en lumière toute la douleur et ce sentiment prégnant de culpabilité du survivant qui colle à la peau de toutes ces victimes collatérales. Au-delà de cette histoire de famille que l'auteure déroule devant nos yeux, Anne Berest livre également un splendide plaidoyer sur l'importance de poser des mots sur les traumatismes pour espérer, peut-être, les dépasser et s'en libérer. Sans jamais oublier.

En écrivant l'histoire de ses ancêtres et, par extension, la sienne, Anne Berest donne, possiblement, une réponse à cette interrogation sur l'identité judaïque : peut-être qu'être juif, c'est justement se poser cette question et tenter de comprendre l'inconcevable.

Ce n'est qu'à la lecture des dernières lignes du roman que l'histoire nous dira qui était le fameux auteur de cette carte postale, qui révèleront également toute l'importance de la transmission, de la mémoire et de l'urgence de raconter.

Un récit nécessaire, qui bouscule de par l'émotion qui s'en dégage… quoi qu'en pensent certains pontes de la littérature.
Commenter  J’apprécie          110
Un livre très intéressant à lire, très poignant et tellement bien écrit. Entre enquête, quête et récit, on suit des moments durs et douloureux, des récits de vie qui nous touchent profondément. La première partie m'a bouleversé avec Jacques et Noemie... L'auteure réussit à rendre cela passionnant, difficile de lâcher sa lecture en cours. Un livre presque nécessaire à lire, que j'ai beaucoup aimé.
Commenter  J’apprécie          100
La Carte Postale est un livre passionnant, émouvant, qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page,

Anne Berest mène l'enquête qui a bien pu envoyer cette carte postale à sa grand-mère ? du coup elle mène son enquête et embarque sa mère Lelia dans cette aventure qui les emmènes sur l'histoire douloureuse de leur famille les Rabinovitch, graphologue, détective , visite de l'ancien village des Forges , secrets familiaux , s'emmêlent et interviennent dans cette quête .

La guerre de 39-45 et ce que l'on a fait aux peuples juifs sont innommables , on apprends dans ce livre que le film nuit est brouillard qui était nommé pour la palme d'or à Cannes en 1955 a dû être retiré de la liste , l'Allemagne en ayant fait la demande , la France le retire pour préserver une bonne entente de réconciliation après guerre , ce film sera toutefois visionné à Cannes , mais , hors liste.

On lira aussi que la France avait des justes et des moins justes , prêt à collaborer au grès de leurs intérêts , les histoires macabres sur cette guerre sont légions , crimes contre l'humanité n'est pas un vain mot .

On lira , le courage , l'espoir , la peur , la mort et la vie .

On apprendra aussi que l'antisémitisme existe encore de nos jours et que cette peur ce transmet de génération en génération .

On oublie souvent que nous sommes tous issue de l'immigration et on devrait se le rappeler sans cesse surtout en ce moment .

La reconstruction d'un passif familial est long et laborieux et demande du courage .

Ce livre est magnifique et je ne peux que le conseiller , c'est un grand coup de coeur ❤️❤️



P.s . Il a reçu le prix Renaudot des Lycéens
Commenter  J’apprécie          100
En 2003, une carte postale avec l'inscription de quatre prénoms arrive dans la boîte aux lettres des parents de l'auteur. Mais ce n'est que dix ans plus tard qu'elle se décide de se pencher sur cette carte et la raison de cette inscription des prénoms de ses grands parents et oncle et tante morts dans les camps de concentration.

Ce livre est l'histoire de la vie de la famille de l'auteur. Elle nous raconte comment ses arrière grands parents Rabinovitch ont fui la Russie pour finalement arrivé en Palestine après différentes étapes en Europe et notamment à Paris. Mais l'Europe leur manque, ils reviendront donc en France; au début à paris puis aux Forges en Normandie. Mais la guerre va les rattraper.

Cette quête de vérité va nous montrer un aspect peu glorieux de la France avec sa participation honteuse à la déportation de nombreuses personnes et surtout comment elle a tenté de se dédouaner avec une organisation surréaliste des retours de camps.

Au départ j'ai lu ce livre comme un roman où une enquête était menée avant de comprendre qu'il s'agissait de l'histoire de la famille de l'auteur sur cinq générations.  Enquête qui va permettre à l'auteur de prendre la pleine conscience de sa judaïcité, elle qui avait toujours vécu hors de la religion.

Cde témoignage est un bel hommage rendu à tous ceux et celles qui sont venus en aide, à quelque niveau que ce soit, à ceux et celles qui étaient traqués. Et il pose la question de l'antisémitisme aujourd'hui. 

J'ai apprécié ce témoignage qui a complété ma connaissance de ce triste pan de notre histoire mais il se noie dans la pléthore de livres portant sur le même sujet.  
Lien : https://quandsylit.over-blog..
Commenter  J’apprécie          100
C'est vrai que c'est un livre intéressant surtout par cette quête incessante de la vérité, rien que cela mérite la lecture. Mais il faut reconnaître qu'il y a des longueurs qui affaiblissent l'intérêt et au bout d'un moment, on a envie que l'enquête se termine et qu'on sache enfin le fin mot de l'histoire !
Commenter  J’apprécie          100
Le livre se présente en deux parties.
La première se nomme « Terres promises ».
On fait la connaissance de la famille Rabionovitch, une famille juive donc le fils aime la cousine germaine, Anna Gavronsky.
Le début d'une belle d'amour qui donnera naissance à trois enfants. La vie de cette famille est rythmé par quelques déménagements.
Partie de Moscou, la petite famille a habitée plusieurs ville jusqu'au jour où ils sont arrivés en Normandie, peu avant le début de la Seconde Guerre Mondiale.
La suite fait , malheureusement, partie de l'Histoire : la déportation, les camps de concentration …
La deuxième partie se nomme « Souvenirs d'un enfant juif sans synagogue »
On fait la connaissance de Lélia, la maman d'Anne et grand-mère de Clara. Il y a également Georges l'amoureux d'Anne.
Anne mène un combat ; celui de retrouver l'auteur d'une carte postale postée en 2003.
Telle un policier, elle mène une enquête avec toutes les hypothèses possibles .
Elle en découvre l'histoire de sa Famille..
.
——————————————-
Si la première partie de cette lecture ne m'a pas emballer. Trop historique à mon goût ! La seconde partie est quand à elle , prenante. Dans toutes ces hypothèses et les soucis de la vie d'Anne, on ne voit pas les pages passées !
.
C'est une jolie lecture où beaucoup de sentiments se mêlent ! Je recommande ce livre sans soucis 💫
Commenter  J’apprécie          100





Lecteurs (9327) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3237 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}