Un peu fourre-tout et surtout « dépassé » notamment en ce qui concerne les nombreuses statistiques instillées tout au long des 6 périples :
* Un vieux pays tout neuf, la Chine
* L'Inde, un monde entre deux mondes
* Laponie, bonjour la neige, tchao les jeunes
* Massaï… une autre Afrique
* Pérou, Incas particuliers
* Australie. La démesure et les contrastes
C'est construit autour des problématiques de l'enfance, des différences culturelles et de leurs contrastes. Les croquis se veulent humoristiques.
On apprend aux jeunes lecteurs à préparer des voyages réels et on les incite à en effectuer des virtuels, notamment à travers la lecture, toujours une valeur sûre pour s'évader.
Commenter  J’apprécie         630
Chacun ses oignons
Les Australiens ont une manière très personnelle d'appliquer leurs devise « everybody is to mind his own business » (que chacun s'occupe de ses affaires).
Ne pas se mêler de ce que font les autres consiste pour eux à éviter de se distinguer. Ce qui aboutit à s'habiller comme les autres, vivre comme les autres… et au moindre pépin, à courir comme un seul homme, pour offrir son aide.
Tu veux une idée de leur « indifférence » ? Après le cyclone qui a rasé Darwin, les habitants sont partis chercher refuge à Alice. Tout au long de la route (1.500 km), des barbecues gigantesques les attendaient. On leur apportait de quoi se laver, des aliments pour bébé. On leur donnait de l'essence, on réparait leur voiture. Ils étaient installés dans les maisons, les femmes donnaient leur robes…
Il y a quand même un exemple d'individualisme Australien. C'est le seul pays au monde où l'écartèlement des rails des chemins de fer est différent selon les États…
(p. 76-77)
Ailleurs, c'est ici. C'est une histoire d'idées et d'envies. Un après-midi un peu long, un anniversaire à fêter… sans faire de folies, ni d'extras, tu peux t'évader du train-train, créer une ambiance différente et voyager sans sortir de chez toi.
(p. 107)
La pluie, ras-le-bol. La chaleur, c'est trop. Evade-toi ! En imagination, à travers les livres, tu le peux à tout moment.
(p. 121)