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sur 149 notes
C'est plus un témoignage qu'un roman auquel nous a habitué Jean Philippe Blondel, avec quelques écrits lors d'un atelier d'écriture qu'il a animé dans son lycée pendant un semestre et de belles surprises dans ces textes.

On partage les doutes de chacun des participants, aussi bien ceux des 2 adultes que ceux des élèves car tous sont traités à la même enseigne. Pas de notions de niveaux de connaissance, Chacun est face à sa page blanche et vient là avec ses mots, et surtout ses tripes.

Des moments forts où l'émotion est à fleur de peau, où l'écriture libère à la grande surprise de chacun. Un moment où ils se dévoilent parfois au delà de ceux qu'ils auraient souhaité porté par le thème proposé ce jour.

Un heure par semaine pour s'abandonner, se révéler à soi même et charger les regards sur les autres mais aussi sur soi même.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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Dans le lycée de François Roussel et de Marion Grand, professeurs d'anglais et de philosophie décident de monter un atelier d'écriture dans leur lycée. Dans cet atelier 10 adolescents et les 2 professeurs vont partager une expérience d'écriture, vont apprendre à se connaître, à libérer leurs émotions, tous à égalité ,tous faisant partie du même groupe.
Le livre est en fait composé des textes écrits lors des ateliers d'écriture certains sont vraiment des petits bijoux imaginatifs, créatifs, surprenants, émouvants.
J'ai vraiment adoré ces morceaux de vie rêvés, fantasmés ou bien réels.
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CRITIQUE LITTÉRAIRE : LE GROUPE (Jean-Philippe Blondel)

Résumé personnel : Ce roman est en réalité la description de l'évolution d'un atelier d'écriture dans le cadre du lycée au cours de différents exercices. Créé par un professeur d'anglais et écrivain, François Roussel, assisté par Marion Grand, également professeur au même lycée, cet atelier réunit chaque semaine, pour une heure, un groupe de dix jeunes adolescents dont Léo, Émeline, Juliette, Camille, Nina… et même Boris qui au départ, n'était pas destiné pour ce genre d'atelier littéraire qui se compose d'ailleurs d'élèves inscrits dans toutes les filières, aussi bien littéraires que scientifiques. Ce groupe sera au final composé de douze personnes, en ajoutant les deux adultes à l'initiative de ce projet et qui participeront eux aussi, dans les mêmes conditions et les mêmes règles que les élèves (ou presque...), à cet atelier d'écriture renfermé sur lui même et clos du monde extérieur où tout le monde est au même niveau dans un groupe à part. Non, pardon, dans LE GROUPE qui a pour but, en première intention, de laisser s'exprimer tous ses membres librement mais cela ne va pas tout à fait être le cas… Entre bouleversements, révélations, retournements de situations, les personnages ne vont pas passer des heures paisibles au sein de ce groupe. En effet, les histoires réelles, les « vraies » et celles de fiction, tirées de l'imagination, c'est-à-dire les « fausses », vont émouvoir les personnages et chambouler leurs vies. Et oui, c'est la loi qui se fait respecter dès que l'on intègre ce groupe. Ou plutôt,veuillez m'excuser encore une fois, LE GROUPE.
La question à se poser est donc de savoir ce que peuvent bien écrire ces personnages pendant l'atelier, qui soit aussi bouleversant. Voulez-vous le savoir ? Bon d'accord, alors… lisez le livre.
Avis argumenté : A première vue, ce livre ne m'a pas donné envie de le lire, de part sa couverture, trop simple à mon goût, mais aussi de part son résumé, inhabituel selon moi, ce qui m'a perturbé. Mais au final, en me « plongeant » peu à peu dans cette histoire, je dois avouer qu'il est plutôt intéressant et je l'ai apprécié. Tout d'abord, le style de ce roman est assez simple ce qui permet à un adolescent comme moi de bien « adhérer » à l'histoire sans être bloqué par un vocabulaire trop complexe par exemple ou d'autres choses… En effet, la description n'est pas trop présente dans ce livre, au contraire, elle permet de mieux comprendre l'action en déroulement, le ressenti des différents personnages (leurs émotions) tout en laissant place à l'imagination. de plus, le ton est assez vivant pour garder le lecteur en éveil tout le temps. En second lieu, et surtout ce qui m'a beaucoup plu, est le thème abordé à travers ce roman. Effectivement, l'histoire repose uniquement autour d'un atelier d'écriture ce qui est plutôt original mais ce qui permet surtout d'aborder plusieurs thèmes comme le retour à l'enfance… à travers les différents exercices d'écriture mais surtout également à travers les différents points de vue des personnages qui permettent d'avoir plusieurs ressentis à la fois pour un même thème. Grâce à cette histoire, j'ai aussi pu en apprendre davantage sur un milieu social, ce qui est nouveau pour moi cette année : le lycée. Donc je peux dire que les divers thèmes abordés dans ce roman me touchent, à la fois par les personnages qui sont de ma tranche d'âge et auxquels je peux m'identifier, mais aussi par le contexte dans un lieu qui m'est familier. En ce qui concerne les personnages d'ailleurs, ils sont aussi un élément qui m'a permis d'aimer ce livre. Je les ai tous aimés car ils sont tous attachants avec chacun des caractères, des défauts, des qualités bien propres à eux, ce qui leur fait donc déjà un point commun. Leur deuxième point en commun est qu'ils vont tous évoluer au cours de ce roman en essayant (plus ou moins bien) de modifier leurs défauts ou leurs caractères qu'ils jugent trop présents chez eux (timidité…). D'ailleurs, certains ont des traits de caractère semblables aux miens ce qui m'a, encore une fois, mieux permis de m'identifier à un, voire plusieurs personnages. de plus, chacun d'entre eux donne envie d'en savoir plus sur eux, sur leur histoire. Troisièmement, le rythme de l'histoire est modéré avec de nombreux rebondissements, et le récit est très présent (dialogues presque inexistants) ce qui ne rend pas l'intrigue toujours facile à suivre : c'est peut-être là le problème majeur de ce roman pour moi même si, globalement, j'ai toujours adhéré et été emporté par l'histoire.
Pour conclure, je trouve ce livre vraiment bien et intéressant, en particulier pour des lecteurs adolescents car il permet de s'évader et il procure des émotions à travers les personnages et les différents thèmes ; c'est d'ailleurs ce que l'auteur, Jean-Philippe Blondel, cherche selon moi à faire : émouvoir.
Marius T. Les SI littéraires

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C’est l’histoire de dix élèves de terminales, un professeur d’anglais (écrivain) et un professeur de philosophie qui se réunissent à l’atelier d’écriture, une fois par mois. Les élèves ne se connaissent presque pas, et viennent pour des raisons différentes comme la curiosité, la volonté de s’affirmer ou tout simplement, l’envie de progresser. Pourtant, ils vont partager ensemble des émotions fortes.

A l’aide d’exercice d’écriture, les élèves et professeur vont devoir se délivrer, se « mettre à nu » et se mettre dans la peau d’autre personnages. Pour certains, c’est uniquement de la fiction. Pour d’autres, c’est réel mais une chose est sûre, les personnages qu’ils incarnent et les histoires qu’ils leur inventent sont en fait, indirectement une partie de leur histoire ; entre prise de conscience et émotions, chaque personnage va enfin se révéler. Au fond, c’est bien plus profond qu’un simple atelier où l’on écrit.
Allan B

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Résumé personnel
Deux professeurs eurent un jour l'idée de mettre en place un atelier d'écriture, une heure par semaine, durant six mois, pour que des élèves aient l'opportunité de s'exprimer librement. C'est ainsi que de janvier à mai, les deux enseignants François Roussel et Marion Grand et dix autres élèves de terminal se réunirent pour écrire : ils racontaient leurs histoires et se livraient à travers différents sujets – des exercices dictant des contraintes traitant du personnel et du fictif. Ils partageaient leur vie, leurs peurs, leurs souvenirs, telle une "purification" de leurs émotions, créant des liens forts et intimes entre eux. Durant ces séances, ils pouvaient être eux-mêmes.

Avis argumenté sur le livre
J'ai trouvé ce livre très touchant. Le concept créant une grande proximité avec les personnages, les sentiments partagés avec le lecteur ... cet ouvrage est un assemblage d'émotions fortes, des souvenirs et de vérités : j'ai vécu les histoires racontées par les personnages, celles des professeurs, qui racontaient leurs problèmes et souffrances, mais aussi des élèves de terminale, avec qui je m'identifiais particulièrement étant élève de seconde, et en qui j'ai reconnu une grande maturité qui m'a surprise et suscité intérêt dans la lecture de leurs textes. Chaque personnage m'a semblé tout aussi important et indispensable au livre : j'ai eu l'impression tout au long du livre de lire directement dans le coeur des personnages, de les connaître, de les comprendre. Le point de vue omniscient nous fait vivre l'histoire, je n'ai pu rester indifférente face aux différentes histoires, qui m'ont toutes provoquée beaucoup d'émotions. C'est comme si on devenait les personnages, et je me suis personnellement identifiée à Maxime: son manque de confiance, sa vie sociale, son point de vue sur la vie au lycée, ses peurs... j'avais l'impression de me lire. Le personnage de Valentine m'a aussi particulièrement touchée : sa force de caractère, sa sensibilité... Tous les personnages étaient comme "mis à nu", complètement à découvert, montrant leurs faiblesses et leurs douleurs.
Je tiens aussi à noter une phrase de la professeur de philosophie Marion Grand qui m'a particulièrement fait réfléchir et que je trouve très réaliste : "C'est important les rêves, non ? C'est ce qui nous permet d'accepter la réalité."

Sarah KAMALI
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Ils sont 10 à avoir accepté de participer à l'atelier d'écriture de Mr Roussel, prof de français et écrivain de renom, et de Mme Grand, prof de philo.

10 ados de terminale, avec leurs angoisses, leur personnage social, leurs désirs et leurs frustrations, qui ont accepté de se livrer à travers des exercices d'écriture imposés, une heure par semaine. Les profs aussi jouent le jeu, et bientôt les barrières tombent, les liens se tissent et ces douze individus se mettent à former un groupe lié par les mots.

Léo, Nina, Emeline, Maxime, Boris, Valentine, François Roussel et Marion Grand se dévoilent peu à peu, au fil des textes plus ou moins personnels, des phrases pleines de nostalgie, d'humour, de révolte ou d'amour.

Jean-Philippe Blondel a lui-même animé de nombreux ateliers d'écriture son expérience est présente en filigrane tout au long du roman.

J'ai beaucoup aimé ce livre réaliste, qui montre combien l'écriture peut changer les relations entre les personnes, créer des ponts entre les individus et les générations. L'ensemble est sobre mais touchant, et je me suis attachée à chaque personnage... le ton est juste pour parler de l'adolescence, et l'émotion au rendez-vous à chaque texte révélé.

J'ai quitté ces pages avec cette pointe de mélancolie et de frustration qui marque la fin du groupe.

Céline
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Sur la couverture, pris en gros plan, il y a des crayons de mine usagés, ligotés ensemble en une sorte de fagot posé à la verticale. L'image me rappelle instantanément une vieille histoire d'un camarade qui préparait avec moi l'ENA en 1980. Il avait fait auparavant un stage chez Michelin, à Clermont. le célèbre patron était connu pour son austérité personnelle et son sens de l'économie, qui avaient imprimé leur marque dans toute l'entreprise. Dans les bureaux, quand votre crayon était usagé, tellement diminué à force d'être taillé qu'il en devenait inutilisable, il fallait le rapporter au magasin des fournitures. Mais au lieu de vous en fournir un autre, un neuf, le préposé vous tendait un petit tube en plastique qui allait servir de manche et vous permettre de prolonger l'usage de votre bout de bois, jusqu'à son extrême limite. Geste qu'on jugerait écolo aujourd'hui mais qui semblait être à l'époque l'effet d'une radinerie sans nom. Bon, revenons à mon fagot du début, celui de la couverture.

Le livre s'appelle le groupe, il est de Jean-Philippe Blondel. Il raconte le déroulement d'un atelier d'écriture dans un lycée. Un enseignant-écrivain et une collègue prof de philo qui l'a sollicité avec insistance, décident de réunir dix élèves volontaires pendant cinq mois, à raison d'une heure par semaine. le « pitch » comme disent les scénaristes d'Hollywood, n'a donc a priori rien de très folichon. Des mots sur des mots que vont s'arracher laborieusement quelques Terminales, garçons et filles et leurs professeurs. le lien qui tient ensemble les crayons, sur la couverture, connote parfaitement les règles imposées aux douze membres de l'atelier. Chaque séance est un exercice nouveau : texte à trous, commentaire d'une photo de classe, description d'un objet et invention de son propriétaire, etc. Tout le monde se plie bon gré mal gré aux protocoles : avoir été volontaire crée des obligations, que les adultes sont là pour rappeler, d'autant plus aisément qu'ils s'y soumettent eux aussi.

On devine que le professeur du roman, nommé Roussel, qui est aussi écrivain à ses heures, est une sorte de double de l'auteur nommé Blondel qui est dans la même situation. Et si, comme beaucoup d'écrivains pour la jeunesse, M. Blondel se livre à ce sport qu'on nomme animation en milieu scolaire, nul doute qu'on lui posera l'incontournable question : « est-ce que c'est une histoire vraie ? » Ce qui est sûr, c'est que Jean-Philippe Blondel nous livre une vraie histoire, celle d'un groupe qui se constitue en marge du lycée, délivré pour un temps des stéréotypes de la vie scolaire qui pèsent autant sur les adultes que sur les adolescents. le groupe est le récit de cette lente délivrance, de ce désarmement, pourrait-on, dire par « l'acte d'écrire », seule obligation qui subsiste.

Parce que le groupe fonctionne selon d'autres règles, on se demande d'ailleurs si l'Éducation nationale ne gagnerait pas à les faire siennes dans toutes les matières : aucune évaluation du travail fourni, liberté de lire ou pas son texte devant les autres, aucune position de surplomb des enseignants par rapport aux élèves, au point que ce qui distinguait les uns des autres semble se diluer au fil des semaines. Et au final, c'est une grande vérité entre les êtres qui surgit, née paradoxalement au coeur d'une entreprise fictionnelle. Chacun aura reçu de l'autre une sorte de passeport pour quitter une adolescence dont tous les tourments et les désarrois auront été effleurés, avec le subtil mélange de délicatesse et de crudité propre à cet âge, seuil et passage vers le monde adulte.

Blondel, l'auteur, glisse un narrateur dans la peau de chaque personnage, ado, prof, garçon, fille, homme et femme, et lui fait dire « je » pour exprimer les sentiments éprouvés, le regard qu'il pose sur les autres ou qu'il reçoit d'eux. C'est donc un roman à focalisations multiples. Les textes partagés dans l'atelier trahissent d'une autre manière ce que les monologues intérieurs, qui se répondent de loin en loin, nous révèlent. Dans cette bulle de la rencontre hebdomadaire, c'est la vraie vie qui émerge peu à peu. Par une inversion progressive, celle du dehors, commune, quotidienne, s'éloigne peu à peu, pour devenir factice et sans intérêt, quasiment irréelle au regard de celle à qui la langue écrite a accordé sa généreuse hospitalité.

Dans une ultime mise en scène personnelle, Jean-Philippe Blondel boucle son atelier : comme s'il revenait au professeur de se laisser enfin subvertir par l'écrivain, il laisse à celui-ci le dernier mot. Et l'on se prend à rêver, en fermant le livre, d'une école enfin désarmée par l'écriture.

Pour écouter cette chronique et un extrait du livre :
Lien : http://littejeune.blogspot.c..
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François Roussel, professeur et écrivain, se laisse convaincre par une collègue d'organiser un atelier d'écriture à l'école, pour des terminales volontaires. Il a toujours refusé de mêler ses deux vies professionnelles mais là, il accepte dubitatif sur l'intérêt des étudiants. Ils seront douze à relever le défi, une heure par semaine.

Ce roman polyphonique de Jean-Philippe Blondel est largement autobiographique puisqu'il se met en scène dans un exercice qu'il a réellement pratiqué. Lors de l'écriture du roman, il a demandé aux élèves leur autorisation de publier leurs textes et leur a même donné un dernier « devoir » celui de raconter, avec un an de recul, comment ils avaient vécu les mois traversés ensemble. Cinq ont relevé le défi. Une n'a envoyé qu'un texte, le dernier.

Ce qui m'a touché dans ce récit c'est la justesse des mots employés par les étudiants pour décrire leur quotidien, leurs préoccupations d'adolescents à un carrefour de leur vie. M. Roussel craignait que les élèves ne s'impliquent pas, je pense qu'ils sont allés au-delà de ses espérances, d'où le livre. L'histoire du projet, les exercices, les réactions… tout y est parfaitement retranscrit et nous dévoile peu à peu la personnalité de chacun, sans concession. Tout sonne juste.
Cet atelier d'écriture et ce livre qui donnent la parole ou plutôt la plume à chacun, tour à tour, témoignent aussi, si besoin en était, de la puissance, du pouvoir de l'écriture sur celui qui en accepte les règles.

Difficile de savoir où est la fiction, où est le réel. Ecrire, c'est mentir un peu. Mais est-ce important ? L'intime est délicatement rendu, le cheminement de chacun est mis en lumière avec finesse. Les masques tombent peu à peu et chacun en est conscient. Quelque chose de fort les lie désormais. Pour toujours ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre, ces cinq mois laisseront des traces dans leur vie.

Un roman à lire et à faire lire. de bonnes idées d'écriture à puiser pour les enseignants et peut-être, des points de départ pour les jeunes qui voudraient tenter l'expérience.
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Et là je comprends encore mieux pourquoi j'aime tant les romans de Jean-Philippe Blondel...l'auteur observateur qui touche juste et simple à tous les coups...parce qu'ils "parlent vrai", tout simplement ! Ce roman polyphonique d'un atelier d'écriture au lycée, c'est une expérience qui pourrait m'arriver, sauf qu'il me faudrait une sacrée dose d'audace et de force pour accueillir de tels sentiments libérés par l'écriture. Les parcours de jeunes adultes qui se construisent et dévoilent leurs intimités et de surprenantes maturités, les adultes professeurs qui lèvent aussi le voile et partagent leurs belles faiblesses, les révélations de l'écriture sont puissantes et l'impact du collectif en accentue encore la force émotionnelle.
[...]

Lien : http://www.petitesmadeleines..
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Les personnages:
2 professeurs:
- François Roussel ,professeur d'anglais et écrivain
-Marion Grand ,professeur de philosophie
10 élèves:
-Léo
-Nina
-Émeline
-Maxime
-Boris
-Valentine
-Élisa
-Camille
-Juliette
-Morgan

Ils se retrouvent une heure par semaine pendant cinq mois pour écrire.Les personnages sont plutôt tendus au départ mais l'ambiance devient plutôt conviviale.
J'ai trouvé ce livre difficile à lire et à comprendre du à la forme polyphonique du texte.

C.Katarina
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C'est l'histoire de plusieurs élèves qui se retrouvent toutes les semaines après les cours pour écrire. Tous sont venus dans ce club pour s'ouvrir sur leurs problèmes. Au fur et à mesure de l'année ils se confient de plus en plus...

J'ai beaucoup aimé ce livre. Les histoires de chacun sont très touchantes. On peut se reconnaitre dans un personnage car ils sont chacun très différents. le livre est court et facile à lire. La couverture ne donne pas très envie mais dès que l'on est dans le livre on ne peut plus en ressortir. Ce livre mérite d'être lu et je ne suis pas deçue de l'avoir pris. Il peut être lu par tous les lecteurs.

Julia(5e)
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Enseignant et romancier, François Roussel et sa collègue Marion Grand décident d'animer un atelier d'écriture au sein du lycée, pour une dizaine d'élèves de terminale.
Pendant un semestre chacun va se découvrir et vivre des émotions dont aucun n'avait idée en se portant volontaire... Ils composent « le groupe ».

Au début, pas très intéressé par ce livre qui est une retranscription des différents exercices de l'atelier de lecture, j'ai ensuite trouvé intéressant de voir l'évolution de chaque intervenant dans leur façon d'être et d'écrire. Des liens se sont créés et beaucoup d'émotions lors de ces séances ou même les deux professeurs se sont mis à nu. Mais les 125 pages suffisent largement.

Sébastien DB
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