Un c'est bien, deux c'est mieux !, tome 1

Voici que j'achève, avec ce roman, les cinq ouvrages qui m'ont été envoyés dans le cadre d'une opération Masse Critique privilégiée et c'est donc tout naturellement que je commence cette critique en remerciant babelio ainsi que les éditions Kennes car je suis vraiment contente d'avoir découvert leur nouvelle collections K, même si si je reste sur une mauvaise impression avec cette dernière lecture.

En effet, cet ouvrage est celui avec lequel j'ai le moins accroché et je trouve cela dommage de terminer mes impressions de lecture sur ce dernier mais bon, c'est comme cela et puis, l'on ne peut pas dire non plus que j'ai littéralement détesté puisqu'il y a tout de même certains passages que j'ai trouvé attendrissants (sans le cas contraire, je n'aurai pas ajouté des citations au cours de ma lecture) et d'autres qui m'ont fait sourire mais pour le reste, j'ai trouvé l'histoire banale et vulgaire : une trentenaire que sa mère désespère de caser qui tombe sous le charme de jumeaux puis qui décide, étant dans l'incapacité de choisir entre les deux , d'accepter leur proposition, à savoir celle de faire ménage à trois.
Bon, que je vous décrive un peu les personnages : Charlotte est une belle trentenaire organisatrice d'événements qui a été extrêmement blessée lors de sa dernière relation sérieuse. Aussi, elle, ne comptait pas de sitôt se remettre en ménage mais cela était avant sa rencontre avec les frères jumeaux Ty et Seth (ah oui, quelque chose que je n'ai pas supporté dans l'écriture est que l'auteure emploie sans cesse le terme "les deux jumeaux", si ils sont jumeaux, c'est qu'ils sont forcément deux, non...c'est un petit peu un pléonasme que d'employer cette expression, bon bref, passons...) au cours d'une des soirées qu'elle organise pour un richissime client. Ty est un pompier à la musculature parfaite et si son frère en est la copie parfaite, ce dernier se retrouve avec un sérieux handicap : il a perdu la vue lors d'une opération militaire en Afghanistan, ce qui explique le fait qu'il ne se déplace jamais sans son fidèle chien Teddy, ou, comme c'est le cas ici, sans son frère. Effectivement, même si il est plutôt autonome et capable de subvenir à ses besoins, d'autant plus qu'il s'est reconverti dans l'enseignement policier afin de partager son expérience en tant que militaire, il y a certaines choses que Seth ne peut pas faire tout seul et cela, il ne le supporte pas, se sentant complètement inutile et dorénavant incapable de servir son pays !
Voilà pour la présentation succincte des personnages...quant au reste, eh bien, à part les parties de jambes en l'air (à deux, à trois ou même parfois seule), Charlotte a une vie assez bien remplie car, en plus d'être dans l'événementiel, voilà qu'elle se retrouve choisie comme jurée pour une enquête policière (et criminelle de surcroît) en cours et c'est là où elle se dit que c'est tout de même bien pratique d'avoir un pompier et un ex-militaire à portée de mains !

Un ouvrage bien écrit, certes, mais sans grand intérêt à mon goût ! Cependant, il aura eu le mérite de me faire passer quelques moments durant lesquels j'ai tout de même réussi à me plonger sans l'histoire, sans pense à rien d'autre, ce qui est déjà pas mal ! A découvrir pour les plus curieux d'entre vous !

Merci à Babelio, Masse critique et les éditions Kennes pour l'envoi de ce livre .
Le dernier livre chicklit de cette série .
C'est l'histoire de Charlotte , trente ans , épanouie dans son travail.
Elle organise des événements : mariages , anniversaires….
Sa mère n'a pas digéré la rupture de ses fiançailles car Jackson, le prétendant l'avait trompée avec sa secrétaire dès qu'elle avait eu le dos tourné .
Sa vie amoureuse est un fiasco , constellée d'échecs . Elle est prête à faire une croix sur l'amour au profit d'amourettes d'un soir .

Elle fait la connaissance de deux hommes qui la font chavirer : Seth , un ancien militaire aveugle , sexy , reconverti en policier, et Ty son jumeau , un pompier torride .

Sera t- elle prête à faire un choix entre les deux? .
Faire l'expérience de sensations multipliées par deux ? .
Je n'en dirai pas plus.
Une lecture pour jeunes , invraisemblable pour moi , dans la mesure où dans la vraie vie de telles situations , notamment celle du handicap seraient traitées avec plus de pudeur et de sérieux …
Mais bon, cet ouvrage , très , très vite lu n'est en aucun cas pour moi.
Mon jugement n'a aucune valeur , bien sûr.

Les thèmes principaux sont le sexe ——- le livre débute par quelques scènes torrides ——-l'érotisme, le sex - friends , ou polyamour, le regard des autres , la reconstruction suite à un traumatisme grave , le courage après l'épreuve , la complicité entre frères , les clins d'oeil ou non, le dur apprentissage d'un changement au long cours ,le renouvellement , l'acceptation de soi , l'ouverture ,…..

Je n'ai pas aimé la fin , tout ceci superficiel , humoristique,——-mais ça ne m'a pas fait rire ——, léger , plaisant , dérision, agréable mais sans aucune profondeur , le thème du handicap , selon moi n'est pas bien traité .


Il n'y a presque rien à comprendre ….
Il y a un deuxième tome .
Cela plaira à un tout autre public .
Désolée .

Troisième roman lu grâce à Babelio et Kennes Editions dans le cadre d'une masse critique privilégiée : Un c'est bien, deux c'est mieux, tome 1 de Dana Blue.
Charlotte est une trentenaire bien accomplie.
Elle travaille dans une compagnie d'organisation d'événements et adore son boulot. Elle a des amis géniaux et une famille unie.
Seule ombre au tableau : sa vie amoureuse est constellée d'échecs.
Depuis que ses fiançailles ont été rompues, elle a fait une croix définitive sur la recherche de l'amour pour se consacrer à des histoires sans lendemain.
C'est alors qu'à un gala de charité, elle fait sans s'y attendre la connaissance de deux hommes qui la font chavirer.
Un c'est bien, deux c'est mieux est le premier tome d'une série de chick lit. J'aime bien lire ce genre de temps en temps, je trouve ça distrayant.
Et le premier tome de cette série a rempli sa mission : me changer les idées du quotidien même si au final mon avis est assez mitigé.
J'ai bien aimé le personnage de Charlotte, elle est fraiche, amusante. Elle aime le sexe sans se prendre la tête depuis qu'elle a vécue une rupture douloureuse.
A part en amour tout va bien pour elle.
Et puis un jour elle a un coup de coeur.. Enfin, un.. Deux en fait.. Pour des.. frères jumeaux !
Et c'est à partir de cette rencontre que les choses basculent pour elle.
Je n'ai pas envie d'en dire plus sur l'histoire, ni sur le dénouement.
La fin est réussie et donne envie de lire la suite.
J'ai aimé les personnages. L'histoire est sympathique. Il y a des scènes de sexe juste ce qu'il faut.
La plume est fluide, j'ai lu cette histoire avec plaisir.
Mais j'avoue que le fait que Charlotte tombe amoureuse avec quasiment la même intensité de deux frères, jumeaux de surcroit, m'a mis un peu mal à l'aise.
Je pense que ce genre de littérature n'est plus tout à fait pour moi. Je suis un peu vieille lol pour lire des histoires traitant de polyamour.
Un c'est bien, deux c'est mieux est un premier tome intéressant, que je recommande aux amatrices du genre.
Ma note : trois étoiles et demie.

Tout d'abord merci à la masse critique privilégiée Babelio et aux éditions Kennes pour l'envoi de ce cinquième roman de la collection "chick lit".
C'est le cinquième et on dirait que j'ai gardé le moins bon, non je rectifie, celui qui m'a le plus ennuyée pour la fin.
Charlotte, la trentaine, en mal d'homme, on peut dire ça comme cela tant elle se trouve gourmande et couche avec le premier venu, Ty.
Ty, pompier a un frère jumeau, Seth, militaire, gravement blessé en Afghanistan, il est aveugle et enseigne maintenant dans une école de police. Charlotte tombe sous le charme des deux hommes et entre les deux son coeur balance. Elle ne sait lequel choisir.
Les jumeaux, eux aussi très attirés par Charlotte, lui proposent un ménage à trois. C'est là que je m'arrête.
Ce dernier des cinq romans ne m'a pas fascinée, j'ai même mis un certain temps pour le lire, il est vulgaire et je me suis ennuyée, beaucoup de longueurs, il n'y a rien de profond qui puisse attirer l'attention, beaucoup trop de détails sur les parties de jambes en l'air, à deux et à trois.
C'est un roman superficiel et sans grand intérêt. Chapeau à l'auteur d'avoir su écrire autant de pages sur un sujet aussi creux.

Pour commencer, merci à Babelio et à Kennes pour leur opération Masse Critique spéciale et l'envoi de ce livre.

Je tiens également à préciser qu'étant moi-même handicapé, je suis relativement bien placé pour parler de la façon dont a été abordé le handicap dans cet ouvrage.

Et on ne va pas y aller par quatre chemins : c'est. une. Catastrophe. Avec un grand C.
Au début pourtant, lorsqu'il est question de Teddy, le chien de Seth, on devine que l'autrice s'est réellement renseignée sur le sujet. Il y a également plusieurs fois mention du validisme ordinaire et sur ce point, l'intention est clairement louable.
Le problème, c'est qu'à côté de ça, le bouquin tombe malheureusement en plein dedans. Seth n'est présenté qu'EXCLUSIVEMENT au travers de son handicap. Partout. Tout le temps. Même en pleine parties de jambes en l'air, il nous est rappelé à pas moins de deux lignes d'intervalle qu'il est aveugle. Mais attention hein, il est, je cite « fascinant à regarder » dans sa façon de trouver ses repères dans une pièce. Dites les valides, vous êtes au courant qu'on est pas des bêtes de foire ??? Sans oublier le passage chez les parents de Charlotte où Seth doit « rassurer » sur le fait qu'il est un « bon handicapé » qui peut cuisiner et travailler. Sous entendu : pas comme ces parasites qui n'en sont pas capables, eux. Merci pour nous !
Et que dire de la façon dont Charlotte se permet de sermonner Seth sur le fait qu'il défende son autonomie, tout en se plaignant de son handicap à côté ? Ben ouais, c'est vrai, les « bons handicapés » n'ont pas le droit de se plaindre ! ON. N'EN. PEUT. PLUS. DE. CES. C***ERIES. C'est de la pression validiste de base. Par pitié, arrêtez d'exiger de nous qu'on se conforte à VOTRE vision du handicap.
Si vous êtes valide, vous ne serez probablement pas gênés par tout ça, mais ayez tout de même conscience de la façon TRÈS problématique dont est abordé le handicap dans ce livre. Ceci n'est *pas* de la bonne représentation, preuve supplémentaire s'il en était besoin que l'enfer est pavé de bonnes intentions. On ne peut pas reprocher à l'autrice d'avoir essayé. Par contre, il aurait suffi d'une relecture par un sensitivity reader pour empêcher ce désastre !
Bref, c'est incroyablement mal foutu et j'ai ressenti beaucoup de colère durant ma lecture. Beaucoup trop souvent pour en faire abstraction... et pas uniquement à cause de ça.

Charlotte a trente ans, et c'est à tout bout de champ présenté comme la fin du monde. Elle est VIEILLE. Elle « commence à sentir les effets du vieillissement », la préménopause, « n'a plus rien à perdre à cet âge-là » et met de l'antirides. Pardon ? Vérification faite auprès des autres trentenaires de mon Twitter (des fois que ce soit moi qui me trouve à côté de la plaque, on ne sait jamais), personne n'en met déjà. Ouf ! A la rigueur, ça pourrait passer si la question de l'âge pseudo-vénérable de Charlotte ne revenait pas à tous les chapitres ou presque. Des fois que vous n'auriez pas compris que si vous avez passé trente ans, votre date de péremption a déjà expiré. Et bien sûr, inutile de chercher à vous caser, il ne reste que les déchets dont personne n'a voulu, les bons morceaux sont déjà pris. Ce n'est pas moi qui le dis.

Bon. Ça, c'était pour les choses qui fâchent vraiment.
Ce qui ne veut pas dire que le reste vaut beaucoup mieux, hélas.

Le livre a un ton beaucoup plus chick-lit que les autres ouvrages de la collection, avec des noms de marques en pagaille, une héroïne qui pense à sauver sa robe avant de faire des galipettes, la meilleure amie délurée et, globalement, tout ce à quoi l'on peut s'attendre dans ce genre de livre. Pas un défaut en soi, surtout si l'on considère justement que les autres livres de cette collection « chick-lit » tenaient davantage de la romance contemporaine « classique ».
Ceci dit, si Charlotte avait eu quelques neurones en plus au lieu d'essayer de négocier sa vie avec son sac et ses chaussures ou regretter de voir son portable s'écraser par terre alors qu'elle a un flingue pointé sur la tempe, ça n'aurait pas été un luxe. Enfin, dans un bouquin où les mafieux siciliens prétendument introuvables sont sur Facebook sous leur vrai nom, on n'est plus à ça près.

… Mais du coup, y'a quelque chose à sauver là-dedans ? Ça va peut-être vous surprendre vu le ton assassin de cette critique jusqu'à présent, mais oui. Et il s'agit de rien de moins que le principal argument du bouquin, à savoir la relation polyamoureuse entre Charlotte et les jumeaux.
Amenée de façon très naturelle, quoique présentée un peu trop longtemps comme un triangle amoureux classique, elle se met en place au travers du dialogue, même si tout n'est pas tout rose. Et bien que le livre commence directement par une scène de sexe, c'est finalement l'aspect sentimental qui prévaut dans le trouple.
Bref, de ce côté-là, c'est vraiment pas mal, même si ça ne suffit pas pour sauver les meubles.

D'autant qu'à côté de ça, le très léger aspect romantic suspense du livre est totalement survolé, ce qui est franchement dommage parce qu'il y avait pourtant matière. le métier de Charlotte s'en tire un peu mieux, avec l'organisation d'un mariage pour le moins original. Enfin, il y a quelques scènes, trop rares, qui font réellement rire.

Néanmoins, au vu des énormes défauts évoqués plus haut, impossible de faire autrement que chaudement *dé*conseiller ce roman.