Les héritières de Löwenhof, tome 1 : le choix d'Agneta

Ça faisait un moment que cette saga historique et familiale des éditions Charleston me faisait envie, et j'ai enfin passé le pas en dévorant ce premier tome la semaine dernière. Plus de 700 pages en 3 jours, je pense que je ne mentirai pas en disant que ce roman est très addictif !

Ce premier tome débute en 1913, nous découvrons Agneta à Stockholm. La jeune femme s'est brouillée avec sa famille en décidant de suivre des études et de vivre indépendamment au lieu de respecter les conventions sociales de la noblesse de l'époque.

Mais lorsqu'elle reçoit un télégramme lui annonçant le grave accident de son père et de son père, Agneta rentre au domaine familial. Contrainte d'en assurer la gestion, Agneta devra faire des choix entre ses rêves d'émancipation et ses devoirs familiaux.

J'ai beaucoup aimé ce premier tome ! le personnage d'Agneta est très réussi, j'ai beaucoup aimé sa modernité, mais aussi sa crédibilité, car non, une femme même noble ne pouvait pas tout se permettre à l'époque !

Sa relation avec sa mère est également très intéressante, on comprend finalement au fur et à mesure du roman qu'elles se ressemblent bien plus que ce qu'Agneta pense!

J'avoue en revanche que ses relations amoureuses ne m'ont pas forcément passionnée. Je n'appréciais que peu son principal intérêt amoureux, que je n'ai pas du tout réussi à comprendre.

J'étais bien plus intéressée par l'aspect sociétal du roman : comment Agneta va se rendre crédible, elle, une femme, à la tête d'un tel domaine. Les relations avec la noblesse, avec les clients du haras familial, avec la famille royale... Mais aussi l'avancée des idées féministes, les droits des femmes, les progrès sociaux et techniques...Je trouve juste dommage que la guerre ne soit pas plus exploitée, mais étant donné la neutralité de la Suède durant le conflit, cela s'explique parfaitement.

De fait, le roman est très rythmé, car on ajoute à tout ces points une intrigue policière à propos de l'accident survenu au début du roman.
Finalement, tous ces points contribuent à créer un univers très riche, et un roman sans temps mort.

Et c'est en fait mon seul petit bémol : j'avoue que je préfère un peu plus d'introspection, une plume un peu plus poétique. Ce n'est qu'un avis très personnel, et objectivement ce roman est une réussite, d'ailleurs je lirai la suite sans hésitation et avec grand plaisir. Pour moi, ce n'est pas un coup de coeur, mais tout de même une très très bonne lecture.

Une belle saga familiale qui se déroule au début du 20ème siècle en Suède.
Agneta, l'héroïne, est une femme forte et libre, très attachante.
Si le premier tiers de la lecture est un peu lent, l'intrigue est ensuite bien mise en place et donne envie de connaître la suite.

Sur le papier, cette saga féministe a tout pour me plaire et je n'ai fait qu'une bouchée du premier volume, le choix d'Agneta. J'avais beaucoup aimé le style fluide et romanesque de l'autrice dans L'île aux papillons, et cette nouvelle lecture me confirme cette bonne impression.

L'histoire n'a pourtant rien de bien original dans sa construction ou son dénouement, il n'empêche que j'ai trouvé ce premier opus terriblement addictif au point d'être venu à bout de ses 700 pages en trois jours seulement. C'est bien simple, j'avais tout le temps envie de retourner à Löwenhof, retrouver Agneta, une héroïne que j'ai beaucoup aimé.

La jeune femme émancipée et suffragette, rêvant de briser les carcans de son milieu, va devoir reprendre les rênes de la propriété familiale après les décès de son père et de son frère à quelques jours d'intervalle. Elle va devoir dire adieu à Stockholm, à Marit sa meilleure amie, suffragette comme elle, à ses rêves de peintre, pour embrasser un nouveau destin aux cotés de sa mère Stella, qui est loin de partager ses idées.

Les relations entre les deux femmes sont électriques, tendues et font le bonheur des domestiques qui jasent derrière leur dos.

Confrontée à ses nouvelles obligations, Agneta engage un contremaître pour l'aider à administrer le domaine. Va-t-elle demeurer suffragette et refuser le mariage avec Lennard, son ami d'enfance, dont la presse sa mère afin de donner un héritier au domaine ? Va-t-elle appliquer ses idées modernistes à ses employées et les aider du mieux qu'elle le peut ?

Autant de choix auxquels devra faire face notre héroïne. le récit, émaillé de rebondissements, certains convenus, d'autres non, est addictif en diable. L'histoire, bien que déjà vue, m'a passionnée et j'ai tourné les pages avec une certaine avidité, pressée de savoir si les choix d'Agneta signeront son bonheur ou son malheur.

Un roman intéressant et pertinent sur la condition des femmes au début XXème siècle. Une plume agréable, des personnages féminins forts et des thématiques engagées et toujours d'actualités, voilà les qualités que je retiens, je lirai donc la suite de cette saga avec grand plaisir !

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Après deux bouquins où j'avais un peu ramé, j'ai tenté une saga, genre dont je suis friande, et je me suis dit, là ça va aller tout seul. Effectivement c'est allé tout seul. Les héritières de Löwenhof est le premier tome d'une saga écrite par Corina Bomann. L'auteur nous entraîne dans la Suède de 1913. Nous suivons Agneta riche héritière d'une famille qui fréquente la cour royale mais qui a fui le domaine où elle a été élevée pour mener une vie d'artiste libre à Stockholm et où elle fréquente le milieu des suffragettes. Elle vit la vie qu'elle désire, noue des amitiés et trouve l'amour. Mais un incendie qui coûte la vie à son père et à son frère l'oblige à rentrer au domaine et à en reprendre les rênes. A partir de là vont s'ensuivre de multiples rebondissements qui à défaut d'être originaux nous entraînent sans que l'on y prenne garde à tourner les pages sans vouloir s'arrêter. J'ai bien aimé le personnage de l'héroïne, Agneta, prise en étau entre ses aspirations de femme qui se veut libre et le carcan imposé par la haute société suédoise du début du XXeme siècle. Je lirai le deuxième tome quand il paraîtra, curieuse de voir les évènements qui vont survenir dans la vie d'Agneta. En résumé une lecture sans prise de tête, agréable pour passer quelques bonnes après-midi.

Ma précédente expérience de lecture de cette auteure n'ayant pas été couronnée de succès, je disposais vis à vis de ce nouvel opus d'une certaine réserve.
J'ai donc entame le premier tome des héritières de lowenhof avec un à priori
Au final, j'ai passé un bon moment de lecture facilité par le style d'écriture alerte, fluide, reflétant bien l'époque du debut XXeme siècle. L'histoire reste classique mais le déroulement de cette chronique familiale avec ses drames et ses petits bonheurs est plaisante, évoque la vie suédoise, est traversée par les grands courants féministes de cette période et l'apparition de la première guerre mondiale et ses bouleversements.
J'ai refermé ce roman avec l'envie de continuer cette découverte et au vu de mon a priori initial, c'est une belle surprise.

Après réception d'un télégramme, Agneta est obligée de retourner au domaine familial, qu'elle avait fui pour suivre ses rêves. En froid avec sa famille, elle se doute que cette demande pressente de rentrer au bercail n'augure rien de bon…

J'aime beaucoup les sagas historiques familiales mêlant secrets de famille, grande demeure et histoires d'amour un brin contrariées. En débarquant à Lowenhof, j'étais servie. L'histoire débute en 1913, alors je m'attendais à aborder d'avantage l'arrivée de la guerre, mais ça n'a pas été le cas, surement lié au fait que l'action se déroule en Suède, pays n'ayant pas participé au conflit, même s'il a quand même été impacté.

Nous suivons Agneta, qui nous partage ses pensées, ses doutes, ses émotions. de simple suffragette au début du roman, elle va devenir une femme forte prête à diriger le domaine dont elle devient l'unique héritière. Ça peut paraître parfois un peu immersif, pourtant je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Et j'ai adoré suivre notre héroïne durant ces 700 pages. Parce que oui, c'est une brique, mais les chapitres sont assez courts, la plume très fluide et les personnages attachants ce qui rend le tout très addictif.

Certains protagonistes m'ont agacée, de par leur comportement, leur choix… mais j'ai beaucoup aimé Agneta, qui m'a émue autant qu'impressionnée. C'est une femme forte et féministe, qui n'hésite pas à suivre ses envies, à assumer ses convictions, parfois contre sa famille, qui ne cesse de lui mettre la pression. Elle sait ce qu'elle veut, et elle le fait savoir. Parfois au détriment des convenances de l'époque. Malgré tout, ça ne l'empêche pas de se laisser avoir par l'amour et de se montrer parfois naïve… on ne se refait pas !

J'avais entendu beaucoup de bien de Lowenhöf et je comprends. J'ai été totalement immergée au sein de ce manoir, dont j'adorerais pouvoir arpenter les couloirs. Et je n'ai qu'une envie, pouvoir y retourner pour découvrir les autres héritières de Lowenhöf.

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En 1913, Agneta, jeune fille bien née, rompt avec les conventions de l'époque et quitte le domaine familial pour suivre des études d'art à Stockholm.
Ses parents ne voient pas d'un bon oeil cette prise d'indépendance ainsi que son départ du domaine de Löwenhof.
Certaine de sa décision, Agneta part pour Stockholm avec pas grand-chose dans ses bagages.

Loin de se plaindre de sa situation, elle mesure la chance qu'elle a de pouvoir choisir sa destinée.
A Stockholm, elle partage son temps entre son amoureux, ses cours de peinture et son groupe de suffragettes.
Elle et ses amies sont bien décidées à faire évoluer les droits des femmes.

Un jour, elle reçoit un télégramme de sa mère la priant de revenir au plus vite au domaine car son père et son frère ont eu un accident.
Elle pressent que quelque chose de terrible s'est passé, se précipite à la gare et rentre au domaine.
Le malheur qui touche sa famille va l'obliger à faire un choix difficile et à remettre en question le futur tel qu'elle se l'était imaginé.

J'ai adoré ce roman qui va nous faire passer par une belle palette d'émotions.
D'un côté, il y a l'Agneta de Stockholm, libre, épanouie, dédiée à son art, amoureuse.
Puis il y a l'Agneta de Löwenhof, enfermée dans son rôle d'héritière, sous le joug d'une mère stricte, dans une société rigide.

Malgré ce tour du sort, Agneta va rester fidèle à ses principes.
Elle va essayer de faire changer les choses au domaine, de faire au mieux avec le caractère de sa mère, de s'intéresser au personnel, de prendre une part active dans l'administration de Löwenhof.
Heureusement, elle va pouvoir compter sur plus d'une personne pour l'aider à apprivoiser son rôle d'héritière sans pour autant y laisser son âme.

Comme dans tout bon roman, il va y avoir des personnages doudous, d'autres détestables.
Il y a ceux qui vous tirent vers le haut et ceux qui aimeraient vous voir rester en bas.
Et c'est l'ensemble de ces personnages et leurs histoires personnelles qui vous feront tourner les pages avec l'envie d'en savoir plus.

1913, en Suède. Agneta a quitté le domaine de Lowenhof contre l'avis de ses parents pour aller suivre des études d'art à Stockholm et devenir suffragette. A la mort de son père et de son frère, elle devient l'unique héritière du domaine et du haras.
Agneta a une force de caractère et des pensées modernes pour l'époque, qui ne plait à sa mère (la reine des neiges) et à l'aristocratie. Elle reprend en main l'élevage avec l'aide de Max, le régisseur. Mais leur relation ne s'arrête pas au monde professionnel...
A lire comme ça, ça a l'air cucu gnan gnan, oui c'est vrai, ça l'est, un peu, beaucoup.
Mais ça fait du bien de se plonger dans une histoire familiale et qui, pour une fois, se passe en Suède.
Nous plongeons dans cette univers aristocrate facilement grâce à une plume très fluide et une très belle histoire.
Je ne me suis pas vraiment attachée à Agneta ni à un personnage en particulier mais plutot à l'histoire en elle même et à cette famille.
J'ai hâte de lire le tome 2.
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Un chouette pavé que j aurai aimé lire plus rapidement
Un livre comme j aime en lire temps en temps
Des femmes qui ont du caractère qui essayent d d'avancer malgré les préjugés de la société
Ce tome commence en 1913 et on s apercoit que les moeurs ont quand même changé
Secret de famille petite histoire d Amour la vie dans les manoirs suédois telle est l l'histoire
Faut que je guette la parution du tome 2.
720 pages qui se lisent très facilement.

Quel plaisir de découvrir une nouvelle saga familiale où il est question d'héritage et de secrets de famille.
« Les Héritières de Lowenhof » est un roman historique qui se déroule en Suède à l'époque des suffragettes. Il est donc question de noblesse avec ses titres en tout genre, ses bals, ses règles et ses devoirs, ses conventions sociales… Qui contraste évidemment avec la vie des gens moins fortunés.

Agneta, le personnage principal est une demoiselle très engagée avec son amie Marit, toutes deux suffragettes, pour défendre les droits et les conditions de la femme. Pourquoi une femme ne serait-elle bonne qu'à épouser un homme et à s'occuper de son foyer et de ses enfants ? Pourquoi ne pourrait-elle pas subvenir à ses propres besoins, à ses envies ? Pourquoi ne pourrait-elle pas faire des études…? Et s'il lui fallait renoncer à ses rêves, à ses aspirations profondes, pour reprendre les rênes du domaine de son père… Et faire ce que tout le monde attend d'elle…?

L'histoire est bien ficelée, bien écrite. Au delà des secrets de famille enfouis, il est évidement question d'histoires d'amour. le rythme est plutôt lent et j'ai apprécié cela, pour prendre le temps de tout assimiler. J'ai trouvé que beaucoup de « rebondissements » étaient finalement assez prévisibles et je me doutais de certains détails bien avant qu'ils ne soient révélés, malgré tout, j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce premier tome et j'attends de découvrir la suite avec impatience !

Ce roman historique féministe donne le ton d'une saga familiale, aux multiples secrets, qui nous tiendra en haleine…! Coup de coeur pour le personnage d'Agneta que j'ai trouvé formidable !
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