Le soir du carême de la Saint-Pierre, tous les ouvriers font la fête. Mais le moujik Averki, après trente ans de service, décide que c'est assez. Malade, il se couche, ne dit plus rien, et se met à rêver à demi-conscient. Il se remémore difficilement les quelques petits plaisirs de sa vie mais à quoi bon ? Ses souvenirs lui semblent insignifiants, pauvres, monotones...
Une nouvelle très belle, très bien écrite mais très déprimante...
Lu sur le site de la bibliothèque russe et slave. Une quarantaine de pages.
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L'avis de Fédérovski sur Ivan Bouninie