Que le diable l'emporte

Le fait de participer au challenge de A-Z m'a obligée à chercher un auteur dont le patronyme commence par un X.
Pour corser le challenge, je ne lis que des polars. Sachant qu'un auteur anonyme peut compter pour un X, je me suis lancée dans le diable l'emporte.
Une lecture à des années lumière de ce que je lis d' habitude.
Je résume Pisse, Mer.., Prout, Bit.. et j'en passe.
Des allers retours, sur terre ,en enfer, au purgatoire en croisant vampires, Dracula en personne, Satan, des nonnes sans tête cracheuses de feu.
N' oublions la violence, la vulgarité et les tueries à la pelle. Bien sur ce livre n'est pas à prendre au premier degré .

Mais moi je suis incapable de juger ce livre. Je n'ai absolument pas les codes pour le faire.

Je dis Joker !!!!

J'ai découvert cette série de livres il y a des années, série dont j'avais dévoré les quatre premiers tomes (malgré un petit bémol pour le troisième). On a là un ovni littéraire où l'auteur ne cherche pas à faire de la grande littérature, mais simplement à se faire plaisir et à faire plaisir aux fans en racontant des histoires déjantées, violentes et fantastiques avec une bonne dose d'humour. ''Psycho killer'', le tome 5, était très intéressant mais dans un univers différent (avant que le tome 6 ne les réunisse du moins) mais bien que j'avais lu avec plaisir les tomes 6 et 7, je les avais trouvés moins bons que les premiers. J'ai lu le tome 7 il y a environ trois ans, et les quatre premiers il y a environ huit ans, donc mes souvenirs de tous les évènements passés étaient un peu troubles dans ma mémoire, mais j'ai pris énormément de plaisir à me replonger dans l'univers du Bourbon Kid, des Dead Hunters et compagnie.

C'est toujours aussi barré, violent et rempli de nouvelles créatures fantastiques terrifiantes. On pourrait croire que Dracula représente le sommet de ces créatures effroyables mais en fait le célèbre vampire a ici surtout un rôle comique. L'humour est en effet toujours très présent dans ce huitième tome, avec en point d'orgue de cette facette du roman l'inestimable personnage de Sanchez au top de sa forme (la scène de Sanchez et Dracula dans les toilettes du Tapioca m'a beaucoup fait rire).

Les chapitres concernant le Kid et Beth avec les nones psychotiques m'avaient moyennement plu mais ce passage finit par plusieurs rebondissements que j'ai trouvé très intéressants. On a effectivement droit en fin du roman à plusieurs révélations très prenantes et qui nous font voir avec un regard nouveau non seulement l'histoire du tome 8 mais également toutes la série des livres depuis le premier. Donc un régal que ce ''page turner'' ravagé, et je lirai le 9eme tome que j'ai déjà acheté, ''Santa Modega'', sans doute avant la fin de l'année.

Quel plaisir de retrouver nos héros de la saga "bourbon kid" pour un énième épisode, si ce n'est pas le plus construit scénaristiquement en tout cas c'est le plus drôle. J'ai rarement autant ri en lisant un livre, l'humour est malheureusement trop rare dans la littérature heureusement qu'anonyme vient combler ce vide avec ses histoires improbables. Si d'autres auteurs pouvaient exploiter ce filon ça serait pour mon plus grand plaisir.

A chaque tome je me dis que ce n'est pas possible de pousser plus loin dans la folie et dans le délire le plus total mais si! Ce tome est encore une grande réussite. On plonge un peu plus loin dans l'énormité mais c'est tellement bien écrit que ca passe. Quelle fantastique grossièreté! Tout en délicatesse et savoureuse cochonnerie!!

J'ai trouvé l'intrigue à couper le souffle. Entre la drôlerie de certaines situations, les dialogues décapants, l'horreur et le suspens, les cours chapitres s'enchainent avec une putain d'addiction (gros mot de rigueur !). Ce huitième tome est digne d'un Tarantino mixé du Dario Argento et du Deadpool. C'est très vulgaire, très caricatural, trash et sans finesse mais que c'est bon !............................
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En 2006 est apparût un mystérieux anonyme qui nous a fait découvrir un livre sans nom, un merveilleux OVNI littéraire aux airs de Tarantino. complètement déjanté et absolument jubilatoire. Depuis il a fait d'autres petits, tous aussi succulents et démoniaques. Que le diable l'emporte est le huitième opus et c'est avec bonheur que l'on retrouve le Bourbon Kid, ressuscité d'entre les morts.

Mais voilà, c'est chaud pour ses fesses, son retour s'il plaît aux lecteurs et permet à l'auteur à l'imagination phénoménale de s'éclater et de nous éclater également, le Diable n'est pas de cet avis.

L'anonyme va nous conduire dans bien d'étranges endroits et nous faire vivre une fois encore des aventures rocambolesques mais surtout irrévérencieuses.

Ici, toute la place est donnée au politiquement incorrecte, les jurons sont permis tout comme, la drogue, le sexe et l'alcool et utilisés sans modération.

Toujours aussi hilarant, toujours aussi rock'n roll, et surtout toujours aussi diabolique.

Alors fan d'Anonyme, et de JD alias Bourbon Kid, réjouissez-vous, le shot littéraire est à la hauteur de sa réputation. Venez prendre votre pied et au diable les convenances.

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Le Bourbon Kid, le tueur le plus sanguinaire de la planète, recherché par toutes les forces de l'ordre du monde et le big boss des forces du mal, pour ne pas pas nommer le Diable, est en fuite avec Beth, ils passent leur temps à fuir d'un état à l'autre, ils trouvent refuge dans un monastère au sombre passé....

Huitième fucking roman de l'auteur le plus mystérieux de la planète, je l'admire pour ses écrits totalement déjanté mais aussi pour se tenir à cet anonymat qui, il faut bien le reconnaître, doit être lourd à porter, ne jamais rencontrer ses lecteurs doit être frustrant, s'il entend autour de lui de gens encenser ses bouquins, ça doit carrément le démanger de crier "Putain, mais c'est moi Anonyme !! “ enfin bref, chapeau bas à lui 👏👏👏👏
Donc pour ce huitième roman, on retrouve évidemment nos protagonistes préférés, à savoir le Bourbon Kid, la bande des Dead Hunters, sans oublier l'inégalable et incontournable Sanchez et ses bourdes légendaires.
Aussi déjanté que les autres tomes, un (gros) poil plus scato aussi, mais tout autant jubilatoire et nouveauté, super émouvant, enfin pour moi ça a été le cas, ouais, cet opus m'a mis la boule au ventre et les larmes n'étaient pas loin, c'est dingue mais c'est vrai, j'ai été vachement touchée, bluffée aussi car j'étais à mille lieux d'imaginer ce que j'avais pourtant sous les yeux.
Il est vraiment fort cet Anonyme, il arrive encore à nous surprendre au bout de huit bouquins, même si au début, encore une nouveauté, j'ai eu un peu plus de mal que d'habitude à m'immerger dans l'histoire.
Au final, ça reste un bon moment de délire jouissif habituel et mon amour pour cette bande de tarés reste sans intact, sans faille ❤️❤️❤️

Quelle surprise et quelle joie lorsque les éditions Sonatine m'ont proposé un service presse pour ce livre ! Etant fan de la saga Bourbon Kid, j'ai immédiatement accepté. C'est donc le tome 7 (ou 8 si on inclut "Psycho Killer").

Ici, nous retrouvons le Bourbon Kid et Beth en fuite car le diable est à leur recherche et il ne leur veut pas du bien... Ils décident alors de s'installer dans une chambre à louer dans un monastère où résident déjà un drôle de prêtre et une nonne. Mais le repos sera de très courte durée puisque le diable leur a réservé un plan machiavélique.

En parallèle, Les Dead Hunters se voient attribués une nouvelle mission : faire sortir un criminel du couloir de la mort. Mais dans quel but? Et pourquoi des gens d'orientation gay se retrouvent assassinés? L'équipe Sanchez, Flake et Jasmine sont à mourir de rire à se retrouver dans des situations vraiment farfelues. Ici, Rex et Elvis sont mis au second plan, dommage car je les aime beaucoup.

Au début du roman, j'ai été un peu déçue de ne pas voir autant les Dead Hunters mais finalement j'ai pris goût à suivre les aventures du Bourbon Kid et Beth. Et lorsque vient le dénouement avec toutes les révélations qui s'enchainent sur une cinquantaine de pages, je me suis dis que l'auteur est vraiment incroyable, ça va loin tout ça, c'est vraiment dingue !

Tandis que l'intrigue sur les gays assassinés, c'était drôle mais rien d'exceptionnel, ça m'a permis d'avoir une bonne dose d'humour à la "Sanchez".

J'aimerais aussi discuter du titre "Que le diable l'emporte", qui est, pour le coup, très bien choisi contrairement aux précédents tomes. Ce titre pourrait avoir un double sens comme vouloir emporter le Kid en enfer mais également vouloir emporter une partie d'échec à tel point que chaque coup a été calculé avec un temps d'avance.​

L'intrigue est vraiment bien ficelée, je ne m'attendais pas à cette fin ! C'est hallucinant et bluffant ! Et j'ai vraiment savouré la dernière réplique hihi... On attend du lourd pour le prochain tome, ça va être long d'attendre ! Cette saga est vraiment géniale !
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On croyait le Bourbon Kid mort, mais que nenni. Ce mec à la voix rocailleuse qui zigouille tout le monde, c'est une putain de mauvaise herbe ! Après les vampires, les momies et les cavaliers de l'Apocalypse etc. il se retrouve face à une horde de nonnes maléfiques.

Et pendant ce temps-là à Santa Mondega, pour les Dead Hunters et Sanchez, l'éclipse quinquennale approche. Oui, vous avez compris : on prend les mêmes et on recommence…à se marrer ! Encore et encore !

C'est la force de cet Anonyme : le temps passe, les tomes se succèdent, mais la saga ne prend pas une ride. Franchement, vous en connaissez beaucoup des auteurs qui arrivent à vous placer un « ronde comme une queue de pelle » sans complexe ?

Ce dernier tome n'est pas plus sage que les autres. Bien au contraire, il est tout aussi bordélique.

Une lecture endiablée

Anonyme livre une nouvelle fois un scénario complètement tordu où les excès prennent toute la place. Et pour notre plus grand plaisir, les références culturelles ou le haut degré de lubricité, rien de manque à l'appel.

Vous pensiez avoir lu les situations les plus improbables dans les précédents tomes ? Eh bien, détrompez-vous : celui-ci va encore plus loin. (Mention spéciale pour Jasmine !)

La folie et l'exagération sont à leur paroxysme. Les cadavres s'empilent, la merde coule à flots et les portes de l'enfer sont ouvertes. Comme toujours, l'atmosphère malsaine et cinglée imprègne toutes les pages de ce nouvel épisode. Après tout c'est bien ce qu'on attend de cette saga tarantinesque non?

Avec l'arrivée d'une icône surnaturelle de la littérature et des révélations des plus croustillantes, Que le diable l'emporte est la promesse sanglante d'une rigolade décomplexée.
Avec ce nouveau tome parfaitement réussi à votre actif, M. Anonyme je vous le dit : j'attends la suite !
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Je pense que ça doit faire 10 ans maintenant que je suis la série du Bourbon Kid et même après ce 8e tome je ne suis toujours pas déçu•e d'avoir commencé ! En plus du côté fantastique qu'on a maintenant l'habitude avec cette série on nous rajoute un peu de science-fiction et ce n'est pas pour nous déplaire. Des personnages toujours aussi increvables, barrés et attachants. Je me demande bien où finira cette histoire, si tant est qu'elle finisse un jour...