Oui, quand je me demande pour quoi ma gorge se noue à la vue d'une carrosserie investie par le lierre, ma poitrine se serre face à un morceau de bois mimant, au sein de sa putréfaction, les spasmes d'un oiseau crucifié en l'honneur d'un culte voué à l'impensable, je ne puis guère qu'admettre la perduration d'un désir trouble, lancinant, qui me ferait régner sur l'abandon à son délire d'une matière affranchie de ses harmonies utilitaires.