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Elias a quitté la France, après avoir compris le lourd fardeau de ses origines. Il a rejoint l'Oregon, et après avoir brûlé les derniers souvenirs de ce qui le reliait à cette terre, tente de repartir à zéro. C'est sans compter sur le ressentiment d'Elisa, mariée au puissant Drumm…

On retrouve avec intérêt le héros de cette trilogie, dont l'opus actuel est vraiment un épisode intermédiaire, dont on espère ne pas trop attendre pour découvrir l'ultime volume.

On souffre autant qu'Elias de la malchance qui le poursuit, malgré son désir de vivre une vie simple et sans histoire.

Les décors sont superbement posés et c'est avec tristesse que l'on perçoit les prémisses d'une destruction systématique annoncée.

Cette deuxième partie, courte, joue vraiment un rôle de teaser pour le lecteur, en attente impatiente de la suite.

224 pages Phébus 21 mars 2024
#Âpremonde #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Si j'oublie le fait que j'aime beaucoup Franck Bouysse , en particulier pour l'atmosphère souvent lourde, comme de la boue qui colle aux bottes qu'il sait transmettre dans ses romans, celui-ci m'a plutôt déçue .

Je me suis d'abord rendue compte que c'était le second tome d'une série et même si les faits du premier épisode sont en partie rappelés , il manque la genèse de cette histoire , elle n'est pas indispensable mais j'ai eu l'impression de rater quelque chose ...

Elias Greenhill revient après un séjour en France à la recherche de ses origines, dans la région montagneuse de l'Oregon, là où il a vécu enfant , recueilli par un couple d'indiens .

Il acquiert un petit lopin de terre et construit une cabane .
En revenant dans ce coin, il y retrouve bien entendu Elisa , son amour platonique de jeunesse mariée à Caryl Drumm, fils du gros propriétaire terrien .

Le reproche essentiel est que tout est convenu dans cette histoire , on devine aisément ce qui va se passer et le saccage de la forêt , élément important, peut-être plus développé dans le premier opus n'est que brièvement évoqué ici.

Seules les descriptions de la nature que ce soit au fin fond des Cévennes ou de l'Oregon sont toujours un plaisir d'écriture ...

"Il entendait carillonner l'eau à chaque impact qui en détournait la route , Il savait de quelle manière se déployaient les saisons semblables à des tapis imprégnés du cycle de chaque forme de vie, la préexistence du végétal dans l'embryon de la graine, le long sommeil des animaux, leur réveil discret et leur quête reproductrice. La beauté sans nécessité. Une offrande dépourvue de contrepartie. Les interactions du vivant dans la plus absolue simplicité . "

Dommage et je ne peux que conseiller de lire d'abord Pur sang , le premier tome , je dois reconnaitre que cela était précisé dans le résumé que je ne lis pas toujours !


Je remercie NetGalley et les Éditions Phébus

#Âpremonde #NetGalleyFrance
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Nous retrouvons Elias Greenhill, que nous avions quitté à la fin de "Pur Sang", dans ce deuxième tome de la trilogie "La marche du rêveur". Il revient à Eden Creek, dans le Montana, qu'il avait quitté pour la France, à la recherche de ses origines. Après avoir détruit par le feu la maison où il a vécu avec ses parents adoptifs indiens, qu'il avait vendue à la puissante famille Drumm, il s'installe dans la forêt où il construit une cabane et vit de peu. Mais la haine que lui voue Caryl Drumm à cause d'Elisa, sa femme, qui fut très proche d'Elias et à cause de son combat pour préserver la forêt que détruisent les engins de la scierie des Drumm, va exploser conduisant au drame.
La nature sauvage, encore plus l'hiver, est omniprésente comme dans la plupart des romans de l'auteur. Elias a choisi de n'être dépendant que d'elle, de vivre à son rythme, de la respecter, de ne prélever que ce dont il a besoin pour survivre et de considérer, à l'instar des Indiens, que la vie a la même valeur que ce soit celle d'un animal, d'un arbre ou d'un être humain.
On retrouve d'autres thèmes chers à Franck Bouysse, déjà présents dans "Pur Sang" : la violence des hommes, la femme comme victime de cette violence mais aussi son déclencheur; la référence biblique semble assez claire : la femme tentatrice (Elisa/Eve) qui tend la pomme (son corps) au pauvre homme faible face à ses pulsions (Elias/Adam); on sait le cataclysme que cela entraîna, selon la Génèse, pour l'humanité, ramené ici à l'échelle de la bourgade d'Indian Creek.
On retrouve également la colère face aux massacres perpétrés contre les Indiens, à leur spoliation, à leur enfermement dans des réserves. On sent toute l'empathie de l'auteur mais aussi son admiration pour l'intimité, le lien très fort que les Indiens avaient avec la nature, s'y adaptant, ne cherchant pas à la mater, pour leur sagesse.
En fait, ce roman, c'est, au-delà de l'affrontement de deux hommes, un affrontement plus profond, plus essentiel : l'accumulation de biens vs le dénuement, le paraître vs l'être, le matérialisme vs la spiritualité, la nature comme produit vs la nature comme source de vie.
Un très beau roman dont j'attends la suite avec impatience.
#Âpremonde #NetGalleyFrance
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Après avec lu Pur sang le mois dernier, c'est avec un grand plaisir que je me suis plongée dans Âpre monde, second tome de la série La Marche du rêveur. J'ai été heureuse de retrouver le personnage d'Elias Greenhill, qui après avoir quitté les terres de ses ancêtres va revenir sur celle de sa famille au risque que ça ne plaise pas à tout le monde...

Découvert en même temps qu'une copine lors d'une lecture commune, je n'ai pas su être raisonnable car j'ai dévoré ce roman en une soirée ! J'ai eu beaucoup de facilité à entrer dans celui-ci et j'ai apprécié le fait que l'histoire soit aussi accès sur la nature. Franck Bouysse nous offre ici un roman très visuel qui promet un beau voyage dépaysant à l'issue à laquelle je ne m'étais pas attendu, mais qui fonctionne parfaitement.

Je tiens à remercier les Éditions Phébus pour l'envoi de ce formidable roman d'ambiance dont l'atmosphère m'a tout de suite enveloppée et dont je vous recommande vivement de découvrir la série. Alors tenté(e)s de prendre la route et de monter en selle en compagnie d'Elias?
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Franck BOUYSSE. La marche du rêveur, tome 2 : Apre monde .

Elias Greenhill est de retour dans l'état du Montana, sur les terres ancestrales de ses parents adoptifs indiens, de la tribu « des Nez-Percés »Papa et Mama Tulssa. Ce retour au pays n'est pas le bienvenu pour tous… Il avait quitté son pays natal, pour la France, à la recherche de ses parents biologiques. ( Il faut lire « Pur Sang » afin de connaître les origines de notre héros). Sa première action est d'incendier la demeure des Tulssa, là où il vécut toute son enfance, son adolescence. Cette demeure est actuellement sise sur la propriété des Drumm, une riche famille d'exploitants forestiers. Il désire s'installer dans la région. Elias acquiert un lopin de terre, près d'Eden Creek, construit son chalet. Il va vivre à l'ancienne, comme à l'époque de sa prime enfance. Il retrouve Elisa Hobson, la fille du propriétaire de la quincaillerie, son amoureuse platonique. Cette dernière a épousé Caryl Drumm, l'héritier des établissements du même nom.

La déforestation, menée par les Drumm l'obsède. Mais il ne possède aucun moyen pour la faire cesser. Les paysages sont transformés et les images décrites par Franck BOUYSSE nous permettent de suivre l'évolution. Les moyens utilisés pour abattre les arbres sont gigantesques. Les forêts deviennent des lieux apocalyptiques, de véritables champs de bataille. Les énormes engins utilisés, dévastent tout sur leur passage ; il ne demeure sur le terrain que des souches abandonnées, des ornières rendant la marche difficile. Une catastrophe, pour le milieu naturel, la faune, la flore ! ! !

Elisa va rendre visite à Elias. Elle lui avoue son amour et la déception de son union avec Caryl, un homme puissant, riche, mais jaloux et fourbe. Des tensions existent entre les deux hommes. Une véritable guerre entre ces deux hommes. Quelle sera donc l'issue de ce combat ? Elias est une homme paisible, peu guerrier, vivant quasi en autarcie au contact de Dame Nature, comme ses ancêtres adoptifs. Il a la culture indienne dans le sang, chassant et pêchant juste la quantité nécessaire à ses besoins. Il s'accorde avec son environnement et respecte les lieux, la nature, la végétation, etc. Cet homme, tourmenté, va-t-il trouver la paix, au sein de cette société de consommation, bien loin de ses convictions et de son éducation, de sa culture reçue des amérindiens ?

Dans ce second tome, Franck BOUYSSE nous décrit ces forêts millénaires, décimées par la volonté des hommes « blancs ». Il rend hommage à la nature, aux hommes qui la respectent, réhabilite les indiens, leur culture, leurs coutumes, leurs croyances. Après avoir exploité les paysages ruraux de France, l'auteur nous transporte sur un autre terroir et nous délivre un message. Il manifeste son attachement à la terre nourricière. L'atmosphère est pesante et c'est un véritable turn over. Il nous faut connaître l'avenir de ce héros. Mais il nous faut faire preuve de patience, comme Elias à la chasse ou à la pêche, attendre le troisième volet des aventures concoctées par l'écrivain. Je me permets d'attirer votre attention sur la belle couverture : ce poing fermé orné des paysages idylliques du Montana, avec le petit chalet, les montagnes enneigées, les grands sapins et cet homme qui se dirige vers l'habitat ; Elias ? Je vous souhaite une bonne journée et de belles lectures.
( 23/05/2024).
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Enfant adoptif d'une famille de Nez percés, Elias a retrouvé dans le premier volet de cette trilogie, ses origines en France. Mais c'est dans le Montana à Eden Creek qu'il revient, avec ce deuxième roman, au coeur de cet Âpre Monde où s'est forgée sa culture.

Bien loin de la mentalité de colons de ses vrais parents et de leur envie de se faire une place dans un Nouveau Monde, il se sent proche de la nature et de la sagesse indienne dont il a appris les moindres subtilités grâce à ses parents adoptifs, Papa et Mama Tulssa.

De son enfance bercée par l'histoire de Chef Joseph, chassé avec sa tribu de l'Oregon par les blancs, il a appris la patience, la détermination et l'osmose avec les éléments.

Mais les rancoeurs sont nombreuses envers cet indien blanc que personne ne souhaite voir revenir à Eden Creek, d'autant plus qu'un riche propriétaire terrien déforeste sans scrupule cette région millénaire, prêt à détruire tout un écosystème pour ses seuls intérêts.

Dans une ambiance tendue à l'extrême, le passé d'Elias va refaire surface et l'affrontement avec cet exploitant forestier jaloux et haineux, semble inexorable.

On retrouve dans Âpre Monde, les grandes thématiques de la littérature américaine que sont les conflits ethniques, l'intégrité menacée de l'environnement, l'expansion à outrance des exploitations. Franck Bouysse, avec sa parfaite connaissance de la Nature, nous entraîne sur les pentes boisées des collines du Grand Ouest, porté par cette authenticité qui le caractérise. Les forêts, les animaux, les grands espaces, l'immersion est totale et l'on partage avec Elias, ces instants de vie rythmée par les saisons et empreinte de vraies valeurs.

J'ai été séduite par ce personnage attachant qui porte en lui la force et la culture des peuples autochtones et ce voyage américain aux allures de western me laisse de superbes images de paysages sauvages en tête.
Très curieuse de découvrir la fin de cette Marche du rêveur, j'attendrai avec impatience la sortie du troisième tome pour savoir si Fanck Bouysse est définitivement devenu américain.

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Après le premier opus "Pur Sang", voici le deuxième tome "Âpre monde" de la série, "La Marche du Rêveur" : Elias retrouve les grands espaces naturels à Eden Creek dans le Montana, après avoir parcouru la France en quête de ses origines.

A lire de préférence dans l'ordre pour une meilleure compréhension de l'intrigue générale !

Franck Bouysse, en maître du suspense et des grands espaces, nous offre le magnifique récit d'une liberté et d'une résistance car « La vie, c'est pas ce qu'il y a de plus précieux pour un homme, c'est le sens qu'on lui donne qui importe. »

« Dans ces montagnes, on n'a pas d'autre choix que de survivre…»

Après avoir fait disparaître en fumée ce qui lui restait de possessions superflues, Elias Greenhill se réfugie dans une cabane au coeur des massifs enneigés de l'Oregon. Durant une saison en hiver, tel un irréductible Indien, il va devenir le gardien de la forêt outragée par l'exploitation frénétique de l'entreprise Drumm. Vulnérable mais déterminé, Elias va affronter à armes inégales la violence des hommes.

Je remercie les éditions @Phebus et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de poursuivre les aventures d'Elias.

Comme dans la plupart des romans de l'auteur, la Nature brute et sauvage est omniprésente ici encore grâce aux descriptions magnifiques de paysages enneigés.

Comme les Indiens, Elias a choisit de construire sa propre cabane et de vivre en autarcie selon le rythme de Mère Nature en la respectant. Elias ne prélève que ce dont il a besoin comme gibier pour survivre, contrairement à l'exploitation destructrice de l'entreprise de Caryl Drumm qu'il déteste au plus haut point, et réciproquement.

Au coeur de l'intrigue amoureuse, Elias va retrouver Elisa qui a épousé Caryl, cet exploitant forestier jaloux et haineux, malgré son amour de jeunesse pour Elias qui ne la quitte pas. Elle se rapproche peu à peu d'Elias jusqu'au drame inévitable.

Le thème de la violence est récurrent que ce soit au sein du couple ou au coeur de l'Histoire de la lutte pour la survie du peuple des Indiens. Ils sont victimes de spoliation de leurs terres et refusent d'être enfermés dans des réserves, un peu comme Elisa refuse de se soumettre à l'autorité de son mari.

Au delà de l'affrontement de deux hommes qui se dispute la même femme, ce roman dévoile une lutte dont les racines sont bien plus profondes : celle de le Nature nourricière, source de vie, face à celle de la consommation à outrance et du matérialisme exacerbé, destructeurs de cette vie. J'attends le tome final avec impatience pour continuer à suivre la Marche du Rêveur grâce à ce personnage très touchant qu'est Elias. A suivre !
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« Tu vois ces poings? Ils m'ont permis de façonner ce que j'avais en tête et parfois de me défendre. Si un jour, tu fais tomber un ennemi à terre, rappelle-toi aussi de l'arbre qui n'a pas crié, lorsque tu plantais la hache dans son tronc. Souviens-toi de la sève et des armes, autant que du sang. »

Âpre-monde, Franck Bouysse @franckbouysse @editionsphebus

La difficulté de chroniquer un tome 2, c'est de ne pas trop en raconter pour ne pas révéler au-delà de ce qui est permis, et cependant donner le goût de tourner la première page, si vous n'avez pas encore lu le premier tome…

Si vous avez l'habitude des récits de l'auteur qui parlent de la France rurale, sachez qu'ici l'histoire se déroule outre Atlantique, au coeur du Montana, dans un environnement de montagnes, territoire autrefois occupé par les Nez-Percés lorsqu'ils furent chassés de leurs terres…

On y retrouve Elia Greenhill, le protagoniste du premier volet.

« La beauté sauvage d'Eden Creek s'offrait à Elias dans le plus grand silence et il en prenait sa respectueuse part, celle qu'il avait conscience de devoir à la nature dont il était devenu entièrement dépendant. Sa place, sans jamais jouer des coudes pour en exiger une nouvelle, plus importante. Sa vie se construisait dans la solitude la plus absolue. »

La plume de l'auteur excelle dans ses descriptions de la nature qu'il sait rendre belle et sauvage à la fois, attirante et préservée, envoûtante et non asservie!

Il y a dans ce récit, un retour à l'état sauvage qui s'opère dans le respect de la nature, mère nourricière, protectrice aussi, qui pourvoit aux besoins pour autant qu'ils soient mesurés.

Cependant, il n'y a rien de contemplatif dans ce texte où la beauté côtoie la violence, où l'humain tente de prélever plus que son dû, où la nature peut être mise à mal…

Cette histoire, ce n'est pas celle d'un homme qui quitte les siens pour s'isoler dans les bois, mais plutôt celle d'un homme aux abois!

C'est un texte riche d'enseignements…

« […] le bonheur, selon lui, c'était d'avoir quelque chose à perdre et d'en être conscient. »

Une histoire de liens qui se font et se défont, de transmission et de savoir, d'une vie au rythme des saisons.

Un récit comme une légende que l'on conterait au coin du feu…
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Le dernier roman de Franck Bouysse, Apre monde, est la suite de "pur sang" et il serait dommage de le lire sans avoir lu le précédent.
On retrouve donc Elias Greenhill qui revient dans le Montana après un séjour en France à la recherche de ses origines. Il construit une cabane isolée sur un petit lopin de terre et son retour ne va pas plaire à tout le monde.
C'est toujours un plaisir de lire cet auteur, on est plongé dans la nature avec des descriptions parfaites. le roman fait un peu plus de 200 pages donc ça se dévore rapidement. J'ai hâte maintenant de lire la suite de cette trilogie.
#Âpremonde #NetGalleyFrance


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C'est le deuxième tome de la série, La Marche du Rêveur, après "Pur sang", sorti l'année dernière, que j'avais beaucoup aimé.

Retour à Eden Creek où Elias nous ramène dans les grands espaces, le froid, où il retrouve l'hostilité de Caryl Drumm en particulier... Mais peu importe, ce n'est pas ça qui va l'empêcher de s'installer dans les hauteurs des massifs enneigés de l'Oregon, tels ses ancêtres le faisaient .

L'auteur nous offre ici le magnifique récit d'une liberté difficile à gagner, là où la violence des hommes se déchaîne,où l'appât du gain se fait au mépris du respect de la nature. Elias va découvrir un secret bien enfoui qui pourrait bien changer la donne dans cette région où le clan Drumm règne impunément.

Cette fois encore l'auteur nous livre ici un roman d'ambiance mais dans lequel il ménage cependant beaucoup de suspense et de tension. C'est un thriller aux allures de western qui nous réserve beaucoup de surprises et j'ai adoré ça.

La plume de l'auteur est toujours très visuelle et l'on est aisément transporté dans cette magnifique et hostile nature, où l'on ressent toute la dureté à laquelle Elias est confronté.

Ici je ne peux que vous conseiller de lire "Pur sang" avant "Âpre monde" pour connaître toute l'histoire d'Elias et de ses ancêtres.

J'ai adoré ce deuxième volet et je ne peux que vous le recommander
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