Lire, d'abord, le cahier d'un jeune homme...
Lire les difficultés qui s'épaississent.
L'amour qu'il rencontre, alors que meurt son monde à lui...
Quitter tout, perdre tout, vouloir vivre, aimer sa femme, même si elle s'éteind même si elle éjecte ses enfants, ne pas pouvoir s'en remettre et s'en remettre pourtant..
La nature de l'homme et de la femme...
Bravo à l'auteur, tant c'est limpide et dur.
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Se rapprocher le plus possible d'un état végétatif, prendre exemple sur les plantes sauvages qui s'épanouissent et meurent sans rien attendre ni recevoir, sans bouger, plantées au même endroit sans se faire remarquer, ignorantes du monde où elles vivent, des joies commes des drames. Les plantes ne pleurent jamais, elles ne sourient pas, elles vivent et ne sont presque pas.
Au moment où le monde s’interroge sur le sort des « migrants » contraints de s’arracher à leurs racines pour survivre à la folie des hommes, on se souvient que l’émigration est l’une des constantes de l’histoire de l’humanité.