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Pourquoi commencer par le troisième roman d'une série? Je ne sais pas. Cependant le plaisir que j'ai éprouvé justifie de remonter le temps et de découvrir a postériori le premier tome des enquêtes de l'agence 13 et ainsi de lever les inconnues sur l'héroïne et son curieux employeur.
L'agence 13 est en effet une entreprise destinée à relooker des scènes de crimes, les rendant réutilisables, en effaçant toute trace des drames qui s'y sont déroulés.

Dans cette histoire de chat aux yeux jaunes, la requête est un peu différente, puisque Mickie Katz est priée de revoir la déco d'un asile pour ex stars de série des années 60, tenu par une septuagénaire excentrique, qui fut vitriolée en pleine gloire, pour mieux renaître au succès après les miracles accomplis par la chirurgie esthétique. Que cache cette mission, retenue par le boss de Mickie en raison de la rémunération généreuse?

Outre la construction adroite, émaillée de rebondissements et de fausses pistes, qui dynamisent l'histoire, c'est aussi le plaisir de se remémorer les séries qui faisaient le succès du petit écran : Ma sorcière bien-aimée, le Virginien, Bonanza,…et tant d'autre.

A travers l'histoire fictive de Peggy McFloyd, héroïne de First Lady, série mythique américaine (rien à voir cependant avec la série britannique The First Lady, diffusée en 1968 et 1969), Serge Brussolo nous convie au making off d'un tournage : mesquineries, caprices, intrigues, et ressentiments. C'est aussi l'occasion de soulignent la fragilité du succès médiatique, lié aux humeurs changeantes du public.

Il décrit également avec humour les extravagances des idolâtres qui peuvent consacrer leur vie au culte d'une gloire passée, dans une débauche de reliques au goût plus que douteux?

L'écriture est sans reproche, au contraire le style dynamique contribue à créer l'intérêt.
Très bonne surprise donc, qui risque d'alimenter laxiste de lectures à venir de quelques titres supplémentaires…

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Le chat aux yeux jaunes est le 3ème tome de la série Agence 13 et je dois dire qu'il m'a beaucoup plus emballée que le tome 2 !

De retour à L.A. Mickie Katz reste cette fois-ci dans la région pour sa nouvelle mission, redécorer les appartements d'une ancienne actrice de série TV.

On plonge avec cet opus dans l'univers du cinéma, des studios, des comédiens et de leurs agents, des faux-semblants également. La genèse de cette intrigue remonte aux années 60, Peggy McFloyd y a connu un grand succès grâce à une série s'inspirant du couple John Fitzgerald Kennedy - Marylin Monroe. Elle était la petite fiancée de l'Amérique et nostalgique de cette époque, elle ne veut plus en sortir. Aussi avant de poser le pied dans son domaine, prière de passer par le vestiaire où vous serez relooké à la mode de l'époque et où tous vos objets technologiques modernes vous seront confisqués. Si ça prête à sourire, Mickie et un groupe d'anciens acteurs grabataires avec couleurs acidulées et coiffures improbables, l'ambiance est inquiétante… On parle de série maudite, de disparition, d'agression.

Serge Brussolo nous embarque dans les USA de cette époque et de ce milieu bien précis. J'aime son écriture nerveuse et immersive. L'intrigue est bien menée, retorse. Notre héroïne s'approche peu à peu de la vérité comme on épluche un oignon, peau après peau, en faisant tomber les impostures les unes à la suite des autres.
Un très bon cru !
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"Avez vous entendu parler de l'actrice Peggy Mc Floyd ?"
Mickie Katz, jeune fille moderne qui promène son dynamisme en "Chevy Impala de 1958 repeinte en jaune poussin et agrémentée de smileys bleus", se voit chargée par son patron de redécorer le manoir, de la richissime actrice Peggy Mc Floyd (une vieille dame de quatre-vingt ans éprouvée par divers malheurs), situé dans "les montagnes de Santa Monica" et transformé en maison de retraite accueillant les anciens de sa série culte télé "First Lady".
"Funeste décision!"
Curieuse invétérée, Mickie, après un tour d'horizon du fan-club sur le net, s'aperçoit que la première saison mythique s'avère maudite.
Coup de folie,renvoi,disparition, accidents mortels.
Ne pas céder à l'obsession du complot et interroger, vite fait bien fait, l'agent Samuel "Dynamite" Langford de Lawrence Brickstone (le comédien volatilisé).
Elle apprend alors, avant son rendez-vous avec Peggy, la terrible agression subie jadis par cette dernière.
D'une "vitrioleuse qui a trouvé Jésus", à "d'anciens militaires vindicatifs" chargés de surveiller le manoir,à Conrad qui lui fait visiter les lieux en la toisant comme une "espèce de hippie" au nez cassé, à un "chat sphynx" empaillé aux yeux jaunes (d'où le tître) suspecté d'évoluer entre le monde des vivants et des morts selon une étrange équation, à une nouvelle agression à l'acide,à une femme ligotée asphyxiée; Mickie Katz va, la peur au ventre mais contrainte par diverses manipulations, échanger sa casquette de décoratrice contre un look d'enquêteur au risque de sa vie.
La paranoïa,toujours très présente dans les romans de Serge Brussolo,a pour une fois du bon puisque le père de Mickie "terroriste recherché par le FBI l'a entraînée aux techniques de combat,de survie et de sabotage". C e sacré bagage lui servira-t-il?
Suspense,angoisse,imagination, Serge Brussolo dans le chat aux yeux jaunes, signe de main de maître ce tome trois d'Agence 13.
Inconditionnelle de cet auteur culte (à l'imaginaire exceptionnel, à l'écriture imagée et au don de tenir le lecteur en haleine par les atmosphères créées) dont je possède presque tous les anciens livres en poche, je rappellerai qu'il a obtenu le grand prix de l'imaginaire du roman francophone en 1981 pourVue en coupe d'une ville malade et en 1988 pour Opération Serrures carnivores, le prix du roman d'aventure en 1994 pour le chien de minuit, le prix RTL Lire en 1995 pour La Moisson d'hiver, le prix Paul Féval 2004 pour l'ensemble de son oeuvre par la Société des gens de Lettres.
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Quand je suis en quête de détente mentale, de noyade littéraire, d'une évasion franche et brutale de mon entourage quotidien, Serge Brussolo prend des allures de prince charmant. Son abondante production me garantit en outre de toute pénurie et de toute frustration liée au manque, ce qui n'est pas négligeable. Comme souvent, il a réussi à me prendre par la main tout en fredonnant un thème d'apparence assez banale, berçant ma vigilance jusqu'au moment où je me suis rendue compte qu'en fait, cela faisait déjà un bon moment que j'étais engagée sur une pente irrémédiablement boueuse et glissante et que je ne pouvais plus remonter sur la terre ferme. le crescendo est parfait. Il malaxe, mixe et enfonce les doigts dans les différentes pâtes à modeler des éléments mis en place, invente plusieurs histoires et s'offre le luxe de toutes les raconter, jusqu'à ne donner qu'une seule vérité - il faut bien savoir s'arrêter, au bout d'un moment ! - en maintenant néanmoins une once d'inexpliqué. le fantastique est au porte de nos peurs et continue de nous grignoter le livre refermé...

"Avec internet tout est possible et il ne faut jamais sous-estimer l'opiniâtreté des cinéphiles" (256)

Le gros coup de baguette magique d'internet qui révèle sans difficulté la véritable identité de Lawrence Brickstone et par-là même fait faire un bon conséquent à l'aventure est un chouïa gonflé au sein d'une telle densité imaginative... Volontairement ? J'aime à imaginer le sourire faussement innocent de Serge Brussolo qui peut se le permettre et n'avait pas envie de s'embêter avec cette partie de l'histoire... ou avait envie de se moquer d'une ficelle trop facilement utilisée dans les romans... ou...

Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Ce titre, paru en 2011, constitue le troisième volet de la série " Agence 13 - Les paradis inhabitables" , mettant en scène l' enquêtrice- décoratrice Mickie Katz . Cette dernière, à l' instigation de son patron Devereaux, va se retrouver dans une étrange maison de retraite californienne dont les pensionnaires, tous issus du milieu du petit écran, vivent cloîtrés dans un domaine hermétiquement clos, figé dans les sixties, et sur lequel règne en despote absolue une ex-star vieillissante de série affligeante à succès autrefois défigurée , à l' apogée de sa gloire par une vitrioleuse " kamikaze du féminisme" !!! si j' ai trouvé au départ ce scénario un peu tiré par les cheveux, abracadabrantesque diraient certains, j' ai néanmoins été rapidement alpagué par un suspens habilement entretenu et le style inimitable de cet auteur fascinant. Au final , un bon cru : disons 3/5 pour mon trente-troisième Brussolo à ce jour.
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Serge Brussolo avait laissé Mickie Katz en bien mauvaise posture à l'issue de Ceux-d'en bas, deuxième volet de la série consacrée à l'Agence 13, les paradis inhabitables. Un livre et un revers de page plus tard, tout est comme effacé et Mickie reprend du service. La dame n'est pas du genre à lambiner. Qui plus est, l'agence a les comptes dans le rouge. Pour remplir les caisses, elle n'hésite donc pas à envoyer son meilleur élément en mission, quitte à jouer profil bas et rompre avec la singularité qui la caractérise : redonner une seconde vie et un nouvel éclat à des lieux ayant été l'objet de scènes de crime.

Pour autant, Mickie n'est pas au bout de ses peines. D'après les premiers éléments dont elle dispose, il semblerait effectivement que la jeune femme ait quitté le foyer d'une folie pour en investir un autre, d'une nature bien différente mais tout aussi inquiétante. Devenir décoratrice pour une série de télé, passe encore. Mais que penser lorsqu'il s'agit d'un vieux feuilleton réputé maudit après la disparition de l'un de ses acteurs principaux ? Que celui-ci a pour interprètes une horde de vieillards ambulants ? Peggy Floyd, star déchue mais encore riche, a en effet décidé de tourner de nouveaux épisodes du feu First Lady dans son manoir, avec tous ceux qui, de près ou de loin, avaient un jour travaillé dessus. La série n'est plus diffusée sur les ondes mais dans les hôpitaux ou autres maisons de retraites pour les quelques nostalgiques qu'elle compte encore. Et la malédiction qui l'entoure n'a apparemment pas connu les ravages du temps, ne s'est en aucune manière estompée. Mickie ne risque-t-elle pas d'en faire les frais ?

Lire une page de Serge Brussolo, ne serait-ce qu'une seule, cela s'apparente déjà à la traversée d'une frontière. Celle qui sépare notre monde de l'imaginaire de l'auteur. Vous pouvez toujours y aller bardés de vos références, de vos guides ou de vos bagages glanés au cours de vos précédentes incursions, traverser cette frontière, donc, de quelque manière qu'on le fasse, cela revient irrémédiablement à pénétrer en un territoire obscur, glauque et hostile, au gré duquel, mystères, surprises et chausses-trappes sèmeront l'exploration. Pas besoin de vous soucier d'un quelconque moyen de locomotion, la peur et l'angoisse vous serviront de carburant.

Le chat aux yeux jaunes ne détonne pas. Pas du tout. Une fois la frontière traversée, vous voici comme enfermé(e)(s) dans un grand magasin, peuplé de mannequins de cire qui, après l'heure de la fermeture, se mettent tout à coup à se mouvoir, difficilement, mécaniquement, laissant apparaître les défauts de leur peau à la lumière ténue des projecteurs.

Serge Brussolo, malgré quelques pirouettes et invraisemblances scénaristiques vite oubliées, nous offre donc une nouvelle fois un livre d'ambiance où le malaise plane du début à la fin, un malaise largement imputable à une mise en scène axée autour de vieillards se raccrochant à leurs espoirs déchus. Des vieillards en quête d'une éternelle jeunesse prompts pour cela à revêtir des costumes de latex de stars disparues, s'avilissant encore et encore, comme pour ne pas se laisser submerger par la déchéance.

Avec une intrigue tarabiscotée comme lui seul semble capable de les édifier, Serge Brussolo arrive à donner froid dans le dos et à vous laisser comme un goût de poussière dans la bouche. Vous voilà prévenus. Quoique, il se pourrait même que vous en redemandiez. Etrange, non ?

Lien : http://bibliomanu.blogspot.com
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Micky Katz va cette fois encore se retrouver mêler à une histoire à moitié maléfique sur la base d'une simple mission de décoration.
Elle doit refaire l'intérieur d'une vieille actrice un peu loufoque et qui a décidé de rester vivre dans les années 60.
Avant de s'y rendre elle va se renseigner sur le personnage et ce sera le début d'une histoire à la trame complexe et terriblement machiavélique.
En cela Serge Brussolo n'a pas démérité au fil de chaque aventure de Micky pour l'Agence 13.
Ses scénarii sont emplis de rebondissements, de découvertes scandaleuses ou de pistes alambiquées.
On ne s'ennuie pas un seul instant. La trame se déroule tel un fil d'Ariane pour nous mener à la sortie du labyrinthe des informations obtenues. Informations qui au fil de leur découverte semblent nous mener tout droit à un épilogue toujours inattendu. Plusieurs pistes s'offrent toujours à Micky et les événements tendent à la pousser vers l'une ou l'autre indifféremment. Jusqu'au paragraphe final on essaie de trouver LA solution.
Une série sur j'adore sous une plume loquace et surtout aérée. Un vrai moment de lecture lourd et flippant à souhait.
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Troisième tome de l'Agence 13, on pouvait penser que Brussolo aurait épuisé toutes les ficelles... Et bien non ! Ce chat aux yeux jaunes, bien angoissant, nous replonge dans l'univers de Mickie. Les anciennes stars déchues des années 1960 ont de nombreux secrets cachés, et c'est un vrai plaisir de lecture ! Un texte sans fioriture, qui prend le temps de planter le décor, une atmosphère pesante qui reste l'un des principaux acteurs du texte, tous les bons ingrédients sont réunis dans ce troisième tome. Vivement le prochain !
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C'est avec beaucoup d'impatience que j'attendais ce 3e tome des aventures de Mickie Katz, surtout après la découverte de sa condition qu'elle faisait à la fin de Ceux d'en-bas ! Cette fois, c'est une plongée dans le Hollywood des années 60 que nous propose Serge Brussolo. Une star incontournable de la télévision, victime d'un attentat, finit sa vie dans son domaine où elle recueille tous ceux qui ont eu un rapport de près ou de loin avec la série télévisée « First Lady » qui l'a fait connaître. A première vue, son geste semble noble, puisqu'elle sort des petits vieillards, ex-acteurs, maquilleurs ou producteurs de la rue où ils finissent leurs jours, ou des petits boulots qui leur permettent à peine de vivre. Pourtant, lorsque sous un faux prétexte, Mickie Katz est attirée à Esteranza, elle détecte vite un malaise.
Décidément, j'aime beaucoup ce personnage de Mickie Katz. Elle n'est ni une super héroïne au courant de tout, ni une grande naïve. Elle nous ressemble terriblement. Elle sait certaines choses, dispose d'une partie des éléments, mais ça n'empêche qu'au même titre que le lecteur, qui lui aussi se méfie, elle se fait avoir. On sent bien qu'un détail échappe, que l'auteur nous balade. Tous ces gens du cinéma mentent et nous cachent des choses.
Si je ne me suis pas ennuyée, j'ai peut être été un tout petit peu moins convaincue par l'histoire, un peu longue à se déclencher. L'auteur prend le parti de présenter l'actrice Peggy McFloyd au lecteur par le biais de recherches que réalisent Mickie avant même de la rencontrer réellement. Mais on sent que l'important pour l'auteur est de mettre en place une ambiance, plus que de construire une histoire très originale. En même temps, difficile de faire plus abracadabrantesque et angoissant que Dortoir interdit ou Ceux d'en-bas , qui mettaient directement en danger Mickie. Ici, c'est surtout Peggy McFloyd qui est visée et qui joue sa vie. Et la relation entre elle et son bourreau est bien pensée et creusée.
Quant à l'univers des studios de production et des séries télévisées, il nous plonge dans les années 60, les petites robes et les coiffures choucroute, sans effets spéciaux. Cela prête à sourire et dissipe la lourdeur de l'ambiance, comme on avait pu le ressentir dans le tome précédent, très oppressant lui. Ajoutez à cela que j'ai en plus appris qui était Valérie Solanas, que je ne connaissais pas du tout. le soleil de LA finit de faire de ce roman une lecture distrayante et agréable, vraiment parfaite pour les vacances. Il n'y a plus qu'à attendre le tome 4 maintenant !
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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Le chat aux yeux jaunes est le troisième volet de la série "L'agence 13" de Serge Brussolo. le principe de cette saga est de mettre en scène une jeune femme décoratrice se retrouvant fatalement sur des lieux maudits et malsains. Sa mission première est de redonner vie à ces lieux "hantés" par des crimes souvent atroces et les remettre à la mode. Mais Mickie, la designer, se retrouve toujours confrontée à des histoires démentes et doit plus souvent mener l'enquête que décorer...
Pour ce nouveau contrat, elle devra travailler chez une actrice très célèbre en son temps. Arrivée sur place, elle se trouve face un monde en marge. Toute la propriété de la vieille dame est restée figée, volontairement, dans les années 60, date à laquelle l'actrice faisait fureur dans la série télévisée "First Lady".
Très vite, Mickie se rend compte que les apparences sont trompeuses et que ce travail va vite se transformer en parcours du combattant. Peggy McFloyd n'a pas tout dit sur la véritable présence de la jeune femme dans la propriété. La vie dans cette maison de retraite pour acteurs est semblable aux plateaux de télévision, tout de mensonges et de faux semblants.
Après quelques incidents, Mickie constate qu'elle est au coeur d'un énorme drame. Elle devra donc tout mettre en oeuvre pour faire face à une attaque vengeresse dévastatrice. Mais elle sera seule dans ce chaos pour démêler la véritable histoire de Peggy McFloyd.
Bien moins réussi que les deux précédents tomes, le chat aux yeux jaunes est plein de lourdeurs et de clichés. Les personnages sont assez pathétiques, sauf Mickie bien sûr, et peu attachants. L'intrigue est un légèrement fadasse et cousue de fil blanc. de plus, le titre et le résumé nous promettent une histoire étrange autour d'un chat. Il devrait normalement être le centre de tout ce capharnaüm. En fait il n'est qu'un accessoire très peu présent. J'avoue même n'avoir pas très bien compris son intérêt.
Même si l'on retrouve bien le principe de la série, cette fois-ci on reste sur notre faim car tout est un peu bordélique, et l'on perd rapidement notre enthousiasme.
Bref, cette immersion de Mickie Katz dans ce monde de "vieux-beaux" et d'actrices sur le retour est sympathique mais sans plus. Il manquait la vraie folie qui donne le piquant de la saga.
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