AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,19

sur 7822 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
On m'avait conseillé ce livre parce que je recherchai un roman traitant de l'art. Très déçu. Je n'apprends rien. Les personnages sont malsains, dérangeants. l'atmosphère est glauque. C'est sans doute recherché, mais ce n'est pas le style de lecture que j'aime. Je me suis forcé à le terminer, car pour certains romans il faut attendre la 50eme page pour s'attacher à l'histoire. J'ai fini par sauter des dizaines de pages par ci par là.
Commenter  J’apprécie          20
Enthousiasmée part les prix reçus pour cet ouvrage, les critiques des lecteurs Babelio, je me laisse tenter alors que je n'aime pas Bussi, ni les romans policiers.
Ma note personnelle: toujours écouter son intuition.
Lorsqu'on n'aime pas un auteur, ne plus le lire, tant pis, c'est qu'on n'aime pas.
Lorsqu'on n'aime pas un genre, ne pas insister ce n'est vraiment pas notre came.
Alors un livre d'un auteur qu'on n'aime pas dans un genre que l'on n'aime pas, il faut oublier cet ouvrage malgré les prix, malgré les bonnes critiques.
L'histoire est peu crédible à mes yeux: le jeune commissaire occitan qui dévoile des éléments de l'enquête à qui veut bien l'écouter (personnes extérieures à l'enquête, suspect, etc)
Les personnages sont caricaturés à l'excès: le flic cool, la maîtresse dont tout le monde tombe amoureux, la vieille invisible,...y
J'ai abandonné à moins de moitié, les 200 premières pages étaient déjà suffisamment difficiles à lire.
Commenter  J’apprécie          53
Je ne lis plus de polars de puis un certain temps.
Et puis à force d'entendre parler de Michel Bussi je me laisse tenter.
Alors voilà : je suis au tiers du livre et je jette l'éponge.
Une histoire bourrée de clichés littéraires, le flic cool, la belle institutrice sexy, l'adjoint appliqué, le chien errant qui en sait sans doute beaucoup, les enfants qui rodent.
Et puis les petites touches régulière de culture vulgarisée pour faire sentir au lecteur que décidément avec ce livre il a fait un achat plaisir mais aussi un achat utile.
Le tout dans un style qui n'a rien à envier au club des cinq si on fait abstraction du côté beauf de certaines scènes.
Insupportable.
Je ne saurai pas qui a tué l'ophtalmo, tant pis, de toutes façons je n'ai même pas réussi à imaginer que quelque chose avait pu se passer dans ce décor de carton pâte.


Commenter  J’apprécie          611
Michel Bussi nous emmène dans le village de Giverny. Un lieu très connu car il a été la résidence de Claude Monet. L'auteur en fait une très belle description en parlant du peintre, de ses oeuvres et de ce lieu splendide. J'aimerais d'ailleurs beaucoup visiter cet endroit. du côté de l'histoire, j'ai trouvé qu'elle s'éparpille un peu. C'est assez confus. Les personnages ne paraissent pas crédibles. Les éléments se déroulent mais on ne sait pas dans quelle direction veut nous mener l'auteur. Il y a un meurtre, on découvre les personnages mais l'enquête n'évolue pas vraiment et semble faire du sur place. Je pense que cette lecture n'était malheureusement pas faite pour moi.
Commenter  J’apprécie          61
Voici le troisième roman que je lis de cet auteur, et c'est celui qui a eu le plus de succès, remportant même cinq prix littéraires. Nous sommes à Giverny, village normand dans lequel le peintre Monnet a laissé ses empreintes en y peignant sa célèbre série des Nymphéas. Mai 2010, un meurtre y a été commis. le lieutenant Sérénac, fraichement muté depuis Albi, va s'attacher à découvrir ce que cachent les habitants de ce village touristique, afin d'en débusquer le coupable.

« Trois femmes vivaient dans un village.
La troisième était la plus douée, la deuxième était la plus rusée, la première était la plus déterminée.
A votre avis, laquelle parvint à s'échapper ? » L'intrigue tourne autour de trois femmes : la vieille dame qui raconte l'histoire, l'institutrice charmante aux yeux mauves, et la petite Fanette qui apprend à peindre. Au milieu des Givernois placides et des touristes passionnés par Monet, elles se détachent du paysage. le lieutenant Sérénac, accompagné de son adjoint, va avoir bien du mal à faire avancer son enquête sur le meurtre de Jérôme Morval, ophtalmologiste passionné par Monet et grand coureur de jupons. Les beaux yeux de la maîtresse d'école vont quelque peu altérer son jugement…

« Soyez alors certains d'une chose, d'une seule : il n'existe aucune coïncidence dans toute cette série d'événements. Rien n'est laissé au hasard dans cette affaire, bien au contraire. Chaque élément est à sa place, exactement au juste moment. » L'affaire piétine. le récit, lui, se perd dans des descriptions des paysages qui entourent Giverny, et des passages didactiques dédiés à l'impressionnisme.

Au final, un récit ennuyant, une plume que je qualifierais de « plate » tant le vocabulaire utilisé est pauvre (et que dire du « rabâcher les oreilles » ?). Les personnages n'ont aucune consistance et le mépris dont ils font preuve les uns envers les autres m'a profondément déplu. Et les incohérences ! Dignes d'un mauvais remake de « Retour dans le futur » !!! Je doute fort de relire un jour un Bussi…
Commenter  J’apprécie          222
Malheureusement, et contrairement à des nombreux lecteurs, je n'ai pas apprécié ce roman.

Tout d'abord, il y a une série de petits défauts qui, mis ensemble, ôtent une bonne partie de l'attrait du livre. Ce n'est que mon opinion mais j'ai trouvé les personnages très lisses et l'écriture assez commune. de plus, l'enquête policière que l'on suit piétine... et, dès lors, il ne se passe pas grand chose. Quelques fausses pistes sont glissées dans l'histoire mais ne donnent pas suite à de nouveaux arcs narratifs susceptibles de créer un minimum de suspens. Un inspecteur lance un simple "Tiens mais l'explication pourrait être ceci", et puis, non, en fait, voilà...

Mais tout ceci n'est rien comparé à ce qui m'a vraiment laissé une sensation désagréable une fois le livre refermé : un monstrueux lot d'incohérences ! J'ai lu à de nombreuses reprises que la fin du livre est stupéfiante.
J'aurais adoré le ressentir comme ça, vraiment. J'aime beaucoup l'idée du "twist" final et s'il avait été bien rendu, j'aurais applaudi des deux mains car j'apprécie me faire avoir à la fin d'un roman, me rendant compte que mes théories étaient fausses.
Ce n'est absolument pas le cas avec ces "Nymphéas noirs". Pourquoi ? Simplement parce que la fin n'est pas possible. Je m'explique (si vous n'avez pas encore lu la fin, arrêtez la lecture de ma critique maintenant ;) ) :

***spoiler en vue***
*3*
*2*
*1*
Les trois personnages féminins sont donc une seule et même personne. L'enfant évolue autour de l'année 1935 environ, l'adulte environ 30 ans plus tard et la vieille en 2010. Bon. Oui... mais non. Plusieurs éléments écrits noir sur blanc rendent ce schéma impossible car ils situent les personnages dans le temps à une même époque. La liste est longue mais je citerai, en vrac...
* le simple fait qu'une date situe l'action en 2010 à chaque début de chapitre, mais ce n'est pas le plus grave, admettons que là on peut encore l'expliquer par le fait que la vieille se souvient des événements, même si je trouve déjà ça limite.
* Durant l'enquête, les inspecteurs évoquent la mort d'un enfant en 1935 et disent "Mais qu'est ce que la mort d'un gamin il y a 75 ans vient faire dans cette affaire?". Aucun doute n'est possible : les enquêteurs sont donc bel et bien en 2010, soit dans le présent, en train de mener l'enquête sur la mort de Morval. C'est écrit, ils se situent dans le temps eux-mêmes. Donc, comme l'un des enquêteurs vit une histoire d'amour avec Stéphanie (la version adulte du personnage féminin), celle-ci doit forcément vivre en 2010 aussi... Soit en même temps que son avatar octogénaire.
* Une interaction avec la femme de la victime, Patricia, confirme cette simultanéité : l'enquêteur va interroger la femme sur son défunt mari. Une fois qu'il sort, la vieille va lui apporter quelques révélations, suite auxquelles Patricia appelle un ancien flic pour faire une contre-enquête car l'enquêteur principal n'est pas objectif dans l'affaire. Cette même Patricia qui regardait s'éloigner la vieille en se demandant si elle "doit croire cette vieille folle". Donc, une fois encore, victime, vieille, enquêteurs et (de facto) Stéphanie sont à la même époque.
* Stéphanie et sa version gamine, censées être séparées par une trentaine d'années, interagissent carrément ensemble. La première est la prof de la seconde, nommées toutes les deux noir sur blanc tandis que Stéphanie demande à Fanette (la petiote) pourquoi elle est debout dans le fond de la classe. Stéphanie et Fanette se retrouvent donc, elles aussi, ramenées à la même époque...

Il y a encore bien d'autres exemples mais ceux-ci m'ont particulièrement marqué. Alors comment fait l'auteur pour essayer de nous faire passer ces insurmontables problèmes de cohérence ? Eh bien avec deux petites astuces dignes des plus grands prestidigitateurs textuels :
1- La vieille nous révèle à la fin que dans tout ce qu'elle nous raconte là, ses souvenirs sont embrouillés et qu'elle mélange un peu tout. Subtil. Ca me rappelle ces vieux romans où il y a plein d'éléments inexplicables et où tout est résolu à la page finale par un "...Et elle se réveilla. Tout ceci n'était qu'un rêve". Honnêtement, on est sur le même niveau d'astuce. D'autant plus que, embrouillée ou non, elle ne peut s'embrouiller que dans la partie qu'elle a vécue (et même comme ça, c'est déjà gros, parce que s'emmêler les pinceaux au point de croire qu'on a été sa propre prof, il faut le faire... pour ne citer qu'un exemple). Or certains passages qui permettent de situer les événements ne mettent en scène que les inspecteurs, des personnes interrogées ou des témoins. Comment des passages n'impliquant absolument pas le personnage de Stéphanie, sous aucune de ses trois formes, passages dont elle ne peut rien savoir, peuvent-ils être confus dans ses souvenirs ?
2- La gamine est surnommée Fanette (pour Stéphanie, d'accord, logique). Mais comment faire en sorte que le lecteur ne sache pas que tous les personnages qui entourent Fanette jeune et Stéphanie adulte sont les mêmes ? Eh bien en changeant leurs noms, pardi ! Car c'est tout à la fin que la gamine révèle "Je ne vous appellerai plus par ces noms de peintres que je vous ai donné". On comprend alors que tous les enfants portaient un surnom, que chacun utilisait religieusement sans jamais se nommer par son vrai nom pour ne pas gâcher la révélation. Comme c'est pratique...

En somme, je me répète, j'aurais adoré que cette révélation finale soit bien construite. Elle aurait pu être un vrai coup de maître. Mais en l'état, je trouve qu'il s'agit plus d'une forme d'escroquerie scénaristique invraisemblable. Avis qui n'engage que moi, bien sûr. Quand je vois l'accueil qu'a reçu le livre, je me dis que c'est peut-être moi qui ai raté quelque chose, finalement.
Commenter  J’apprécie          113
"Le club des cinq à Giverny"...

Un petit air désuet qui fleure bon la campagne normande, les jardins de Monet, les couleurs des nénuphars et la vie paisible dans un village comme il n'en existe plus. Un coin de Normandie dont mon coeur est parfois nostalgique...
Là vivent en s'épiant une sorcière aigrie, une bovary sexy et une gamine surdouée, trois personnages attachants, chacun à sa façon. Vous leur ajoutez un gentil toutou, et vous voilà plongés dans la lecture de la collection du "Club des cinq" chère à votre enfance...

Malheureusement, un crime horrible survient, qui amène au village toute une floppée de policiers plus ennuyeux les uns que les autres.
Commence alors une série de "putain!" inutiles, même si Laurenç vient de Toulouse... trop c'est trop ! Sans compter les répétitions fastidieuses des appellations "Sérénac", "l'inspecteur Sérénac", "Laurenç Sérénac"... et de même pour le commissaire "Bénavides"... les policiers qui appellent les suspects par leurs prénoms... les paragraphes qui se terminent sur des pseudo-suspens... les pistes sans issues...
Bref, le style de narration est déplorable !

Et puis des longueurs... des répétitions... une enquête qui n'avance pas... Il paraît que le dénouement est spectaculaire ! Ma patience n'est pas parvenue à me tenir éveillé jusque là : j'ai abandonné 50 pages avant la fin...

Relisez plutôt la série "Le club des cinq" de votre enfance. C'est mieux écrit, c'est plus court et puis... il y des dessins tout aussi charmants que les Nymphéas de Claude Monet !
Commenter  J’apprécie          122
Grand prix du premier roman 2011!!! Woaw... pour moi il n'a pas été loin de m'ennuyer !
L'intérêt principal pour le normand que je suis est Giverny et ses environs, Monet aussi et quelques infos passionnantes le concernant, pour ce qui est du coeur de l'histoire, bof bof...
J'ai lu ce roman sans grande excitation.
Les personnages sont un peu trop clichés à mon goût, la façon dont ils s'expriment n'est pas du tout crédible que ce soit la vieille dame ou la fillette, on n'y croit pas !
Une fin originale qui n'a pas suffi à rattraper mon manque de conviction pour les pages précédentes.

Commenter  J’apprécie          177
Je vais tenter une critique de ce livre qui m'a été recommandé par une amie proche, son « livre préféré », que j'ai pourtant détesté puis abandonné et qui fera à coup sûr partie de mes pires lectures de 2021… C'est parti.

Je ne vais pas commenter l'intrigue policière : le style et le contenu du début du livre m'a tellement déplu que je suis passée après quelques chapitres du livre écrit au livre audio, et après quelques chapitres audios où les passages me faisaient écarquiller les yeux tant c'était grotesque, j'ai fini par abandonner à environ la moitié. Je ne peux donc rien dire du fameux « twist final » dont parlent certaines critiques, mais s'il est très tiré par les cheveux, il ne m'aurait probablement pas plu non plus !

Alors, dans les points négatifs qui m'ont fait sauter au plafond : 1. le sexisme. Certains personnages sont d'une lourdeur extrême, et le narrateur ne fait aucun commentaire ou critique, c'est un comportement qui semble tout à fait normal. le commissaire, professionnel de la drague lourde (même si j'imagine que pour Michel Bussi, c'est de la drague élégante…), et les descriptions de scène de drague à se rouler par terre : l'homme est grand, costaud, protecteur, par contre pour la femme, la moindre parcelle de son corps est sexualisée, elle ne dit rien mais « ça se voit dans ses yeux qu'elle a envie »… Pendant la scène, « 20cm les sépare » (sérieusement ?)… Au secours, on se croirait dans une mauvaise romance érotique toxique.
Globalement, pour chacune personnage féminin, on a droit à deux pages de description sur les courbes de ses seins, la blancheur virginale des épaules etc, rien n'est épargné pour les sexualiser alors que les protagonistes masculins sont décrits très brièvement.

2. le sexisme envers les femmes enceintes. Alors c'est presque la même chose que le chapitre 1, en pire. Déjà, le commissaire qui ne comprend pas que son lieutenant ne trompe pas sa femme enceinte (alors que le couple a l'air épanoui) : sans commentaire. S'enchaînent alors une description extrêmement sexuelle de la femme enceinte (qui n'a rien demandé, et qui est partie à la cuisine chercher une bière pour ces messieurs) puis une critique des femmes enceintes en général (qui n'ont-elles non plus rien demandé), qui sont certes sexy (je cherche toujours le rapport avec l'intrigue) mais pas trop sexy non plus (« je dois être vieux pour trouver une femme enceinte sexy » ??), et surtout « très chiantes » (madame a l'audace de demander quelle quantité de bière ramener, ou quel parfum de cidre, que sais-je, en vérité elle est déjà bien aimable de ramener à boire au vieux commissaire libidineux qui la dévisage). Bref, Monsieur Bussi, les femmes enceintes du monde entier vous disent « merde ».

Au-delà de ça, des incohérences/lourdeurs de style : la vieille femme (donc la narratrice…) explique tout dix fois, le commissaire qui décrypte des photos avec des chiffres qui sont clairement des dates, avant de se demander 15 pages plus loin si « ce ne serait pas des dates ? »… Mention spéciale aux indices que « seules les femmes peuvent trouver » (ah bon ?)… En plus de cela, des clichés à la pelle : sur les Portugais, les Normands, mais aussi sur la pluie normande (c'est à peu près mentionné chaque page qu'il fait moche en Normandie, il manquait des mots pour finir l'histoire peut-être ??).

Bref, moi qui déteste abandonner un livre, j'ai abandonné celui-ci sans regret. Et si j'avais possédé une version papier, il aurait fini au recyclage pour ne pas faire perdre le temps d'autres lecteurs avec ce ramassis de mauvaise intrigue policière sur fond de sexisme ordinaire !
Commenter  J’apprécie          100
Trois femmes dont les destins se rejoignent afin de résoudre un meurtre commis à Giverny. (je n'arrive pas à résumer ce roman mieux que ça)

Tout ça c'est de ma faute. Si si je vous promets, c'est de MA faute. A chaque fois que je lis cet auteur, les mêmes choses me déplaisent tant dans ses histoires que dans sa plume. Mais bon, je n'apprends pas de mes erreurs donc je continue à acheter, et puis la, arrive Nympheas noirs.

J'ai décidé de ne pas m'épancher sur cette lecture car je n'ai que du négatif à dire. Mais il y a quelques points qui ne sont juste pas passés pour moi.

Les personnages n'ont aucune profondeur, sont très niais et ne servent à rien appart proférer des mièvreries. L'histoire d'amour sonne faux. Mention spéciale à la veille dame : les chapitres où elle parle seule ne servent à rien.

La plume se veut poétique, mais est juste lourde, hyper pompeuse, et même parfois tortueuse.

Quant à l'intrigue, elle n'avance pas, et j'ai l'impression que l'auteur a plutôt voulu montrer et étaler sa culture artistique vis à vis de Monet plutôt que de construire une intrigue solide. La fin, que j'avais vu venir déjà, m'a semblé très exagérée étant donné les incohérences du début.

Je ne suis pas (DU TOUT) convaincue et je JURE que Bussi et moi, cette fois c'est fini.
Commenter  J’apprécie          62





Lecteurs (19853) Voir plus



Quiz Voir plus

Nymphéas noirs

Comment s'appelle l'adjoint de Laurenç Sérénac, le policier chargé de l'enquête ?

Sylvio
Julio
Arturo
Ernesto

10 questions
368 lecteurs ont répondu
Thème : Nymphéas noirs de Michel BussiCréer un quiz sur ce livre

{* *}