Rien ne t'efface

J'ai trouvé le roman décevant : une mère croise sur une plage la copie conforme de son fils disparu dix ans plus tôt. S'agit-il de sa réincarnation ? Au départ, l'idée semble intéressante, bien que déjà traitée. Je ne me suis pas attachée aux personnages que j'ai parfois trouvés « lourds » ou stéréotypés, voire malsains. Je pense ici aux relations de la mère et de son deuxième fils dont elle parle comme d'un amant. Certes, l'auteur veut induire le lecteur en erreur, mais cela ne me semble pas particulièrement réussi . L'intrigue invraisemblable et peu logique s'englue souvent dans une foison de descriptions trop longues et donc lassantes qui donnent au lecteur l'impression de lire un roman du terroir. En un mot : on tourne en rond… le dénouement est tiré par les cheveux et invraisemblable.
Je vais à l'encontre des critiques dithyrambiques qui m'avait poussée à acheter ce roman, mais cela n'engage que moi. Je conçois très bien que l'on puisse l'apprécier, ce qui est loin d'être mon cas.

Esteban 10 ans disparaît sur une plage du pays basque. Sa mère médecin est désemparée et totalement inconsolable.

10 années plus tard, cette mère revient, comme pour un pèlerinage, sur la plage de la disparition. Elle tombe nez à nez avec le sosie de son fils :

Il a le même physique, le même visage, 10 ans et porte des vêtements identiques à ceux d'Esteban le jour de sa disparition. C'est totalement impossible et totalement irréel. Qui est ce petit garçon : la réincarnation d'Esteban ?

Roman globalement très décevant qui manque de crédibilité. le lecteur est perdu et l'intrigue manque de cohérence.

Dommage, Michel BUSSSI n'a pas réussi à être crédible avec cette histoire, heureusement qu'il a écrit de meilleurs romans.

Au final, pas convaincu du tout !!!

Passée complètement à coté de ce roman.
J'ai ramé comme jamais à le finir, faisant confiance aux critiques.
Toutes ces histoires de sorcellerie, de réincarnation... etc c'est invraisemblable!
Même si tout trouve une explication à la fin, c'est trop capillotracté pour moi.
Décidément Bussi c'est pas ma came, mais chacun ses gouts

Rien qu'une étoile contre une larme pour mon porte-monnaie. Quelle perte de temps cette lecture truffée d'invraisemblances, l'histoire tourne en rond, chaque protagoniste se pose les questions déjà posées précédemment . Bref Monsieur Bussy fait comme ses copains qui occupent toutes les premières places de librairie et mon dieu comme j'ai peiné pour arriver à la fin histoire de voir le dénouement. Cet auteur ne m'a pas embarqué mais voilà, la pression des éditeurs, l'appât du gain, fond qu'il faut sortir son livre annuel. A quand une intrigue qui se passerait en Provence ?

Mais où est donc passé l'écrivain d'un avion sans elle ou les nymphéas ?
Ses derniers romans ne m'ont pas convaincu et celui ci pas plus....
Une histoire complètement invraisemblable, tirée par les cheveux au possible,des rebondissements sur la fin que l'on ne voit pas venir certes mais justement parce qu'ils ne font pas vraiment sens!
La réincarnation....l'idée de départ aurait pu être intéressante mais non,ça ne l'a pas fait...
je suis très déçue par cet auteur,je pense ne plus le lire...

Je ferais deux observations:
1) ce livre est un modèle de nullité,
2) il se vendra comme des petits pains.
J'aimerais bien qu'on m'explique ce paradoxe mais il s'avérera exact.

L'histoire : un pur délire.
Le style : absent. Il existe un site Internet qui peut vous débiter du Musso au kilomètre. Je pense qu'on peut créer le même pour M. Bussi.

Je ne m'attarderai pas davantage sur ce succès de librairie.
Je voudrais juste dire deux mots à MM. Bussi et consorts :
1) A la suite de l'expression "après que", on emploie (en français tout au moins) l'indicatif et non le subjonctif. On dira donc "Après qu'il a mangé" et non pas "Après qu'il ait mangé". Essayez de remplacer "après que" par "une fois que" et ça vous sautera aux yeux. Dirait-on "Une fois qu'il ait mangé" ?

2)Le système GPS vous permet de savoir ou VOUS êtes mais ne permet à personne de vous localiser. Pour parvenir à ce résultat, il faut y associer une puce GSM et une carte SIM avec un numéro actif. L'ensemble consomme pas mal de courant et ne peut être installé que sur une voiture (grâce à la batterie), sûrement pas dans un minuscule objet alimenté par une pile.
Par ailleurs, le signal GPS n'est pas reçu en intérieur (sauf très près d'une fenêtre) et certainement pas dans une grotte.

Une seule consolation ; on ne pourra faire un film de ce machin pour une raison que ceux qui le liront comprendront aisément.

Deuxième (eh oui, j'ai du courage !) et dernier Bussi pour moi.

Le premier "Nymphéas noirs" m'avait donné le ton. Quand on lit "dont on nous rabâche les oreilles", on se doute que M. Bussi parle à peine français. Pour son éducation, je le lui rappelle qu'on dit "rabâcher quelque chose" ou "dont on nous rebat (et non rabat) les oreilles".

Je connais l'engouement général pour cet auteur, pour ma part, c'est le 3eme livre que je lis, mais ça sera le dernier, je n'accroche vraiment pas.
Beaucoup de mal, à aller au bout du roman, j'ai trouvé ça long, ennuyeux, impossible de m'attacher aux personnages....
Bref Bussi n'est pas pour moi, apparemment ;)

*** ATTENTION SPOILER*** je n'ai pas apprécié ce livre, de trop longs développements sur l'incroyable focalisation du Dr Liberi pour son enfant disparu, l'alternance permanente de propos fumeux sur la réincarnation et de discours moralisateur sur ce qu'une bonne mère de faire m'a lassé. Je retrouve également des méthodes de narration basées sur la longueur, la répétition que je n'aime pas du tout chez les écrivains contemporains. Ce livre aurait probablement pu tenir en 2 fois moins de pages si tout n'était pas que répétions et reformulation d'hypothèses déjà évoquées. Jean Christophe Grangé sait bien le faire mais ce n'est pas le cas de tout le monde. le retournement de situation finale est inattendu et appréciable mais n'efface pas les incohérences du discours au sujet des relations avec Gabriel et sa mère, la réalité et la fiction finissent par se dissoudre complètement dans l'esprit du lecteur.. je ne suis pas sur que ce soit un signe de réussite ...

C'est vraiment déçue que je referme ce roman de Michel Bussi. Dommage car cet auteur me tente beaucoup et ma première lecture me laisse un goût amer.

Je trouve l'histoire abracadabrantesque pour ne pas dire nulle. Pourtant, le tout début m'a bien plu mais très vite, plus l'histoire avance et plus rien n'est crédible.

Avec Michel Bussi, soit j aime soit j aime pas. Quand j ai acheté ce livre, le résumé me plaisait bien mais au fil des pages, j'en ai rien trouvé l histoire compliqué a suivre.
J' ai trouvé que le paradoxal n était pas du tout mon truc.
Je souhaite une longue vie d écriture a Michel Bussi