C'est dans une lettre à sa maîtresse, Louise Colet, que Flaubert, alors âgé d'une trentaine d'années, évoque l'ami disparu, Alfred Le Poittevin, et l'ami présent, Maxime Du Camp : le premier, mort trois ans plus tôt, en 1848, a été l'intime, le " seul confident " ; le second, rencontré à Paris pendant leurs années d'études, demeurera le compagnon d'une vie entière, malgré les brouilles et les séparations. Le métaphysicien et l'aventurier ne s'aimaient guère ; voilà ...
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