Calendar Girl, tome 12 : Décembre

Enfin !! Dernier tome qui clôture un enchaînement de 12 tomes pour raconter une seule histoire, celle de Mia dont le père a été sauvagement battu et laissé pour mort.
J ai subi cette série mais mon côté obsédé a voulu la terminer comme je l avais commencé . Bon voilà c'est fait et je suis contente de passer à autre chose .
Si vous souhaitez savoir ce que je pense de la new romance je vous invite à lire ma critique du tome 1 de janvier .
En ce qui concerne ce tome , juste ce qu on attendait , cela se termine comme ça avait commencé.. pas de suspense , les lecteurs ont eu vite fait de comprendre le déroulement au fur et à mesure ...
Seule partie que j ai adoré ? le final qui reprend les différents personnages, j ai beaucoup aimé savoir ce que l auteur avait imaginé pour eux dans le futur !
Bye bye calendar, tu ne me reverras plus !

La saga est terminée. Je dis ouf. Je suis déçue mais surtout parce que l'histoire s'est trop emmêlée dans des choses inutiles et je m'attendais à autre chose. Au départ, Mia était un personnage très dynamique que j'adorais suivre, mais petit à petit; elle perd de son attrait et m'est devenue lassante. Néanmoins, je souligne que le principe qu'a choisi l'auteure de faire un tome par mois est bien.

Ouf décembre est enfin là, pour mon plus grand plaisir, je n'en peux plus de cette saga, avec ses 120 pages grosso modo, avec la moitié de scènes de sexe et j'avoue les avoir sauté depuis novembre très allègrement, et l'autre moitié avec des explications sur les relations de Mia et ses ex, et du remplissage.
Cependant cet opus nous offre une surprise de taille, enfin si on peut dire, car je l'ai vu arriver avec ses gros sabots Madame Audrey Carlan, bon promis je spolierais pas.
Je me suis tellement ennuyée dans ces 3 derniers tomes que je ne trouve rien à dire.
Ma biome Gaelle m'a dit que j'allais rire, euh non je n'ai pas ri, n'ayant rien trouvé de drôle, quoique j'imagine qu'elle ne parlait pas d'humour au sens propre du terme. Je suis surtout soulagée d'être arrivée au terme d'une saga très commerciale à mon sens.
L'idée de départ était sympa, mais à vrai dire le personnage de Mia ne m'a pas convaincue. Ses aventures dans certains mois étaient pas mal, mais le comportement de l'héroïne plutôt curieux. La nana qui mouille sa culotte et cède à ses clients, mais ne se prostitue pas, attention à la nuance, je la trouve très chaudasse,avec des justificatifs assez alambiqués. Je n'arrive pas à adhérer à sa romance avec Wes. Ces relations familiales devraient être touchantes, après tout ce après quoi elle aspirait ?
Nous avons donc le Happy end attendu mais non, même ce tome révélation m'a pris la tête.
J'avoue que si je n'avais pas entrepris cette saga,(série phénomène, fun, sexy et insolente ) en LC avec binôme j'aurais jette l'éponge depuis longtemps. Donc 15 millions de Lecteurs se dit-il Ok mais combien de perdus en cours de route, devant la pauvreté littéraire, et les faiblesses de l'intrigue de la romance érotique Ok, mais une romance surtout c'est du moins ce que j'en attend. On a critiqué E.L James mais Audrey Carlan la bat à plates coutures
Si l'on ne peut féliciter l'auteur pour son talent d'auteur, on peut le faire au moins pour son audace, offrir un saga en 12 tomes aux lecteurs, les intriguant de mois en mois. Une belle réussite commerciale plutôt que littéraire car vraiment, on trouve bien mieux dans le genre.

ma note globale pour cette saga est de 2 étoiles et en etant tres indulgente

Lien : http://missneferlectures.ekl..

Ce tome de décembre est censé commencer par une intrigue à base de mystères, au final vous verrez arriver la suite comme une évidence pure et simple.
Mia et Wes ce sont de nouveau comportés comme des adolescents de 15 ans à se rouler des pelles à droite à gauche, en public sans jamais aucune retenue.

Au final, ce qui était début janvier un concept ultra prometteur s'est révélé être, en décembre, une méga déception.

12 mois. 12 hommes. 12 villes : FAUX.
Un léger gout d'amertume.

Qui plus est, on aurait pu prévenir le lecteur que tous les problèmes du monde allaient lui tomber dessus à la ptite Mia presque viol, terrorisme, bi-polarité, enfance malheureuse, mère absente, père alcoolique frôlant la mort durant son coma, frère caché, soeur qui devient demi-soeur, le tout dans douze tomes de 150 pages...

Et bien sûr à la fin, HAPPY END pour tout le monde ! Ben voyons, et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu !

Une série purement commerciale -dont plusieurs tomes contiennent des fautes d'impression-, que je regrette presque d'avoir entamée et terminée.

Bon voilà j'ai relevé mon défi : j'ai lu une série New Romance. le problème est que je ne suis pas sûre d'avoir vraiment compris le principe de ce "genre" nouveau... ni l'intérêt d'ailleurs ! Si je résume mon ressenti : les 6 premiers volumes sont une compilation de scene de sexe crues et vulgaires avec une héroïne qui est une adolescente attardée certes libérée mais tout de même sans culture sur son propre pays, addict au fric et au sexe, ... pour moi elle n'a rien d'attachant à part dans son rôle de grande-soeur; c'est aussi une éloge du système "escort girl" qui est quand même de la prostitution même si l'escort est consentante : on sent le métier facile pour la nana libérée qui veut gagner de l'argent vite et qui ne tombe que sur des clients idéaux; même la gestion de la tentative de viol est peu crédible; bravo aussi pour le placement de produits Aubade notamment; je doute qu'une telle héroïne soit inspirante pour quiconque ! les lettres de fin sont ridicules et le style ne correspond en rien à ce qu'est l'héroïne le reste du volume !
A partir du volume 6 ou 7, on a l'impression qu'on a changé d'auteure ou qu'elle s'est fait taper sur les doigts en mode "bon il faudrait une histoire quand même". Donc les scenes de sexe -bien que toujours inutilement crues et forcément extraordinaires- passent au second plan derrière la vie personnelle de l'héroïne qui se découvre un héritage, une famille, construit un couple, change de "carrière" ... là on arrive au conte de fée moderne : prévisible, cousu de fils blancs, ... avec en tome 12 une fin happy end sirupeuse à l'écoeurement.
bref en 12 volumes, on oscille entre érotisme, fleur bleue des téléfilms de l'après-midi en semaine et scènes et dialogues dignes des téléréalités les plus grotesques (héros vides, superficiels, vulgaires et primaires dans tous les domaines).
Je ne sais pas si cette série est l'archétype de ce genre, mais bon j'ai essayé et voilà le verdict : adieu la new romance ! Au moins, ça se lit vite !

Je suis vraiment contente que cette saga soit enfin fini!
J'ai commencé à lire avec beaucoup d'enthousiasme, l'idée de départ est vraiment excellente mais très mal exploitée, surtout vers la fin et c'est dommage.
Dès septembre on devinait déjà la fin de l'histoire.
Il y avait pourtant matière à réaliser une histoire intéressante

Aucune surprise, histoire vraiment sans plus, on s'attend à la fin de cette saga depuis le début.