La Maison aux lumières

L'histoire est un peu (carrément) tirée par les cheveux mais Donato Carrisi est un incontournable auteur de thrillers pour moi.
Je prends toujours beaucoup de plaisir à le lire et ce livre ne déroge pas à la règle.
Je suis restée un peu sur ma faim par rapport aux quelques apparitions du personnage d'Anna Hall. J'aurais aimé avoir des réponses mais on pressent à la fin qu'elles arriveront (peut-être) dans une future suite...

• Vous devez certainement déjà le savoir, mais ce livre est le troisième tome d'une saga. Et je peux vous assurer que cet opus est mon favori !

• On retrouve notre endormeur d'enfants : Pietro Gerber dans une nouvelle enquête. Cette fois, c'est Eva, une fillette obéissant aux ordres d'un ami imaginaire. Traumatisé par ses précédentes affaires, Pietro hésite à prendre en charge cette petite. Il prend le risque et au cours de ses séances d'hypnose, Éva dissémine des indices qui relient une affaire douloureuse qu'a vécu notre hypnotiseur étant enfant. Comment peut-elle être au courant de tant de détails ?

• C'est un jeu de piste dangereux dans lequel va nous plonger l'auteur. Ce livre m'a donné des frissons, j'en ai eu froid dans le dos. Pour des tas de détails flippants, ce côté un peu ésotérique et l'addiction à cette mystérieuse histoire, j'ai aimé ce livre.

• Cependant, je trouve que ça manque d'action, d'énergie, même si la pression est constante puisqu'on apprend régulièrement de nouveaux éléments et que beaucoup de choses se lient petit a petit qu'on avance dans l'histoire.

• L'ambiance est toujours très lourde et étrange. L'atmosphère pesante ne fait qu'accentuer l'envie de découvrir la vérité.

• le point un peu tiré par les cheveux c'est que le père de Pietro est un peu trop facilement utilisé pour insérer une embrouille, une réelle intrigue et pas que dans cet opus.

• Concernant cette saga, les épilogues sont toujours très frustrants pour moi. de ces histoires, la conclusion n'est jamais très claire et c'est terriblement perturbant et agaçant. En revanche, un personnage hante ces livres et revient régulièrement : Hanna Hall.
Cette saga n'est pas encore terminée.....

• En tout cas, c'est un vrai plaisir de lire un tel thriller psychologique qui nous fait remettre en question cette enquête de dingue, ça nous retourne vraiment le cerveau ! J'ai été positivement surprise !

Bonne soirée &#xNaN

Pietro Gerber n'a plus bonne presse e tant que psychologue pour enfants… Il hésite d'ailleurs à prendre de nouveaux patients… Lorsqu'il est contacté par Maja, une jeune fille au pair, pour s'occuper d'Eva, il s'y refuse d'abord…
En effet, celle-ci reste enfermée dans un manoir, sans voir sa mère, n'ayant pour compagnie que Maja, la gouvernante de la maison et son ami imaginaire… Mais quand, à la première entrevue, Eva livre à Pietro des détails sur sa propre enfance, notamment sur le drame qui a touché l'un de ses amis autrefois, celui-ci, intrigué, accepte d'intervenir…
Encore un thriller qui confirme l'idée que Donato Carrisi est un auteur de thrillers, qui compte pour moi. J'aime son style d'écriture, qui accroche de manière immédiate mon attention. Dans la maison aux Lumières, on retrouve le personnage de Pietro Gerber, l'hypnotiseur d'enfants, que je trouve vraiment fabuleux… Deux intrigues s'entremêlent, provoquant chez moi de nombreux questionnements. J'ai été tout de suite happée par le suspense, qui m'a tenue en haleine la majeure partie du roman, lu d'ailleurs d'une seule traite…
Pourtant, là où je m'étais persuadée d'être sur le dernier tome d'une trilogie, je reste sur ma faim, parce que trop de questions sont laissées ouvertes, sans réelle résolution… Alors, suite ou pas suite ??? En tous les cas, l'histoire de Pietro Gerber mériterait que l'auteur lui donne une conclusion digne de ce nom…

J'ai découvert Donato Carrisi grâce aux SP d'Audiolib et je dois confesser que cette rencontre littéraire est l'une des plus chouettes que j'ai pu faire. Pour la petite histoire, mon amie Ingrid m'a conseillé cet auteur il y a au moins 5 ans. Elle adore ses livres. Je pensais (à tort) que ce type de lecture n'était pas faite pour moi. C'est dingue comme on peut se poser des limites de manière totalement consciente juste en écoutant nos croyances. Enfin donc, dernièrement, j'ai eu l'opportunité d'écoulire "La maison aux lumières" de Donato Carisi, troisième tome de la série Pietro Gerber. Je dois aussi t'avouer que je n'ai toujours pas (écou)lu le premier tome. Cela a un petit côté dérangeant, je sais. Pourtant, aussi bizarre que cela puisse paraître, ce manquement ne m'a absolument pas dérangée pour me plonger corps et âme dans cette écoulecture. La lecture par Sylvain Agaësse est très bonne. Sa voix est parfaite pour ce type de récit. L'enregistrement est de qualité. Les transitions sont adaptées. Aucune remarque particulière à faire sur le travail de l'équipe d'Audiolib. Si tu te poses la question, Sylvain Agaësse a déjà lu les deux premiers tomes: "La maison des voic" et "La maison des souvenirs". La continuité est assurée. Dans ce troisième tome, Petro Gerber endosse une fois encore le rôle d'hypnotiseur d'enfants. Il est appelé à l'aide par une jeune fille au pair effrayée par le comportement d'Eva dont elle a la charge. L'enfant a des visions, s'automutile... bref...c'est pas simple. En acceptant cette patiente, le psychiatre va une fois encore se retrouver dans une situation des plus délicates pour son équilibre personnel. L'endormeur d'enfants est un personnage surprenant et attachant. Son passé est complexe. Son présent est difficile. Il est complètement dépassé par ce qui lui arrive. Il ne fait pas forcément toujours les bons choix. Avec lui, la vérité n'est pas toujours celle que l'on croit. Malgré tout, je l'aime bien. Donato Carrisi a une fabuleuse capacité à conter des histoires sombres, tourmentées et pleines de faux semblants. le récit est une fois encore bien ficelé. Peu à peu, Carrisi tisse sa toile et attrape dans ses filets le lecteur. Enfin moi en tout cas. Difficile alors de lâcher le récit tant chaque phrase amène le lecteur vers un indice, une révélation, une piste, une impasse aussi... Je ne peux que t'encourager à plonger dans son univers sombre, complexe et tordu. A mes yeux, ce thriller psychologique colle particulièrement bien à la lecture audio. La voix et la lecture créent une ambiance particulière et rendent le récit plausible. J'adore!
Lien : https://lire1x.com

Pietro Gerber, le célèbre psychologue spécialisé dans l'hypnose pour enfants comme son défunt père « Monsieur B. », est désormais en chute libre.
Solitaire et déprimé, sa réputation à l'instar de son moral, a perdu de sa superbe suite à des affaires éprouvantes dont il peine à se remettre.
Quand le célèbre « Endormeur d'enfants » est sollicité par Maja, une jeune fille au pair inquiète pour la fillette de 10 ans dont elle a la charge, Pietro y voit une occasion de redorer son blason.

Eva, agoraphobe et en proie à des phénomènes étranges, s'est inventé un ami imaginaire.
Les séances d'hypnose durant lesquelles l'ami imaginaire se manifeste replonge Pieter dans une période sombre de son enfance.
Le récit présente d'étranges synchronicités avec la disparition du petit Zeno il y a 25 ans, lors d'une partie de cache-cache un beau dimanche de juillet.
Le jeu des statuettes de cire que Pietro a observé de son balcon, la jambe plâtrée, suite à une chute qui aurait pu lui être fatale. Une EMI de 30 secondes à peine mais qui l'a marqué à jamais.
Confronté à des faits inexplicables, Pietro voit ses certitudes basculer.
Et si la fillette n'était pas atteinte de schizophrénie infantile mais était réellement possédée par le fantôme de Zéno ?
Entre parapsychologie et superstition, le psychologue saisit l'opportunité d'exorciser son passé en découvrant la vérité sur le destin de Zeno.

Je remercie Babelio et la masse critique pour la découverte de ce thriller addictif dont les chapitres courts rythment le suspense jusqu'au dénouement.
Donato Carrisi fait voler en éclats les certitudes de notre rationalisme en nous entraînant dans les domaines sombres de la parapsychologie et de l'hypnose.
Le roman met également en exergue les dérives de l'hypnose et la puissance de la manipulation mentale.

J'aime beaucoup les livres de carrisi Donato et celui-ci ne fait pas exemption en dehors de la fin complètement bâclée. Quel dommage d'avoir tenu le lecteur tout le long et de faire un gros flop en final.
J'ai lu le livre d'une traite en deux jours, captivée par cette petite fille si particulière, tout comme j'ai eu plaisir à retrouver l'illustre hypnotiseur pour enfants, Gerber découvert dans un précédent roman. Même si elle peut paraître invraisemblable l'histoire se tient sauf cette fin qui au lieu de donner un suspense pour un prochain opus, fait grimacer.
Cela reste une lecture agréable que je recommande.

Ce livre a été un vrai page turner pour moi. C'est tellement intriguant qu'on a hâte de connaître la suite à chaque chapitre. Les séances d'hypnose avec la petite Eva m'ont fait frissonner plus d'une fois. On se questionne beaucoup pour savoir si ce qu'elle raconte est vrai et si c'est réellement arrivé, si elle a un ami imaginaire, si elle est schizophrene… le célèbre hypnotiseur en devient autant angoissé que nous alors qu'il en a connu des patients et des histoires durant sa carrière.

À côté de ça, il y a l'enquête pour essayer de découvrir ce qui est arrivé au jeune garçon 25 ans plus tôt. Là aussi c'est trépidant. Pour en arriver à une conclusion à laquelle je ne m'attendais absolument pas, j'étais à des années lumières de mes théories.

En tout cas, j'ai très envie de découvrir les deux précédents tomes. Dans « la maison aux lumières », on y retrouve des références aux deux autres alors ça donne deux fois plus envie de se plonger les histoires du passé.

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Le commencement semblait présager une histoire relativement simple, et naïvement, j'ai cru discerner où elle aboutirait. Cette prévision s'est confirmée jusqu'à la moitié du récit, après quoi le roman opère un virage captivant, dévoilant une série de découvertes et de rebondissements.

Certes, certaines intrigues lancées tout au long de l'histoire restent sans réponse, et l'on peut se questionner sur la manière dont certaines personnes possèdent certaines informations à des moments précis. En plus, cela fait douter des informations données par certains personnages, est-ce réel ? Est-ce une totale invention ?

De plus, le choix de maintenir un certain flou ajoute une couche de mystère particulièrement intrigante dans cette histoire où le paranormal semble s'entremêler au réel.

N'ayant pas préalablement lu l'intégralité du cycle de « l'endormeur d'enfant », bien que j'aie conscience de passer à côté de quelques détails, je pense qu'il est tout à fait envisageable de se plonger dans ce tome sans une connaissance approfondie de l'histoire de Petro Gerber (même si la lecture des autres tomes est également recommandée bien évidemment).

En résumé, un thriller psychologique/parapsychologique bien exécuté, une histoire qui sait surprendre, et une recommandation chaleureuse de ma part.

Dans la maison aux lumières, on retrouve le personnage de Pietro Gerber, déjà rencontré dans "la maison des voix" puis dans "la maison sans souvenirs", puisqu'il s'agit du fameux hypnotiseur florentin, l'endormeur d'enfants.

Il se remet tout doucement de la précédente affaire dans laquelle il avait été mêlé avec l'affabulateur et trie ses patients sur le volet.

Lorsque Maya se présente en lui demandant de prendre en charge la petite fille dont elle s'occupe, la petite Eva, sa première réaction est de refuser. Celle-ci se trouve sous l'emprise d'un ami imaginaire qui l'empêche même de sortir de chez elle. Alors de quoi souffre-t-elle ? Intrigué, Pietro finit par céder et accepte de la prendre en charge.

Dans ce nouveau volet, on découvre un Pietro enfant. En effet, Gerber, lors de ces séances d'hypnose, est troublé par les détails que lui donne Eva, sur son passé, faisant ressurgir des souffrances longtemps enfouies en lui.

Même si je reconnais que l'auteur est fort pour nous perdre dans les méandres de la conscience humaine, et que l'on est captivé par l'intrigue, je m'aperçois depuis le précédent volet que finalement je ne suis pas adepte de ce genre de thriller psychologique. Et ça relève donc uniquement de mes goûts personnels. Il plaira au contraire particulièrement à d'autres.

Pour ma part j'ai vraiment préféré "la maison sans voix", qui m'avait totalement conquise. ici je reste sur un sentiment mitigé renforcé par le fait que l'on n'a pas toutes les réponses dans ce nouveau volet et que l'on suppose donc que cette fin appelle encore une suite.

Pietro Gerber, illustre hypnotiseur pour enfants et traumatisé par sa précédente affaire, alors quand une jeune fille au pair vient lui demander ses services pour l'aider à guérir Eva, une fillette qui souffre de maux bien étranges et qui semble habitée par le mal et qui obéit aux ordres d'un ami imaginaire, il hésite vraiment à la prendre en charge.

Mais il ne suffira pas de grand-chose pour que tout bascule et qu'il accepte.

Sauf que pendant les séances avec Eva, elle va lui disséminer des indices sur la disparition brutale de son ami d'enfance.

Gerber va se poser tout un tas de questions.

Comment cela est-il possible ?

Est-ce une mascarade ?

Comment s'est-elle tous les détails, et même ceux enfouis au plus profond de lui ?

Dans les longs dialogues avec Eva, il rassemblera des phrases, des non-dits, des moments passés qu'il a vécus et ainsi il pourra interpréter la vérité, et tout cela, il le consignera dans son petit cahier.

Il ne sera pas au bout de ses peines, car, comme il le pense, il aura d'autres choses à découvrir à travers elle.

Est-ce que son passé et Eva sont liés ? Où cela s'avère être tordu, sournois, machiavélique ?

C'est dans ce dédale que Pietro Gerber, le célèbre hypnotiseur, devra se confronter à la vérité sur son passé et mettre la lumière sur cette étrange patiente qu'est Eva.

Ce troisième tome avec Pietro Gerber l'hypnotiseur, j'ai trouvé l'histoire à la fois ambiguë, obscure, envoûtante, hypnotisante, et à la fois parsemée d'ésotérisme.

J'ai eu l'impression d'être dans un immense labyrinthe et de chercher la sortie et de ne pas réussir à la trouver.

J'ai trouvé également les personnages travaillés, chacun à sa place, avec leurs caractères, leurs manigances, leurs bonnes décisions ou mauvaises.

Quant à Pietro Gerber, il ne sait jamais vraiment sur quel pied danser, toujours a douté de lui et inapte à faire confiance aux gens ou à lui-même.

Je dirais dans cette histoire, qu'il est facile de dissimuler son côté obscur en étant petit dès l'enfance, mais qu'au final en grandissant personne ne change, et qu'on arrive assez bien à cacher nos pires défauts aux yeux de tous.

J'ai aimé ma lecture, mais il m'a manqué un petit truc en plus pour que cela fasse waouh, mais j'ai tout de même passé un agréable moment de lecture.

" L'innocence étonnée ne peut s'imaginer qu'elle soit soupçonnée. "
Pierre Corneille

"Ce que la mémoire de ton coeur retient, ton cerveau ne peut l'effacer."
John Joos