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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La maison aux lumières de Donato Carrisi, présentation
Pietro Gerber a 11 ans, en 1997. Il attend les vacances d'été avec impatience car il retrouve ses amis et son cousin. Ils passent du bon temps tous ensemble. Mais Pietro tombe d'un balcon. Mais à la fin de l'été, un drame arrive et hantera vraisemblablement ceux qui l'ont vécu.

De nos jours, Pietro n'a qu'un seul patient.

Avis La maison aux lumières de Donato Carrisi
La troisième maison de Donato Carrisi où le lecteur retrouve Pietro Gerber qui doit faire face à un élément de son passé, jamais élucidé.


Pietro Gerber, depuis le départ de sa femme et surtout le fait d'une manipulation, est au plus bas. L'endormeur d'enfants a conservé son statut de bon hypnotiseur mais son expérience est bien entachée par cette histoire. Il a repris son métier mais avec un seul patient, car il ne peut pas faire plus. Il se sent toujours menacé, épié par cette femme. Pietro a un rendez-vous avec un détective privé mais une jeune femme arrive à son bureau et lui demande de prendre une charge une enfant, qui a un ami imaginaire, qui ne sort jamais de chez elle et qui devient de plus en plus violente.

Pietro veut retrouver sa tranquillité d'esprit avec ce détective. Il veut être sûr que cette femme ne le suit pas. Il accepte de rencontrer cette petite fille, Eva. Pour lui, très vite, le diagnostic est posé. Mais il va être surpris car, à chaque séance d'hypnose, cet ami imaginaire prend la place de cette petite fille et lui relate le déroulé d'un élément de son passé.

Pietro veut connaître la vérité sur ce moment du passé mais il sait qu'il est plus ou moins manipulé, mais il ne sait pas comment et par qui ? Toute le monde devient suspect, malgré l'attirance qu'il éprouve pour la jeune fille, Maja, qui s'occupe de cette petite fille. Cela sera donc une plongée dans le passé. Il reprendra contact avec ses anciens amis, son cousin qu'il voit très peu et il essaiera de rejouer ce fameux jour. Quant à Eva, il se trouve, aussi, déboussolé, par son comportement. Elle accepte l'hypnose et en échangeant avec des amis de son père il prend acte que l'esprit peut être manipulé de nombreuses façons, conditionné également, et cela peut être des bruits pas forcément audibles pour une oreille humaine, mais audibles lorsque l'esprit, souvent malléable, a déjà été conditionné. Après avoir échangé avec la mère d'Eva et surtout le père, Pietro sait qu'il doit abandonner, pour le moment, Eva à son sort et il espère la retrouver lorsqu'elle sera adulte.

Une histoire de mort imminente, une histoire de manipulation de cerveaux, une histoire aussi de secte où les plus forts tentent de prendre le pouvoir sur les plus faibles. Une histoire de protection de famille mais on charge un enfant de découvrir ce secret en ayant communiqué les informations nécessaires lors d'une séance d'hypnose. Une histoire de malédiction suite au jeu des statuettes.

J'adore Donato Carrisi. J'essaie de me précipiter à chaque parution. Cette Maison aux lumières est, pour moi, comme la précédente. Pas un coup de coeur malgré le talent de l'auteur. je n'arrive pas à me faire au personnage de Pietro. Depuis trois romans, le lecteur sait qu'il a beaucoup de choses à reprocher à son père. le lecteur en apprend petit à petit, mais arrivera-t-on à tout savoir afin qu'il fasse la paix avec lui-même. Bien entendu, je pense que c'est très difficile de faire un tel métier, de ne pas se sentir concerné par ce qui arrive à ces enfants. Donato Carrisi sait très bien manipuler son lecteur, mais je reste sur ma faim, même si j'ai dévoré ce roman en quelques heures.
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Après La Maison des voix et La Maison sans souvenirs, La Maison aux lumières est le troisième ouvrage de D. Carrisi à mettre en scène l'hypnotiseur Pietro Gerber. Ce ne sont clairement pas mes ouvrages préférés de l'auteur mais, encore une fois avec cette dernière publication, le travail est fait et le lecteur finit, plus ou moins, par y trouver son compte.
L'auteur impose rapidement son rythme, les mystères, retours dans le passé et retournements de situation s'enchaînent et je dois bien avouer qu'à un moment j'ai été totalement embarquée dans cette intrigue. Mais les 70-50 dernières pages ont calmé mon enthousiasme. En effet, j'ai eu le sentiment, en refermant le livre, que l'auteur m'avait donné des éléments de réponse sortis de nul part et surtout que beaucoup trop de choses restaient irrésolues. Cette fin inachevée appelle un quatrième tome, que je lirai évidemment, mais elle m'a aussi donné l'impression que D. Carrisi ne savait pas trop comment clore son intrigue. Or, cet auteur n'a pas habitué ses lecteurs à des fins bancales et maladroites, même si le reste de l'ouvrage est plutôt bon.
Lien : https://www.instagram.com/pa..
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Ce roman constitue ma deuxième incursion dans l'oeuvre de Donato Carrisi, treize ans après la lecture du chuchoteur.

Et, pas de chance, il s'agit d'un troisième épisode mettant en scène un psychologue devenu célèbre pour sa capacité à soigner les enfants à problèmes sous hypnose – comme son père Monsieur B. - poursuivi par la présence évanescente d'une femme jadis aimée, Hanna Hall.

Cependant, cette nouvelle enquête plutôt violente ne m'incite pas à remonter la série à son point d'origine. Il s'agit en effet de parapsychologie, avec encore une fois – si mes souvenirs du premier ouvrage ne me trahissent pas – des thèmes récurrents : l'enfance, le chuchotement …

Et le souvenir de souffrances enfantines jamais effacées. Lorsqu'il avait onze ans, le futur psychologue s'est brisé la jambe en jouant à une poursuite avec ses camarades, il est tombé d'un balcon et son coeur s'est arrêté de battre pendant quelques secondes.

Quelques jours plus tard, sa jambe immobilisée dans le plâtre, il assiste depuis ce balcon à une nouvelle partie de cache-cache dans ce jardin, lors de laquelle le plus jeune de ses petits amis disparaît. 25 ans après, cette disparition jamais élucidée – on ne peut s'empêcher de penser au petit Emile – continue à le hanter, comme elle hante encore les participants à cette poursuite, devenus adultes.

Parmi les jeunes patients de Pietro Gerber, une jeune fille souffrant d'agoraphobie, qui, sous hypnose, raconte au thérapeute une histoire en tous point semblable aux circonstances de cette disparition. de quoi ébranler l'entendement du héros.

Une intrigue menée avec tous les attributs du genre. Des chapitres courts, des rebondissements, des indices disséminés tels de petits cailloux blancs, une explication finale absconse et terriblement tirée par les cheveux. du classique un peu trop marketé à mon goût.

Le cadre sauve le thriller : Florence et la Toscane, San Giminniano et les collines de cette région bénie … on se croirait avec le professeur Robert Langdon dans un roman de Dan Brown mais Pietro Gerber ne ressemble pas à Tom Hanks. Dommage.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Dans une vieille bâtisse, en Toscane, une fillette souffre d'étranges maux. Elle semble agoraphobe, prétend parler à un ami imaginaire. Pietro Gerber, « l'endormeur d'enfants », est appelé à son chevet pour tenter de soigner la fillette. Lors de ses séances d'hypnose, elle lui rapporte des faits qui ont trait à son propre passé. Alors qu'il avait dix ans, un de ses compagnons de jeux a disparu mystérieusement. Gerber est plus que troublé…

« La maison aux lumières » est le troisième roman lié au personnage de Pietro Gerber. Je n'ai pas lu les précédents et cela ne m'a gênée du tout puisque les intrigues sont indépendantes.

Je suis assez mitigée après cette lecture. Je reconnais un certain talent à l'auteur pour ménager le suspens. Il a un vrai talent de conteur qui fait que les pages se tournent seules à un bon rythme. Il créé du suspens et installe une ambiance très sombre: cette jeune fille qui semble possédée, les aller-retour dans le passé du personnage principal avec la disparition soudaine et inexpliquée de son ami, une maison isolée dans la campagne. J'ai apprécié tout cela, c'est vrai.

Cependant, j'ai trouvé que l'intrigue était au bout du compte tirée par les cheveux. On ne croit pas vraiment à la résolution finale trop bancale et peu crédible. L'auteur semble avoir fait le tour de son personnages et de ses démons et tire un peu trop sur la corde. J'ai été déçue par un final qui reste après tout très conventionnel. Il tire des ficelles grossières et j'avais deviné de trop nombreuses choses. La fin du roman laisse en outre supposer qu'il y aura une suite… Je ne suis pas certaine de la lire.

« La maison aux lumières » est un thriller qui installe une ambiance sombre avec un suspens bien dosé. Cependant, la direction prise par l'auteur ne me convainc pas totalement.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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Pendant tout le roman, on se demande si l'intrigue est basée sur des phénomènes réellement surnaturels ou s'il s'agit d'une machination. La fin est cependant un peu décevante avec ce complot dont on ne comprend pas vraiment l'objectif et l'absence de conclusion sur la fillette.
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Je mettrais un 4 si j etais sur qu il y avait une suite, ou un 2 si j etais sur qu il n y en avait pas...

Apres la maison sans souvenirs qui nous laisse sur notre fin, je m'attendais à avoir toutes les réponses manquantes. Et au final, encore plus de questions...

Le livre en lui même, sans etre du niveau du chuchoteur ou d autres, se lis bien. Mais la désagréable impression a la fin de la lecture relativise tout.
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