Tout ce qui touche à l'ésotérique ou aux sciences un peu parallèles m'interpelle, alors vous pensez bien que lorsque j'ai vu le mot « hypnotiseur », j'ai tout de suite mis ce livre sur ma pile.
Le livre avait très bien commencé, cette histoire d'enfant qui disparaissait, réapparaissait et restait ensuite muet sauf à certains moments et face à des stimuli bien particuliers étaient vraiment prenante.
De plus, à chaque page que je tournais, je me posais 1 000 questions et notamment ce qui était vrai et ce qui ne l'était pas : qui était l'hypnotiseur, qui était hypnotisé, cette histoire était-elle réelle ou l'auteur jouait-il avec nos nerfs ? Les chapitres courts, la lecture fluide permettaient d'avancer rapidement.
Et puis je suis arrivée à la fin et là je me suis dit que ce n'était pas possible, que je n'avais rien compris à ce livre, et que de fin, justement, il n'y en avait pas.
Je suis revenue en arrière, j'ai tenté de tourner et retourner tout cela dans ma tête mais rien ne venait. J'avais fait des suppositions mais je me demandais pourquoi l'auteur ne nous avait pas donné la réponse.
Alors, comme je déteste ne pas comprendre quelque chose et qu'internet et mon ami, j'ai tenté de trouver des aides pour comprendre cette fin. Quelle ne fut pas ma stupéfaction de lire que ce livre était en fait la suite d'un autre livre « la maison sans voix » et que l'auteur avait écrit un 3ème tome sur Pietro Gerber.
Par contre, à la lecture du résumé éditeur, je n'ai pas l'impression que «
la maison aux lumières » m'éclaire beaucoup sur la fin de celui-ci.
Au final, bien déçue alors que j'étais restée scotchée au livre jusqu'au dénouement.