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4,1

sur 1253 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Amatrice de romans policiers, j'aime les histoires qui tiennent en haleine tout en ayant une trame bien construite menant à un dénouement cohérent. J'apprécie les rebondissements et les surprises lorsqu'ils sont bien intégrés à l'histoire.

Dans ce roman, j'ai eu l'impression que l'objectif premier de monsieur Carrisi était d'ÉGARER le lecteur et il en rajoute une couche avec une fin non seulement déroutante mais incompréhensible. Lecture décevante pour moi.
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Ce troisième tome de la série “Le chuchoteur” ne rend pas entièrement justice au livre éponyme à mon humble avis. Pourtant il est bien construit, on alterne entre deux monde dont on croit connaître les liens, le tension monte de chapitre en chapitre, certains rebondissements surprennent, d'autres angoissent. Par contre, le rôle de Mila Vasquez est tellement minimal qu'on se demande si l'auteur ne la fait apparaître que pour surfer sur la réputation des deux premiers tome. Et cette finale tellement déroutante sur laquelle je m'interroge encore a des odeurs de bâclage. Bref une déception.
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 Je reste dubitatif après la lecture de ce roman. Cela commence très bien et, bien que le sujet reste très classique dans ce genre qu'est le thriller, l'intrigue est très bien menée et la lecture fluide. Les 2 premiers tiers du roman sont vraiment très bons. Malheureusement, la dernière partie ne m'a pas du tout convaincu et, plus embêtant encore, j'ai trouvé la fin incompréhensible. En bref, un roman assez bon mais un peu gâché par son dénouement.
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Après le chuchoteur en 2010 et L'écorchée en 2013, Donato Carrisi s'est replongé dans la saga Mila Vasquez en 2018 avec L'égarée. Enfin, disons plutôt que Mila et les Limbes apparaissent en toile de fond de ce nouveau récit qui est pourtant à nouveau une histoire de disparition. Un roman qui m'a laissée dubitative pour de nombreuses raisons.

La première n'a l'air de rien, mais elle m'a agacée d'emblée. L'intrigue de L'égarée prend place en pleine canicule, à tel point que les autorités ont décidé qu'il valait mieux, désormais, vivre la nuit et dormir le jour. Ainsi, la ville est quasi déserte durant la journée mais la nuit, les magasins sont ouverts, les gens vont travailler et faire leurs courses. Heu… L'auteur pense-t-il vraiment qu'il soit si simple d'adapter les habitudes et le rythme de vie de millions de gens, comme ça, en claquant des doigts ? Nous sommes des êtres diurnes, notre corps est conçu pour ça, mais quid de tous les troubles que cela pourrait engendrer, n'est-ce pas ? En terme de cohérence, on peut dire que ça se pose là, et ça commençait bien mal.

Bref, passons là-dessus et revenons à l'intrigue. Samantha a treize ans lorsqu'elle est enlevée un matin en allant au collège. Quinze ans plus tard, elle refait surface, nue, au bord d'une route dans les marais, avec une jambe cassée et plus aucun souvenir. Hospitalisée, la jeune femme est alors confiée à un spécialiste chargé de l'aider à retrouver la mémoire pour que la police puisse arrêter son kidnappeur. En parallèle, il y a Bruno Genko, détective privé engagé par les parents dans le passé pour les aider à retrouver leur fille. A lui tout seul, il constitue le deuxième point noir de ce roman, pour moi en tous cas.

Pourquoi ? Parce que Genko a le charisme d'une huître ! L'archétype du détective véreux qui s'est fait une petite fortune en résolvant ses affaires sur le Dark Web, et a profité de la détresse des parents de la petite pour s'en mettre à nouveau plein les poches sans rien apporter de nouveau à l'enquête. A présent, il veut comprendre ce qui s'est passé et arrêter le coupable, il a le sentiment de le devoir à Samantha. Bah oui parce que maintenant, il est malade et condamné, soudain avide de rédemption… Alors moi, autant vous le dire tout de suite, je n'ai pas ressenti d'empathie ni la moindre sympathie à son égard.

Pourtant, l'intrigue en elle-même n'est pas si mal. Les chapitres alternent entre l'hôpital, où Sam recouvre peu à peu des souvenirs du labyrinthe, et l'enquête de Genko. Cet homme avec sa tête de lapin et ses yeux en forme de coeurs fait vraiment froid dans le dos, tout comme les jeux qu'il imposait à Samantha. Plus la vérité rejaillit, pire elle est, ça fait mal au coeur. Peut-on vraiment espérer guérir l'esprit de la victime après tout ça ? La question est posée et l'auteur tranche dans le vif avec un retournement de situation assez confus. Je ne suis d'ailleurs pas tout à fait sûre d'avoir compris le final et c'est mon troisième point noir. Si quelqu'un a une explication, je prends !
Lien : http://etemporel.blogspot.co..
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L'égarée de Donato Carrisi un de mes auteurs préférés, pour ce roman qui m'a tenu en haleine à chaque chapitre ou j'ai fait connaissance avec une nouvelle psychopathie celle du Consolateur. La fin de ce roman est une énigme pour moi car je ne comprends pas ce qu'elle signifie.
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J'ai lu le Chuchoteur et l'Ecorchée il y a quelques années. J'ai pris le livre sans trop savoir que c'était la suite.
Le nombre des années séparant les lectures, peut-être, je n'ai pas tout compris à l'histoire.
Dommage.
L'histoire est cependant palpitante et prenante.
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Il est vrai que tous les ingrédients du polar avec séquestration d'enfants sont présents : la jolie adolescente qui disparaît, le détective abîmé qui mène l'enquête, le traumatisme des victimes, le profil psychologique du bourreau jadis victime. Il est vrai que la fin est véritablement surprenante et remet en question notre lecture . Mais pour moi juste un bon petit polar !
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A vouloir surprendre à tous prix son lectorat, Carrisi en est devenu prévisible et a ainsi perdu en saveur. Je ne dis pas que c'était une lecture désagréable mais elle aurait vraiment bénéficié d'une meilleure approche dans l'élaboration de l'intrigue et des ses divers embranchements.
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Troisième tome de la série Mila Vasquez après avoir lu il y a peu le deuxième tome je m'attendais au vu de la dernière page à retrouver le chuchoteur (ou un de ses "élèves") , Mila et Alice ... Mais ce ne fut pas vraiment le cas ...On ne peut pas nier une évidence Donato Carrisi écrit très bien , il a le don de trouver des histoires qui nous embarquent et contrairement aux deux autres livres, j'ai été embarqué tout de suite avec Sam à suivre son histoire , à vouloir savoir ce qui lui était arrivé, quelles épreuves lui a t'on fait subir, mais surtout qui était le derrière le masque du lapin aux yeux en forme de coeur . Alors, oui, en suivant les récits de Sam, j'ai été un peu perdu, car certaines choses n'étaient pas cohérentes... Comme si ils avaient deux histoires, deux personnages qui parlaient ... Évidemment, la fin m'a ouvert les yeux du pourquoi ... Twist final qui m'a laissé perplexe par sa facilité à s'en sortir, mais aussi comment elle n'en ai arrivé à ...s'égarer là ...

On se retrouve avec une fin comme le précèdent sans fin ... Qui irrémédiablement nous emmène à vouloir lire le tome suivant pour avoir des réponses à nos questions, mais n'est ce pas le but de l'auteur au final ?
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Cela fait deux mois que les médecins ont annoncé à Bruno Genko qu'il souffrait d'une maladie incurable et qu'il lui restait… deux mois à vivre. Alors depuis, notre détective privé navigue entre deux rives. Pas encore mort, mais plus vraiment vivant non plus.

Quand la petite Samantha, disparue il y a plus de 15 ans sur le chemin de l'école, réapparaît soudainement blessée dans un bois, c'est l'occasion pour Genko d'utiliser les quelques jours qu'il lui reste à vivre pour réparer le plus grand échec de sa carrière : retrouver le monstre qui a kidnappé Samantha. Un vrai compte à rebours se met en marche pour Genko et son coeur défaillant.

Durant cette dernière enquête, Bruno Genko va se frotter à des inspecteurs peu ravis de voir ce détective privé fouiner dans leurs affaires, mais aussi à un certain Simon Beilish des Limbes, le département des personnes disparues dirigé par la célèbre Mila Vasquez. Tandis que Genko est persuadé qu'il n'a plus rien à perdre, le monstre qui semble se dissimuler sous les traits d'un lapin géant ne sera jamais loin pour lui prouver le contraire. L'enquête avance rapidement, et l'auteur maitrise toujours aussi bien les cliffhangers de fin de chapitre. Mais… La magie ne prend pas comme pour les précédents tomes.

Contrairement aux deux autres romans de Donato Carrisi que j'ai lu (L'écorchée où l'on suit Mila Vasquez et le tribunal des âmes), l'auteur ne développe pas plusieurs récits qui se croisent au fur et à mesure de l'enquête. Au contraire, les recherches de Genko sont très linéaires, à tel point qu'on se demande comment la police n'arrive pas elle-même aux mêmes conclusions. Alors, on peut se laisser surprendre par la solution, si vraiment on n'a pas été attentif, mais la fin est assez classique et prévisible. Une petite déception pour moi qui apprécie les retournements de situation habituellement audacieux de Donato Carrisi, ce qui ne m'empêchera pas de lire le tome quatre de la série du Chuchoteur…
Lien : https://ladesordonnee.com/20..
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