La Sélection, tome 2 : L'Élite

J'ai l'impression que le tome 2 est long et lent, pour pouvoir faire 3 tomes en tout... Ca rame un peu, et tout

J'avais beaucoup aimé La Sélection et attendais avec impatience la parution de L'Elite.
Dès sa sortie, je me suis lancée sans attendre dans la lecture de ce roman, avide de connaître la suite des aventures des Sélectionnés. J'en suis ressortie le lendemain avec un avis très mitigé.
Ce second tome est dans la continuité du premier, on reprend l'histoire pile à l'endroit elle s'est arrêtée.
Seulement il ne se passe rien. L'action n'était certes pas le point fort de la Séléction, mais dans ce deuxième volume, durant ces trois cents pages, on a le droit à rien d'autre que l'indécision et au changement d'avis permanent d'América, avec toutes les cinquante pages une nouvelle attaque de Rénégats pour pimentait un peu l'histoire, sauf que chacune est identique, il n'y a plus aucune surprise, c'est répétitif.
Autant dans le premier tome j'avais apprécié le personnage d'America et son caractère bien trempé, mais après lecture du second, j'ai perdu tout attachement pour elle. Ici, je l'ai trouvé agaçante au plus haut point, indécise, changeant d'avis comme de chemises, et capricieuse.
C'est principalement ce personnage qui m'a dérangée, car mise à part son héroïne, L'Elite conserve le gros point fort du tome précédent : l'écriture simple et additive de Kiera Cass qui rend la lecture fluide et très rapide.
Plutôt déçue par ce second tome, j'attends le troisième volet pour me faire un réel avis sur la saga.
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Je suis exactement dans le même état d'esprit qu'avec le tome 1 : énervée, agacée... Tout ce potentiel inexploité moi, ça me tape sur les nerfs. Mais bon sang, pourquoi tout faire tourner autour du triangle amoureux alors qu'on a une situation politique qui pourrait être beaucoup plus creusée et donner plus de substance à la dystopie ?
Malgré mon agacement, les idées sont là, donc je n'ai pas détesté ma lecture mais elle me laisse encore une fois un goût d'inachevé... Et comme mes attentes étaient grandes, ma lecture a été moins agréable que pour le premier tome.
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Le premier tome ne m'avait pas marqué, j'avais bien aimé mais je ne comprenais pas l'engouement autour de cette série. Puis, six mois plus tard, je me décide à lire le second tome qui prenait la poussière dans ma PAL, et alors mon premier avis sur cette saga a été tout à fait chamboulé ! J'ai véritablement adoré, ça faisait longtemps que je n'avais pas passé toute une nuit entière à lire ! J'apprécie le caractère de America, même si l'envie de la secouer m'a traversé l'esprit plus d'une fois ! Et puis, que dire de Maxon...? Il est adorable. Je me contrefiche de Aspen, pour moi il n'est qu'on obstacle dans l'histoire et j'avais envie de réveiller America par rapport à lui ! Enfin... On sent que le problème des Rénégats va prendre une plus grande importance dans les prochains tomes, ce qui est loin de me déplaire, ça ajouterai un peu plus d'action à l'histoire. Et je suis quasiment certaine que la rénégate que rencontre America va avoir son rôle à jouer dans la suite...
Je suis finalement très contente d'avoir continué cette série !

America a intégré L'Élite dans ce second tome de la Sélection, le groupe des six filles encore en lice pour prétendre à un mariage avec le prince Maxon et au titre de princesse d'Illeá. Son coeur oscille cependant plus que jamais entre le charmant futur souverain et Aspen, son amour de toujours.

Un tome que je qualifierai d'inutile. On peut lui concéder d'avoir essayé d'approfondir le contexte géopolitique de l'univers, mais cette tentative reste très superficielle. Oh, bon sang ! Illeá est une dictature ? Je tombe des nues ! Moi qui pensais que c'était une monarchie très saine, avec son système de castes à la Hunger Games, où les plus mal lotis crèvent de faim.

Du côté de la Sélection, nous avons le droit à une magnifique reprise de Claude François par America Singer, qui s'en va et qui revient, mais en fait non, elle veut rester, mais elle n'a pas sa place ici, mais elle s'accroche quand même à Maxon, mais il lui tape sur les nerfs, c'est pour ça qu'elle préfère Aspen, mais en fait non plus, parce qu'il lui tape sur les nerfs aussi, alors il vaut mieux qu'elle parte, mais si elle part, elle ne pourra pas changer les choses, sauf qu'elle n'est pas sûre de pouvoir les changer de toute façon, donc il vaudrait mieux qu'elle claque la porte et tant pis…

Prétendre qu'America est une girouette serait un euphémisme, parce que même une girouette ne tourne pas autant en rond. Sérieusement, qu'est-ce que Maxon lui trouve ? Elle est irrespectueuse, insupportable… Ah mais oui, c'est l'héroïne rebeeeeelle, la brave fille qui se bat contre l'injustice, l'autorité et qui ose même défier le roi en personne. Vu sous cet angle, comment ne pas lui pardonner le fait qu'elle change de bras dans lesquels se jeter chaque fois que l'un de ses deux soupirants à le malheur de cligner un peu trop fort des yeux ? Ou qu'elle aille sans la moindre hésitation raconter à son père un énorme secret royal dans les jours qui suivent sa promesse de ne jamais en parler à quiconque ?

Le premier tome, malgré ses défauts, son intrigue et ses personnages creux, et son univers sous-exploité, introduisait au moins un concept (peu original, mais un concept quand même). L'Élite ne sert à rien. du tout. Qui, honnêtement, a pensé une seule seconde qu'America pourrait être éjectée avant la fin de la Sélection ?

Je n'ai pas encore lu le tome 3, je le ferai parce qu'il est dans ma PAL, mais je suis convaincue qu'il n'y avait pas besoin de diviser ce pensum en deux romans distincts. Un seul aurait pu suffire à conclure La Sélection, surtout si c'est pour voir America opérer encore des volte-face pendant deux cents pages et se décider à la toute fin.
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J'ai trouvé ce livre un peu... inutile. Je crois que l'auteure aurait juste du mettre le 1 et la 3 et en faire 2 tomes. En effet, America tombe amoureuse de Maxon dans le premier! le deuxième sert juste à ajouter des problèmes du style "Ah, mais je t'aime!" "Non, mais tu m'as trahis!" "mais je t"aime!" "Non, j'te boude". "Ah tu m'as trahis, finalement" "Mais je t'aime!" "ARGH DES RENÉGATS!!!"

Voilà, vous n'avez plus besoin de lire le livre, je vous ai résumé ça. À part des crises de jalousies, des gaffes, des attaques de renégats... Il ne se passe rien qui fasse VRAIMENT avancer les choses entre America et Maxon! Ah, oui, c'est vrai, Aspen arrive. HOUUUUU!!!!! Juste une autre raison de mettre le trouble!!!

Vous savez quand vous lisez un livre et que vous êtes découragés? Que vous poussez un gros soupir avant de le fermer et de faire autre chose? Je dois vous avouer que ça m'est arrivé souvent avec ce livre...

En somme, il n'est pas forcément mauvais, juste... j'étais contente de l'avoir finis, mettons.

Avec ces personnages féminins clichés et son triangle amoureux qui n'en finit pas, ce deuxième tome développe des travers de l'histoire que je n'avais pas apprécié dans le premier tome. L'histoire reste malgré tout bonne enfant et rafraîchissante. Pour les fan de romans à l'eau de rose et les jeune adolescentes romantiques.
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Si j'ai trouvé le tome 1 sympathique, je me suis ennuyé ferme avec les atermoiements du personnage principale.
bref je n'ai plus l'âge des héros de ce livres...
Bon j'ai quand même terminé la série. Au cas une bonne surprise arrive. ( et ben non)

comme le tome1, celui-ci se lit également très vite et si l'écriture de Kiera Cass est toujours fluide l'histoire elle, tourne en rond. j'ai surtout apprécié l'investissement de Maxon comme celui d'America dans le désir de changement pour Ilea, l'intrigue des Renégats et de leur motivations. par contre, le triangle amoureux reste insupportable tout autant qu'America. j'ai jamais vu un personne aussi indécis, elle ne sait même pas qui elle aime, pourquoi elle aime, encore moins qui elle veut, elle vogue de l'un a l'autre comme si c'était normal et se plaint de ne plus être la favorite quand elle ne fait strictement rien pour l'être. elle apparaît surtout comme une insupportable capricieuse au final, elle est bien plus intéressante dans ses ambitions politique qu'amoureuse.

La suite de ce Sissi moderne, qui se lit toujours aussi facilement.
Bon, soyons francs, il ne se passe pas grand-chose. Les attaques des renégats se succèdent et se ressemblent, les discussions entre Maxon et America se succèdent et se soldent toujours de la même manière (« Je vous laisse réfléchir, très chère »), les tests entre les concurrentes apportent à peine un peu de piment.

Par-dessus tout, je me demande à quoi bon lire un livre où le suspense est nul, puisqu'on sait d'avance (à moins que l'auteur fasse montre d'une originalité extraordinaire, sait-on jamais), avant même d'ouvrir le livre, qu'America finira princesse ? C'est vrai que le chemin pour y arriver ne manque pas de charme, mais au final, trois tomes entiers pour y parvenir…
Néanmoins, les derniers chapitres apportent un peu de profondeur à ce tome et à l'histoire. Et on en apprend globalement plus sur l'histoire et le fondateur d'Illea.

Un deuxième tome sympathique, dans la lignée du premier : addictif, mais sans grande profondeur.