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Ce roman fait partie de la collection "L'ardeur" des éditions Thierry Magnier, dont le but affiché est de permettre aux adolescents de "Lire, Oser, Fantasmer", selon la présentation. Nous en avons acquis plusieurs pour le CDI, dont celui-ci, que j'ai lu pour me faire une idée de ce que nous proposons à nos lycéens. Premier constat : le public cible est plutôt à partie de 15-16 ans, les plus jeunes n'entreront pas dans ce genre d'histoire à moins d'y être accompagnés. Seconde réflexion : il s'agit, dans le cas de ce roman tout au moins, d'érotisme assez explicite, mais sans vulgarité, les scènes de sexe sont parfois crues, mais pas choquantes, excepté pour un(e) jeune qui ne saurait pas du tout où il (elle) met les ... pieds.

Mina, l'héroïne de l'histoire, se sert plus de ses doigts que de ses orteils, mais pas que. Un certain lapin en peluche lui fera découvrir des contrées inexplorées de son corps, dès sa petite enfance. On suivra ensuite son éveil à la sensualité et à la sexualité jusqu'à un anniversaire mémorable.

Mais le livre ne se résume quand même pas à cet aspect, heureusement parce que sur 400 et quelques pages, ce serait indigeste, même si ces passages émoustilleront sans nul doute les jeunes lecteurs. Les souvenirs érotiques de Mina se déroulent au fur et à mesure d'un voyage, retour vers la maison de sa grand-mère fantasque et adorée, Lune, complice bienveillante à l'époque des "frasques" de Mina lors des étés passés dans les Gorges du Tarn. le point sublime du titre est à double sens, il désigne (aussi) un point de vue bien réel de cette région où Mina et sa grand-mère ont partagé bien de bons moments.

La narration se partage entre le présent, où Nina a 26 ans, elle est réalisatrice et accomplit un dernier voyage en compagnie de Lune, et le passé, lorsqu'à chaque étape elle revit avec émotion des instants marquants de son enfance et son adolescence. Elle évoque sa meilleure amie Audrey, que personnellement j'ai trouvé tout-à-fait détestable, mais bon, je peux concevoir qu'on soit fasciné par ce genre de personnalité provocatrice et assez vulgaire (quoique, il ne faut pas toujours se fier aux apparences !). Ses parents aussi, divorcés, une mère un peu psycho-rigide, un père plus tolérant. On ne s'étend pas trop sur la question. Et puis les garçons bien sûr, pas tous très reluisants, ce qui permet d'aborder la question du consentement et de la réalité du désir, notamment la fameuse "première fois". Plus tard elle en rencontrera d'autres, dans le Tarn justement, et deux d'entre eux en particulier auxquels elle s'attachera et qui lui feront vivre de forts bons moments.

Mais la personne qui va vraiment jouer un rôle majeur dans sa vie, c'est Lune, grand-mère atypique et un peu borderline, avec laquelle la relation connaîtra des hauts mais aussi des bas, notamment quand Lune disparaîtra pendant une longue période, presque sans explication. On connaîtra le fin mot de l'histoire par la suite, ce qui permet d'aborder le thème de la maladie également.

En résumé, un livre plutôt intéressant, et que le public-cible appréciera sans doute, mais qui pour moi a été un peu trop léger, et dont l'écriture m'a parfois un peu agacée. Mais c'est normal, mon (lourd) passé de lectrice frénétique m'offrant trop de point de comparaison, dont certains bien plus sublimes que celui-ci !
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Roman déconseillé au moins de 15 ans… Je confirme…. Il en faut beaucoup pour me déstabiliser mais ici l'auteur y est arrivé après deux chapitres. Désolée mais les séquences Pignou le lapin me laisse un goût particulier.

Manu Causse prend un risque dans la construction, la trame et surtout le portrait de son héroïne Mina. La première partie passée, j'étais en passe d'abandonner mais j'ai poursuivi car je crois en la nouvelle collection de la maison d'édition. Une collection audacieuse qui mérite d'être connue.

Le Point sublime ? Un lieu unique dans le Tarn. Mais aussi le centre névralgique dans la culotte de Mina. Dés le départ le ton est donné. Elle s'interroge sur sa sexualité. Et la seule qui sera un réel réconfort dans sa douloureuse quête, sa grand-mère Lune, fantasque et libérée.

Un roman qui détonne et surprend. L'auteur aborde sans pudeur le sexe, surtout le regard des ados sur l'acte. A travers le parcours initiatique de Mina, Manu Causse alerte. Des séquences choquantes et douloureuses. Des passages très durs. Un estomac retourné. Mina va revenir sur ses belles et mauvaises rencontres. Avant d'ouvrir ce roman atypique, il faut se préparer psychologiquement.

Quelques bémols. Des longueurs qui n'apportent rien. L'auteur aurait pu se concentrer sur la relation particulière Mina/Lune.

Manu Causse se glisse particulièrement bien dans la peau d'une adolescente qui se cherche. Il lui offre un portrait très noble malgré certains choix tendancieux. Une manière douce et originale d'aborder l'amour non conventionnel.

Une lecture qui surprend et reste dans la tête un long moment.
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Zut, je ne l'ai point trouvé sublime ce roman qui examine la vie de Mina enfant, adolescente puis jeune femme. D'âge en âge, elle nous raconte ses cours de danse, le divorce de ses parents, le lycée, les vacances chez sa grand-mère hippie, sa copine vulgaire et obsédée par le sexe, les garçons et les premières fois. Toutes ces préoccupations sont plus focalisées sur le point sublime de la demoiselle, celui qui se trouve "dans sa culotte", que de celui situé dans les gorges (profondes) du Tarn où j'espérais me mettre au vert, le temps d'une lecture. Déception !

Je présume que pour un écrivain il n'est pas aisé de se glisser dans la peau d'une jeune personne du sexe opposé pour explorer son intimité. Certains y arrivent brillamment comme Peter Fromm avec Lucy in the sky.
Manu Cause, lui, ne m'a ni surprise ni séduite avec sa Mina très ordinaire, limite inintéressante, portée par une écriture toute aussi banale. Sa vie d'ado ne propose rien de neuf ni de passionnant. Autant dire qu'à part quelques réflexions pertinentes sur l'amitié, me suis plutôt ennuyée au point d'être tentée de sauter les pages. Heureusement que ces 400 et quelques pages se lisent très facilement sinon je crois bien que j'aurais laissé tomber.
J'ai bien conscience que ce roman n'est pas destiné à un lectorat adulte mais écrit pour des ados (de plus de 15 ans) qui pourront se retrouver dans le personnage de Mina qui montre "ce que c'est de grandir, naître et devenir femme, croire, explorer, aimer, se tromper, recommencer".
Il faut quand même reconnaitre à cette histoire le mérite de parler sans tabou, et même parfois crûment, de l'éveil du désir et de la sexualité dans le but de déculpabiliser les jeunes filles face aux exigences d'une sensualité parfois difficile à assumer. Dans le même genre j'ai largement préféré Clèves de Marie Darrieussecq très glauque mais plus profond et surtout sans aucune prétention érotique.
L'érotisme n'est vraiment pas mon genre favori en littérature or ce n'est pas ce qui manque dans ce roman... Manifestement je ne suis fourvoyée en le sélectionnant lors de la dernière masse critique jeunesse, mais je m'en étais fait une autre idée. Je remercie quand même les éditions Thierry Magnier qui me l'ont envoyé. Et toutes mes excuses à Manu Causse pour ne pas avoir su apprécier totalement son roman. Mais bon, des goûts et des couleurs….
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Une fois encore la 4ème de couverture est trompeuse, j'avais choisi ce livre lors de Masse critique, pour le côté nature, souvenirs d'ado etc... certes j'ai retrouvé ce côté sympa mais pour le reste je n'ai guère adhérer à cette Mina qui passe son temps à se masturber. Il est certain que ce livre cible un lectorat adolescent, et peut convenir parfaitement bien à cette tranche d'âge quoique !
C'est bien dommage car j'avais beaucoup aimé la relation Mina et Lune, leur complicité, les vacances dans le Tarn très jolie région soit dit en passant.
Malgré tout, cette histoire a le mérite d'explorer l'univers de l'éveil de la sexualité, les rapports entre les jeunes sur ce point, les échecs, les blessures mais aussi des belles découvertes.
L'écriture est simple parfois de jolis passages trop peu à mon goût.
Je pense qu'on aurait pu alléger le tout, trop de va et vient entre le passé et le présent, des passages qui n'amènent pas grand-chose au récit. Ça semble parfois un peu décousu.
Pourtant on espère ce fameux retour sur les lieux des étés, ou carrément passer toute l'histoire chez Lune, malheureusement il a fallu pour ça, rester aussi beaucoup de temps à Angers ou au Mans avec Audrey la fameuse copine un peu trop trop trop...et si tellement inintéressante.

Globalement, ce n'est pas ce que ce genre d'histoire à laquelle je m'attendais, cependant j'ai apprécié passer quelques temps dans le Tarn auprès de Lune pour le reste, c'est un peu léger et sans grand intérêt à mon goût . Dommage car si on ôte tout le superflu, qu'on intensifie qu'on creuse cette belle histoire de Lune et Mina et les triangles amoureux etc... il y avait matière à un superbe roman.

Un grand merci aux éditions Thierry Magnier, à Babelio pour cet envoi.
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Le point sublime de Manu Causse est le premier roman de la collection L'ardeur dans lequel je me lance. Cette collection des éditions Thierry Magnier propose des romans sur le thème de la sexualité destinés aux ados. Je ne peux que saluer cette initiative qui permet de briser le tabou autour du sexe chez les jeunes et d'aborder de nombreux sujets essentiels comme le consentement, la protection, le respect de l'autre, le désir et le plaisir.

Le point sublime raconte l'histoire de Mina, 23 ans, en route vers les Granges chez sa grand-mère Lune dans les Gorges du Tarn, un endroit où elle a passé de nombreux étés. Pendant ce voyage, Mina se perd dans ses souvenirs et repense à son enfance et à son adolescence, à sa découverte de la sexualité et du plaisir, aux personnes qui ont été importantes dans sa vie, aux coups durs qu'elle a vécu. Ces flash-backs nous dévoilent le portrait touchant d'une jeune fille qui a souffert et s'est isolée, qui a connu la honte de son corps et d'elle-même et qui est parvenue à s'émanciper et à reprendre goût à la vie.

La sexualité tient bien sûr une part importante dans ce roman. Très jeune, Mina découvre le plaisir en explorant son corps. Puis elle grandit et les expériences s'accumulent, d'abord seule puis avec un partenaire. Des expériences pas toujours positives qui permettent notamment de mettre l'accent sur l'importance du consentement. Mais au-delà de ça, c'est aussi un roman fort d'une belle histoire qui peut parler à tout âge. J'ai particulièrement aimé ce lien si spécial qui unit Mina à sa grand-mère Lune, une femme peu banale, bohème, qui a toujours été pour Mina le symbole de la liberté.

Aux Granges, Mina est libre de vagabonder, de faire des rencontres, elle se sent pleinement vivante. J'ai adoré l'ambiance de ce roman, en particulier dans les dernières parties quand Mina est une presque-adulte, une jeune femme bien dans sa peau et dans ses envies. C'est un personnage très réaliste auquel on peut s'identifier, qui vit une belle évolution.

Le point sublime est un récit initiatique à la saveur de l'été, un été plein de bonheur et de promesses. C'est un roman qui invite à être à l'aise avec son corps et à passer du temps avec ceux qu'on aime. Il m'a été très difficile de quitter cette histoire tant je m'étais attachée à Mina et à ces lieux splendides qu'elle décrit. Car ce roman est aussi une ode aux Gorges du Tarn, un beau portrait d'une magnifique région qui donne envie de la découvrir ou, dans mon cas, d'y retourner. Un coup de coeur.
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Le Point Sublime est un magnifique panorama sur les Gorges du Tarn, en Lozère. Nous y avons passé des vacances en 2021 et j'en garde d'excellents souvenirs. C'est aussi un roman de Manu Causse aux éditions Thierry Magnier Jeunesse dans la collection L'Ardeur. Mina, jeune femme réalisatrice, nous emmène avec elle dans ses souvenirs d'enfance et d'adolescence. Elle en profite pour aborder plusieurs sujets importants de l'adolescence : la sexualité bien évidemment, mais aussi la famille, le divorce des parents, la maladie de sa grand-mère, les choses qu'on cache aux enfants, l'amitié, l'amour.

Le roman contient un grand nombre de scènes de sexe. Au début, elles sont pour moi malaisantes, Mina est une enfant et découvre son corps. Ce sont certes des moments très importants dans la vie d'une femme, mais je ne me sentais pas à l'aise, comme un voyeur. Plus tard dans la vie de Mina, ces scènes sont bien amenées et bien construites. On sent qu'elles ne sont pas là juste pour qu'il y ait un « quota sexe » comme dans n'importe quel roman ou série télé. Ces scènes sont là pour dire quelque chose sur le personnage, elles arrivent à des moments clés de sa vie. Elles sont tantôt troublantes, tantôt émouvantes.

Cela a déjà été dit à de nombreuses reprises à propos de ce roman, j'aurais aimé le lire quelques années plus tôt, même en étant un homme. Il nous apprend beaucoup sur l'adolescence, sur les questions qu'une fille peut se poser à cet âge-là. Je me demande comment l'auteur a réussi à se faufiler dans le corps et la tête d'une ado pour dresser ce portrait, que j'imagine être juste et fidèle (ma chérie me confirmera ça une fois qu'elle l'aura lu !). S'il y a un mot à retenir de cette lecture, c'est finalement la liberté. La liberté de prendre le temps de se découvrir, à l'âge qu'on veut et avec qui on veut. Se libérer de ce que la société veut faire de nous.

Même si la sexualité est au centre de l'histoire, d'autres relations sont touchantes et enrichissantes. Tout d'abord entre Mina et sa grand-mère, Lune. Cette dernière guide la jeune fille et tente de lui enseigner sa vision du monde. Lune est visionnaire, libérée, mais elle sera bien obligée de révéler à Mina les secrets qui la hantent. A travers Lune, on se rend compte qu'on peut vivre autrement. La famille est un pan important de l'histoire, même si j'aurais davantage mis l'accent sur Lune que sur le divorce des parents qui n'apporte pas grand-chose. L'autre principale relation de Mina est celle avec sa meilleure amie, Audrey. Je ne vais pas trop en révéler, encore une fois l'auteur aborde avec justesse le sujet de l'amitié pendant l'adolescence et montre à quel point on peut se laisser influencer par les autres.

Le style et la structure de l'intrigue ne sont pas en reste. le point sublime n'est pas juste un roman pour ados. L'alternance entre présent et passé est bien pensée, on se balade dans les souvenirs de Mina à ses côtés. le style est tout à fait adapté, à la fois abordable, poétique par moments, cru quand il le faut.

En conclusion, le Point Sublime est un très beau roman sur un thème complexe à aborder, la sexualité pendant l'adolescence. Mais pas que ! Je dirais plutôt que c'est un roman sur l'adolescence en général et sur toutes les questions qu'on peut se poser à cet âge-là. Savoir se connaitre et s'accepter tel qu'on est. Cette lecture fut pour moi l'occasion de remonter une quinzaine d'années dans le passé et de m'interroger sur certaines situations. A mettre dans toutes les mains.
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Une copine me l'a mis dans les mains et...
Pourquoi
On
N'avait
Pas
Ca
A
L'époque ?
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Lors d'un trajet en voiture à travers la France, Mina se remémore ses étés dans les Granges chez sa grand-mère, synonymes de liberté.
*
J'avoue qu'au début je l'ai lu pour le plaisir de la lecture érotique, avant de découvrir toute une intrigue passionnante derrière : si la découverte du plaisir féminin est au coeur du roman, on découvre aux côtés de Mina, ce que signifie grandir, voir ses parents se séparer, vivre des amitiés aussi fusionnelles que destructrices. Comment on se construit en tant qu'adulte, en tant que femme. Bref, tout ce que j'aurais aimé lire à 12, 14, 16 ans, quand je me gavais de « Coeur grenadine » et « Toi + moi » (Yup.)
*
Bonus : une structure narrative super intéressante, un nombre incalculable de mentions du clitoris, une forte tendance à te faire lire jusque tard dans la nuit.
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Bref, c'est top et c'est chaud !
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Je pense qu'il y aurait une formulation exacte pour décrire ce livre : il est parfait. La collection L'Ardeur a une fois de plus comblé toutes mes attentes (qui étaient déjà bien bien hautes, vu le coup de coeur que j'ai eu pour le Goût du Baiser, leur première parution).

On ne va pas y aller par quatre chemins : ce roman me donne carrément envie d'aller me promener dans les gorges du Tarn, d'y rentrer Kas et Melchior, mais aussi Lune et Mina, ainsi que leurs charmants voisins hollandais. Pour l'évasion, cette histoire fait du bien.

Je crois que c'est facile de s'identifier à Mina. Elle a des fantasmes plein la tête, des histoires dans les veines. C'est facile, parce que ce sont des fantasmes que nous connaissons, qui viennent rapidement quand on se perd trop longtemps dans sa tête.

J'ai aussi beaucoup apprécié ce balancement régulier dans le roman : le pèlerinage de Mina au présent, entremêlé de ses souvenirs, beaux comme terribles. On ne va pas se mentir : c'est un merveilleux roman. Un roman sur la découverte de soi, avant la découverte de l'autre. La découverte de son corps, de son plaisir et de ses fantasmes. Oui, vraiment, c'est un voyage merveilleux à entreprendre avec Manu Causse.
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Un titre incontournable d'une collection absolument indispensable. Ce roman est parfait pour l'été, il parle de vacances, d'émoi adolescentes, de construction de soi, de famille, d'amour, de liberté, et de tellement de thématiques importantes, et de façon si belle et si décomplexée !!! Tellement heureuse d'avoir pu passer ce moment avec ces personnages. Mon moi adolescente aurait tellement aimé lire ce genre de romans ! Mais laissez lire les ados ! Laissez-les lire ce qu'ils veulent !
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Quand on sait à quoi s'attendre, ce livre est littéralement sublime.
Non, on ne partira pas se mettre a vert dans les gorges du Tarn, bien au contraire.
Ce livre nous raconte une jeune fille, entrain de devenir une femme, ses épanouissements, ses désirs, ses problèmes et ses désillusions.
Très peu de livres même en valeur la femme, le sexe comme celui là, tout en rendant le sujet décomplexant.
Chaque jeune femme se retrouve un peu en Mina que ce soit pour sa famille, ses amis, ses aventures ou ses rêves. Ce livre figure dans mes lectures préférées de 2021.
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