Lux

Je vais tout d'abord m'excuser pour ma critique auprès des inconditionnels de Maxime Chattam, mais vraiment, je n'ai pas accroché du tout à ce roman. Déjà le style, d'une pauvreté incroyable. Je ne comprends même pas qu'un éditeur puisse accepter de publier cela. Sans parler du scénario et des platitudes qui nous sont régulièrement servies. Il semble que Maxime Chattam ai voulu utiliser tous les sujets d'actualité et les et saupoudrer tout au long du roman. Ne serait-ce par exemple qu'au début, où on apprend que la fille de Zoéétait en fait son fils au début (je vous laisse imaginer l'incroyable subtilité ; une transformation !). Pourquoi pas, mais il faut que ça amène quelque chose à l'histoire, sinon, cela veut dire que c'est "posé" ici pour répondre aux injonctions de notre époque. Là, j'ai l'impression que c'est ici juste pour remplir quelques pages sur ce sujet et nous servir qu e"c'est dur d'être accepté, etc... etc...), et ensuite, on en parle plus. On va avoir tout au long du roman les mêmes banalités sur le réchauffement climatique, sur les Américains qui mangent trop et dont la race va dépérir à cause de cela (quel manichéisme), sur les méchants russes qui espionnent car ils se sentent exclus. Sans parler des explications tout au long, prétexte à remplir encore quelques pages pour nous détailler par exemple la tectonique.
J'ai craqué page 119 et j'avoue avoir déjà eu du mal à arriver jusqu'à cette page. Et pour expliquer ma colère vis-à-vis de ce genre de texte, je décris la scène où Zoé (la maman de Romy quia 20 ans) sont dans un restaurant. Avant cela, elles nous ont été décrites comme ayant une relation correcte et respectueuse. Et tout à coup, Romy demande à sa mère :
- Et toi tu veux trouver le grand amour ?
Zoé lève sa bière vers sa fille et répond
- Non, ma fille, juste boire et baiser.
J'ai trouvé cela tellement ridicule. Qui parle ainsi à ses enfants avec la relation qui a été décrite avant ? Pourquoi pas si nous avions été dans une famille décrite comme ayant des relations irrespectueuses, et parlant vulgairement (il y en a des familles comme cela). Mais là, c'est trop hors contexte, on ne dit pas cela à ses enfants quand on a des relations comme l'auteur le fait avant d'en arriver à cet échange ridicule.
Et j'ai trouvé que la suite est du même acabit. J'ai continué en diagonal pour essayer de me faire une idée sur l'histoire ; 505 pages aussi mauvaises que cela c'est trop long, trop de temps perdu. J'ai fait des arrêts pour lire des passages complets, et franchement, le style est quand même déplorable.
Seule satisfaction pour moi ; c'est un livre qu'on m'a prêté et que je n'ai pas acheté. Cela m'aurait fait mal au ventre de mettre 23€ là-dedans. Maxime Chattam fait la morale sur l'écologie à travers son roman, on aurait pu économiser du papier en n'éditant pas ce roman 😊.
Encore toutes mes excuses à celles et ceux qui ont apprécié ce roman, je leur témoigne tout mon respect bien sûr, car cela fait partie de la richesse des lectrices et lecteurs d'aimer ou ne pas aimer un roman. J'ai moi-même apprécié des romans que d'autres ont trouvé déplorables, et je comprends donc que l'on puisse aimer Lux.
Mais je dois être honnête et dire que je l'ai trouvé en-dessous de tout.
J'avais lu " La promesse des ténèbres" que j'avais bien aimé, mais je ne relirais plus de Maxime Chattam, c'est certain (peut-être que les auteurs connus devraient-ils passer un peu plus de temps à relire leurs écrits au lieu (j'imagine) de répondre à une pression pour sortir régulièrement des romans (simple supposition).

J'ai été hyper déçu par ce livre. J'avais entendu Maxime Chattam parler de son livre en citant René Barjavel dont un extrait du grand secret est présent en début d'ouvrage. Je me suis dit que c'était une belle perspective et je me faisais une joie de lire Lux qui n'est pas vraiment dans le style polars noir auquel nous a habitué l'auteur.
Et puis, je suis tombé de haut. Il n'y a rien de Barjavel. Après un début très venteux, il ne se passe pas grand-chose. Il y a des romances à l'eau de rose style arlequin sans intérêt, un espion russe en sommeil qui aurait bien fait d'y rester, un chien sauveur, des intrigues grossières tissées de fil blanc. L'auteur s'escrime à écrire des chapitres vides de sens pour finir par la petite phrase qui est sensée faire remonter un encéphalogramme quasi plat. L'intrigue avec cette grosse sphère qui flotte dans l'air n'a ni queue ni tête. En fait ce livre est une arnaque.
Vite on passe à autre chose. Si je relisais le grand secret !

Prenez un gros melon, ajoutez-y de la condescendance, un (très gros) zeste de sauce militante LGBTQIA2S+ pour l'image, saupoudrez de répliques faussement "jeunes" et mélangez avec le néant absolu : vous obtiendrez un "livre" moralisateur qui n'a pas plus de valeur qu'un rouleau de papier toilette.

Personne ne peut expliquer ce qu'elle est, ni d'où elle vient. Dans un monde futur, où semblent se déchaîner des tempêtes, la vie d'un petit groupe de chercheurs, et surtout celle d'une femme et de sa fille, va être bouleversée.

Difficile de me lancer dans cette chronique, tant j'ai des choses à dire.
J'ai été happée par les premières lignes de l'histoire et je pensais que le reste du roman en serait ainsi. Ce ne fut absolument pas le cas.

Chattam change de registre… oui et non. Certes, il ne s'agit pas d'un thriller, mais l'auteur n'écrit pas que des thrillers. La série Autre-Monde (totalement géniale par ailleurs) ou encore le coma des mortels, sont des oeuvres totalement différentes de ses thrillers telle que la trilogie du Mal. Aussi, concernant la romance, il n'est pas rare de trouver quelques notes d'amour dans ses thrillers.
Mais passons, Chattam veut s'essayer apparemment au roman d'anticipation et à la science-fiction. Malheureusement, je n'ai pas du tout retrouvé l'ambiance que j'aime tant dans ce genre de romans. Pas d'angoisse, pas de questionnement quant à ce nouveau monde. Idem concernant cette société future qui finalement est totalement similaire à la nôtre, où les changements climatiques n'ont pas l'air d'affecter plus que ça la société ou les gouvernements.

Parlons désormais de l'histoire. C'est creux. Plat. Les personnages sont caricaturaux, je ne me suis pas attachée à eux.
Il ne se passe rien. J'ai vraiment eu du mal à continuer ce roman, tant je m'ennuyais.
Dans Lux, Chattam se place en défenseur de toutes les causes et donc reste en surface de chacune d'elles. On peut donc lire des banalités, des phrases qui m'ont fait lever les yeux à plusieurs reprises « Qu'ils restent sur X, TikTok, Insta et autres merdes parallèles à la vraie vie s'ils refusent d'intégrer que la réalité est plus subtile que ça, et qu'elle a parfois besoin de nuance ».
En parlant de nuance et de subtilité, je trouve justement que Chattam n'y est pas, et j'ai trouvé certains passages vulgaires.

En bref, une déception TOTALE.

Alors que dire de ce dernier Chattam…..
Je n'ai vraiment rien de positif pour ma part à dire
Histoire complètement rocambolesque dès le départ
Beaucoup trop de personnages on s'y perd, la mère et sa fille plus le chien qui part à l'aventure pour limite sauver le monde….
Un poil too much pour moi
Pas fini

« Zoé et sa fille usèrent de ce temps pour découvrir la salle de projection, un vaste cinéma, l'espace Pixel et ses tables de jeux et bornes d'arcade, les différentes salles de sport et les promenades sur le pont principal … sans oublier sûrement une piscine à débordement, le stand de marrons glacés à venir, une fête foraine, des girafes, des … stop !!!!. » Tandis que moi, je m'usais totalement à la 221e page, soit à la moitié du dernier roman de Maxime Chattam; auteur que je n'avais jamais lu, mais dont les ventes record m'avaient convaincu de passer des soirées passionnantes à chaque chapitre. Cela avait d'ailleurs plutôt bien commencé. Les personnages, pas trop nombreux étaient bien dessinés, notamment celui de la fille de Zoé qui proposait une approche à la fois actuelle et innovante… jusqu'à ce que tout ce petit « innombrable monde exponentiel » se retrouve dans un lieu ultra chargé d'une décoration invraisemblable et indigeste qui vient hélas saccager une crédibilité ou du moins une projection pourtant prometteuse.
Vraiment dommage, car j'aurais peut-être voulu savoir ce que les protagonistes avaient finalement pu découvrir, mais étant donné le contexte, la structure de l'ouvrage, cela m'a coupé l'envie. Ce roman est un peu comme une pizza « Star ». Sur la carte, elle semble parfaite, délicieuse, irrésistible, alors qu'en réalité, le pizzaiolo, engourdi par le succès de son entreprise, a soudainement eu la main abstraite et lourde sur les ingrédients, avec une profusion d'anchois, de thon, de viande kebab et de coulis de framboise. Une pizza témoin d'un bug, d'un burn-out. Une pizza à 22,90 € qui en donne trop et que l'on n'ose pas recracher.
Pourtant, c'est ce que j'ai courageusement osé faire hier soir à 22 h 04. En réalité, j'ajouterai les restes dans une boîte à lire, et je suis sûr qu'il trouvera très vite un amateur de Donuts aux chips.
Pour moi, c'est terminé les romans ! J'crois que je vais continuer dans les témoignages, les documents, les essais ou la biographie de Britney Spears. Ça ne peut pas être pire que le fait d'avoir voulu l'acheter.
Finalement, je regrette ma critique facile sur la bio de Thomas Pesquet que j'avais rêvé de prendre pour un écrivain héroïque, visionnaire et torturé. C'est juste un héros pour de vrai, au même titre que Maxime semble juste être un écrivain… pour doggy-bag.

L U X
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J'irai droit au but : c'est malheureusement un abandon pour moi. J'ai lutté, et fini par décrocher au chapitre 19 (au bout d'environ 160 pages). Si j'ai trouvé le prologue extrêmement prenant, avec ce monde apocalyptique terrifiant, cette tempête de grade 4 qui détruit tout sur son chemin, j'ai lutté dès la première partie.
En effet, certains points m'ont gênée. J'ai par exemple trouvé l'auteur trop engagé à certains moments (que ce soit politique, sur l'écologie ou l'inclusion), puis c'est devenu assez lourd, je peinais à avancer, à m'impliquer autant qu'au début de l'histoire. J'aime la science fiction, mais à petite dose, et là, je pense que c'est parti trop loin pour moi. Quand je lisais, je me disais que j'aimais sans aimer, et finalement j'ai décroché. Je n'ai lu qu'un autre livre de cet auteur (Le Signal), que j'avais bien aimé, je retenterai donc très probablement avec un autre livre, mais en ce qui concerne Lux, ça n'a pas pris, et c'est pas grave ! Au suivant !
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À travers "Lux", Maxime Chattam a voulu changer de genre littéraire, rendant son ouvrage accessible pour tout public. Il s'est principalement penché vers la science-fiction et le politiquement correct en évoquant des dangers auxquels une mère et sa fille vont faire face, notamment une tempête qui ne cesse d'évoluer de stade au fil des heures, de plus en plus grave. La survie est le maître-mot face à la BIG ONE ECO qui ne cesse de monter en grade. Autrement dit, un danger qui s'annonce de plus en plus violent et davantage mortel. Question du réchauffement climatique ?
Malgré le danger climatique, chacun essaie de vivre ses rêves et de vivre le plus normalement possible comme Zoé qui écrit des romans ou encore Romy qui brave le danger via l'exploration urbaine (urbex).

Jusque-là, le résumé est saisissant et nous pousse à lire le livre mais il faut se méfier des apparences, car le contenu du récit est tout autre. Dès les premières pages, c'est une chute de plusieurs étages qu'on fait. le résumé n'a rien à voir avec le corps du livre.
Rapidement, j'ai été perdue dans la lecture du livre. J'ai forcé en lisant environ quatre-vingt pages mais en voyant que l'intrigue n'avait aucune logique et que tout se mélangeait, j'ai décidé à contre-coeur d'abandonner sa lecture, ce qui ne m'est jamais arrivé, car je déteste laisser quelque chose en plan sans le terminer. Sauf que quand ça ne veut pas, ça ne veut pas…
De plus, les sujets se succèdent comme si on faisait un premier jet de nos pensées. "Lux" est le pire roman de Maxime Chattam à mon sens, du moins selon mon opinion. Il donne l'impression d'avoir été bâclé. Vous êtes libre de l'avoir aimé ou non. Vous êtes également libre de vous faire votre propre avis. Mon avis ne doit pas vous influencer !

0½* Prémisse originale et intéressante, qui aurait pu nous amener sur diverses manières de traiter un événement inattendu, mais l'auteur se limite à broder une histoire sans originalité autour des personnages principaux caricaturaux, dont on peut anticiper les réactions. Contrairement à son héroïne, cet auteur ne comprend pas grand chose à la psychologie humaine. Les personnages et l'histoire atteignent un tel niveau de mièvrerie que l'on peut ressentir de la nausée. J'ai du sauter des bouts, surtout vers la fin, tellement c'était ridicule. Sérieusement, j'étais gênée pour l'auteur tellement les personnages se comportent comme des extraterrestres. du genre que des gens, tentant de se sauver d'une tornade 5 s'invitent mutuellement à passer devant ou en profitent pour se faire des déclarations d'amour. Un grand nombre de livres jeunesses présentent des personnages et histoire plus recherchés et complexes. J'ai apprécié le fait de ne pas avoir d'explication à la fin (évitant peut-être une énième description niaise d'un phénomène complexe).

La lecture d'un nouveau Chattam est de plus en plus décevante. Il n'y a plus d'intrigue si elles sont copiées chez les autres auteurs, ou scénarios de films. Après avoir fait son Stephen King, là, on se retrouve avec un mélange de Indépendance Day, le jour d'après, et autres films catastrophe. Je suis désolé, je n'adhère plus à cet auteur. Faite une pause et revenez en meilleure forme.