AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,37

sur 781 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je commence la lecture de ce livre, où l'on apprend dès le début que Maxime Chattam s'est soumis à l'activisme LGBTQblabla++ pour être dans dans le vent.
J'espère de tout coeur qu'on y trouvera un réel intérêt dans l'histoire, autre que la traditionnelle victimisation. Et quand je lis la page 62, c'est mal parti.



Commenter  J’apprécie          234
e hasard a fait que ce livre paraisse en même temps que deux autres ouvrages avec lesquels il partage quelques thématiques, savoir  le Ministère du Futur de Kim Stanley Robinson et  de Bien heureux soit notre monde, de Jacques Attali  ;il s'agit en effet dans les trois cas d'anticipations à court terme, où l'intrigue est plus ou moins liée au changement climatique. Rien d'étonnant à cela d'ailleurs, le sujet est dans l'air du temps..
Il convien de préciser que l'ouvrage d'Attali est très nettement, et c'est une litote, supérieur à tout point de vue aux deux autresAh, Maxime Chattam ! J'ai une relation compliquée avec ces livres; j'ai commencé avec son premier, le Cinquième Règne, lors de sa parution en 2003, attiré par une quatrième de couverture mensongère, qui laissait espérer une variation sur le thème du Ça de Stephen King;
Et de fait c'était bien ça, c'est le cas de le dire, en précisant toutefois qu'il était au livre du King ce qu'un pavillon neuf avec deux fenêtres à la Mansart est au château de Versailles. Non seulement je ne l'ai pas terminé, mais je l'ai jeté à la corbeille, ce qui ne m'arrive pratiquement jamais, ayant un certain respect pour la chose imprimée. J'aurais donc dû arrêter là; et pourtant j'ai lu quelques-un de ses autres ouvrages, à nouveau attiré par les thèmes traités,; car il a de l'imagination, il faut le lui reconnaître, il a de bonnes idées, mais pour les développer, hélas....
J'ai même d'ailleurs chroniqué un ici, peut-être le Signal", là aussi un pitch faisant penser au grand Stephen,et puis...
D'ailleurs peut-être suis-un peu injuste avec lui en raison de la manie de certains de le qualifier de Stephen King français, parrainage écrasant. Ces comparaisons abusives nuisent aux deux auteurs et aux lecteurs.
Et donc pour Lux...le produit était attirant, l'auteur s'aventurait dans le domaine de la SF, cela donnait envie d'aller voir, peut-être y réussirait-il mieux.
Effectivement c'est de la science-fiction. Dans un futur proche où le réchauffement climatique s'est poursuivi et où le monde est ravagé par des ouragans énormes, un corps étranger apparait dans le ciel, au dessus de l'Atlantique. Une commission d'enquête internationale est chargée de l'étudier et d'en déterminer si possible la nature et l'origine. Outre les scientifiques, elle intègre des "représentants de la société civile", comme on dit, qui forment des sortes d'assemblées citoyennes (hélas cette pratique semble toujours sévir dans le futur)
Et l'histoire s'articule autour de certains d'entre eux, trois principalement, de leurs aventures, amours, théories, imaginations et supputations et de celles de leurs collègues.
Les hypothèses les plus diverses sont envisagées, du vaisseau extra-terrestre à la manifestation de Gaïa, courroucée par l'humanité, en passant par Dieu lui-même (par parenthèse, je n'ai personnellement pas du tout apprécié la présentation caricaturale qui est fait d'une chrétienne convaincue, présentée comme une folle et une hystérique)
Je ne dévoilerai évidemment pas la fin, qui est amenée par l'auteur-narrateur, prenant la parole pour s'adresser directement au lecteur, dans la tradition des romans du XVIIIème siècle, ce qui n'est ps une mauvaise idée; le dénouement lui-même cependant, outre son caractère abracadabrant, transgresse l'une des règles fondamentales du roman à suspense; mas je n'en dirai pas plus, de crainte d'en transgresser une moi-même
Alors qu'en penser? Sur le fonds, je dos reconnaitre que l'auteur a fait un effort de renouvellement et ne se débrouille pas si mal, évidemment on a droit à quelques stéréotypes, tels que le méchant (forcément méchant) Russe, l'adolescence révoltée, et LGBT, comme il se doit d'après le nouveau cahier des charges dse oeuvres de fiction, les politiciens incompétents, etc, Par ailleurs l'auteur ne s'est pas suffisamment affranchi de son bric à brac New Age habituel,
Mais dans l'ensemble le résultat n'est pas si mal, en tout cas mieux que d'habitude, d'où ma note, relativement indulgente, en tenant compte en outre que je crois pas que l'auteur connaisse très bien la SF, puisque le seul auteur auquel il se réfère est le pauvre Barjavel, dont il cite la Nuit des Temps, son plus mauvais livre avec le grand Secret (dans l'ensemble ll vaut mieux éviter les Barjavel d'après guerre)
Ah, encore un reproche tout de même, le style très relâché, et parfois à la limite de la faute de français
Commenter  J’apprécie          228
Avant toute chose, je savais que Lux serait très différent donc je m'attendais à un Chattam qui allait sortir des sentiers battus.
Et c'est peu de le dire.

Pour ma part, l'appréciation est en deux temps, une première partie introductive où nous faisons la connaissance des personnages, Simon et son fils Pierre, Zoé ainsi que sa fille Romy.
Des personnages qui vivent à une autre époque que la nôtre, une vision sur un futur dans lequel la nature décrète de reprendre ce qui lui appartient et d'en découdre pour tout le mal qu'on lui a fait.
Des protagonistes plutôt plats, caricaturaux et presque chiants avec lesquels la connexion fut inexistante pour ma part.

Puis arrive une seconde partie.
Le thème principal était pourtant hyper intéressant et prometteur, un roman d'anticipation où il est question que le monde dans lequel nous vivons va devoir faire face à des catastrophes météorologiques dévastatrices allant de mal en pis.
Jusqu'à ce que l'équipage d'un bateau remarque dans le ciel au dessus du pacifique une énorme sphère très lumineuse, personne ne sait à quoi s'en tenir, de quoi il s'agit et tout va être mis en oeuvre pour comprendre à quoi nous avons affaire.
Et c'est là que pour moi, tout devient presque indigeste, des prises de position nébuleuses de la part de l'auteur et un politiquement correct assez surprenant parfois même, sur un ton plutôt moralisateur.
Et puis, sans divulgâcher, je trouve que le réalisme des idées, des solutions est complètement utopique en lien avec un débat qui lui est pourtant ancré dans notre réalité.
Enfin, je trouve que la cause défendue dans ce roman est très globalement et simplement effleurée au profit d'un discours punitif.

La plume de Chattam reste la plume de Chattam, mais je ne peux pas me contenter de cent pages palpitantes sur un livre qui en compte cinq fois plus.
Deux options s'offrent à nous pour la fin, une fin qui te laisse sur ta faim ou une fin qui te laisse complètement dubitatif avec du “tout ça pour ça???!!!”.
J'achève ce livre sur une très grande déception.
Pourtant je n'avais aucune attente, au moins celle d'être un miminum immergée, même pas.
Commenter  J’apprécie          100
Ah mais non, mais non mais non !!! Pourquoi je ne retrouve pas l'ambiance thriller, le palpitant, l'envie de tourner les pages que promettent souvent les romans de Maxime Chattam ?
"Lux" est une déception pour moi.
Le centre du récit est une énigme qui très vite laisse place à 2 hypothèses pour la suite du récit : Soit l'auteur vire sur le fantastique ou soit on est dans le complot... et l'une comme l'autre je suis pleine d'optimisme car "Signal" et "Les Arcanes du Chaos" en sont 2 parfaits exemples !
Oui...mais...non ! Quel ennui cette lecture. Pas une seule fois j'ai eu l'impression d'être dans un thriller. En fait je me suis même surprise à me demander si ce n'est pas Guillaume Musso qui en avait été l'auteur. Car s'il n'est pas connu pour du thriller, il est doué pour des romans à l'intrigue légère avec de l'émotion amoureuse qui se lit facilement. Là j'aurai dit "Ok" cela répond à la promesse. Mais pas pour Maxime Chattam. Si je lis Chattam, je veux lire du palpitant, de l'angoisse, de l'intrigue cousu main, avec de la finesse etc....
J'ai eu l'impression que ce récit existait surtout pour parler des catastrophes écologiques, des conséquences du réchauffement climatique, de la surconsommation, du sens de la vie pour la bobo attitude, etc... au détriment de la structure d'un bon thriller. Tous ces sujets bien mélangés dans une recette insipide saupoudrée, pour être dans le mood, du thème des minorités et notamment les LGBTQ++ avec Romy, personnage principal qui tombe amoureuse. Situation qui n'apporte rien à l'intrigue puisque à part victimiser ce fait en parlant de son passé - qui n'a aucun rapport avec notre intrigue - jamais je n'ai imaginé Romy autrement que jeune femme. Bref sa transexualité restera un détail pour moi dans cette "intrigue".
Pourtant l'histoire partait bien avec une tempête qui annoncait un récit d'anticipation anxiogène.
Mais très vite c'est une suite de présentation des personnages et d'une situation sans actions où les questions tournent en rond... Bref, il ne se passe pas grand chose.
Et enfin tout ce dénouement m'a paru superficiel, peu crédible et pourtant y a de la matière, mais cela ne m'a pas atteint.
Même la façon dont est traité la fin et la solution à cette énigme est surprenante : c'est un peu genre : "Je pose cela là..."
Bref une construction du récit qui ne m'a pas embarquée malgré des idées intéressantes.
Commenter  J’apprécie          90
Nouveau changement de style pour Maxime Chattam qui laisse en suspens les tueurs en série et les hommages à Stephen King pour s'intéresser à un futur possible ou les états seraient au bord de l'effondrement et ou les effets du changement climatique n'ont fait que s'accentuer, plongeant le monde dans le chaos.
Le premier tiers de l'ouvrage se présente plus comme une étude psychosociologique que comme un thriller science fictionnel. L'auteur cède tristement au diktat de la bienséance wokiste et s'emploie à cocher toutes les cases du politiquement correcte pour contenter un large lectorat. Une mise en place banale et plutôt insipide qui manque de rythme et de consistance. Si Maxime Chattam aborde quelques idées de réflexion aussi intéressantes que pertinentes, il ne fait qu'esquisser les sujets évoqués sans en approfondir ni les causes ni les alternatives conjecturales. L'aperçu des métiers d'écrivain et de sociologue, ainsi que l'approche de l'Urbex, est en revanche plutôt instructif sans pour autant être signifiant pour l'intrigue.
Avec l'apparition de « Sphère » le récit bascule résolument dans l'anticipation plus proche au demeurant d'Arthur C. Clarke et de Rendez-vous avec Rama que de René Barjavel. Les personnages évoluent, tout au long d'une intrigue baignée de catastrophes et de désillusions, entre manichéisme, délire criminel et duplicité. Beaucoup de tergiversations, de situations vides de sens, d'exposés scientifiques discutables et d'analyses psychologiques stériles au dépend de l'action et d'un suspense soutenu. L'esprit inventif semble présentement faire défaut à l'auteur car l'avenir qu'il dépeint dans Lux s'apparente pour beaucoup à notre présent. En dépit de la survenance d'un événement aussi extraordinaire que mystérieux, à la frontière du surnaturel, il ne se passe pratiquement rien de notable ni de captivant. le collège d'experts réunis pour décrypter le mystère se contente de tourner en rond, d'entamer des romances incertaines et de dissimuler le peu d'information dont ils disposent. Dans les derniers chapitres le récit s'emballe enfin, l'action part en tous sens mais sans convaincre ni d'autre part expliquer les agissements destructeurs de certains. le final qui se veut ouvert, avant le dévoilement d'un chapitre confidentiel peu crédible, laisse perplexe et désappointé.
Ce n'est pas un mauvais roman, l'histoire n'est pas inintéressante mais l'ensemble reste trop lisse, trop superficiel, peu probant et sans originalité. Après une parenthèse horrifique et un retour positif au thriller, cette incursion dans la science-fiction n'est pas à la hauteur de l'expertise de l'auteur.



Commenter  J’apprécie          70
Après l'excellent La constance du prédateur, je me suis dis «  Ça y est le Grand Chattam de la trilogie du Mal est de retour !
Mais après avoir lu plusieurs avis négatifs du genre « donneur de leçons sur l'écologie », « ennui et long » bref je sens que ça va être ma première déception de l'année mais je suis curieuse, je veux me faire mon propre avis !
Lux, c'est à dire la Lumière, le contraire des ténèbres ? Donc si le sujet est l'écologie, ça veut vouloir dire que l'auteur est optimiste et sent que l'humain va modifier ses habitudes de consommation pour un monde meilleur demain ?
Voyons ça !

Ça démarre dans un monde avec une tempête de grade 4, c'est à dire proche de l'apocalypse qui est le grade 5. Zoé s'enferme dans la maison de ses rêves qu'elle a put acquérir grâce à l'assurance vie de feu son mari.
Et puis on va découvrir d'autres personnages pour s'embarquer dans une sacré aventure, ça m'a fait penser à un film catastrophe, des gentils, des méchants, est ce qu'il y a un chien ? Oui oui, il y a un chien !
C'est lisse, c'est plat et c'est long ! Très long ! Beaucoup de blabla, extrait :

« Sphère était aussi éclatante qu'en plein jour, un titanesque projecteur braqué sur eux, répandant sa clarté sur des dizaines, probablement des centaines de kilomètres, et pourtant elle n'était rien face à la certitude glacée du cosmos qui enrobait la face du monde en cette heure. Une impériosité originelle qui ne se révélait que du crépuscule à l'aube, mais ne souffrait aucune contradiction, pas même celle d'une chose dont nul ne pouvait expliquer ce qu'elle était. »

On se demande si l'auteur a écrit ce livre façon « Jules Verne » pour ses lecteurs, son père ou pour ses enfants ? C'est certain que l'auteur cherche à se renouveler, il prend des risques. J'espère le retrouver, je ne pense pas être la seule dans une aventure très noire pour le prochain !
Et puis les théories fumeuses sur la fréquence des hertzs, des ondes, des propos plus ou moins philosophiques sur la vie, quel ennui ! J'aime apprendre des choses quand je lis mais il faut que ce soit intéressant.

Et puis il parle d'un futur qui existe déjà, extrait :

« Sur ceux qui se mettent en couple, la plupart n'ont pas d'enfants par choix. Ils ne veulent plus mettre des gamins au monde dans ce contexte. Ils ont perdu l'espoir, la foi. Et ceux qui en veulent galèrent comme jamais, la faute à une hygiène de vie aberrante : malbouffe, saloperies toxiques dans ce qu'on ingère, absence d'activités sportives, obésité, etc. »

Donc il n'a rien inventer, grosse déception !
Commenter  J’apprécie          60
Une boule de lumière est apparue au dessus de l'océan Pacifique.
D'où vient-elle ? pourquoi ne bouge est-elle pas ?
La seule chose que les scientifiques savent c'est qu'elle émet des ondes.
Aussi les pays du monde décident d'envoyer des citoyens de toutes origines ethniques et d'horizons intellectuels différents sur Sphère.
Mais n'est-il déjà pas trop tard,la planète a déjà subi beaucoup de changements climatiques ?

🌲 J'appréhendai beaucoup ce livre au vu des avis mitigé donc j'ai choisi de l'écouter et non de le lire et heureusement car je pense que je l'aurai abandonné.
L'auteur arrive dans la première partie à m'emporter dans son histoire.
Les sujets sont intéressants et malheureusement d'actualité, souvent j'ai même l'impression d'assister à l'une des nombreuses discussions que j'ai avec mon fils sur ces divers sujets.
Deux générations deux idéologies tout comme dans le livre mais les mêmes inquiétudes.
Cependant je perds pied dans la seconde partie, cette partie beaucoup trop imaginée, trop irréelle pour moi.
Cependant étant fan de l'auteur je décide de poursuivre afin de ne pas regretter.
Résultat un bilan vraiment décevant,je sais que c'est mon premier roman de l'auteur auquel je n'adhère pas, j'espère que ce sera le dernier.
Autant j'avais beaucoup aimé Autre monde, cette saga fantastique mais là c'est vraiment trop, trop de tout.
J'ai envie de retenir de ce livre une envie de l'auteur de nous interpeler sur ces sujets,de penser à nos actions pour donner un meilleur avenir à nos enfants.
Commenter  J’apprécie          60
Dès le début j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Déjà par le futur dépeint par Chattam, pessimiste au possible et donneur de leçons donné par un personnage insupportable, Romy la fille de Zoé, le perso principal. Zoé est passive et indécise au possible, on peut même dire qu'elle ne sert pas à grand-chose. Quant à sa fille Romy, elle ne sert qu'à foutre le bordel avec ses mauvaises décisions
Romy est LA donneuse de leçons du roman, et ce sur tout les sujets : l'écologie, la cause lgbt+, la politique, et les jeunes ont raison et les vieux ont tort parce qu'ils sont vieux. C'est insupportable. Perso je lis un roman pour passer un bon moment, pas pour me prendre une claque que je n'ai pas demandée par l'un des auteurs français les plus beauf du moment
Quant à l'histoire en soi, c'est un roman d'anticipation, légèrement SF. Ça traine en longueur, ça n'avance pas. Icon ne sert a rien, et n'a même pas lieu d'être. Les 100 dernières pages s'énervent et c'est là que la grosse incohérence fait jour
Bref, je vais arrêter les frais, vous aurez compris que j'ai détesté
Commenter  J’apprécie          65
Abandon pour moi.

Pourquoi ?

Je n'ai pas réussi à rentrer dedans après avoir lu plus d'un bon tiers du livre. le début du roman traîne vraiment en longueur sans savoir où l'auteur veut nous mener. Les informations étaient pour moi parfois inutiles et je n'y trouvais aucun intérêt pour la suite du roman.

Beaucoup de clichés, beaucoup d'informations qui ne sont pas traités en profondeur et qui ne m'ont pas donné envie de poursuivre ma lecture. L'auteur s'est attardé sur des détails sans importance à mon sens, mais n'a pas creuser d'autres détails qui aurait pu en faire un roman engagé et de ce fait me donner envie de finir.

Ce n'est pas grave, ça arrive les flop lecture :).

Encore une fois, cet avis n'est le reflet que de ma lecture. Ce n'est pas une vérité générale. Je suis certaine que ce roman peut trouver son public :).
Commenter  J’apprécie          60
Je ne suis pas particulièrement amateur de SF ou de romans d'anticipation, mais puisqu'il s'agit du nouveau « Maxime Chattam », je me suis lancé. Je vais être honnête, je me suis ennuyé et le fait de me rendre à la dernière page, fut une tannée.
Les points forts :
-Une vision pessimiste mais hélas réaliste de notre futur proche contrastant avec une vision optimiste quant à l'évolution des mentalité et de l'acceptation des différences ;
-Un style et une plume qui s'affine avec le temps ;
Les points faibles :
-Des protagonistes stéréotypés ;
-Un rythme inégal
-Une intrigue convenue malgré une approche atypique ;
-Une histoire souvent conceptuelle dont le dénouement laisse trop de place à l'interprétation (j'aime que l'on m'apporte des réponses et que l'auteur lève le voil sur les zones d'ombre de son intrigue, si je veux cogiter, je me tourne vers des essais).




Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (2012) Voir plus



Quiz Voir plus

La faune de l'alliance des trois

Matt croise le premier animal "étrange et redoutable" dans son immeuble. Il s'agit...

D'un singe
D'un aigle royal
D'un python
D'un chat siamois
D'un caniche blanc

10 questions
328 lecteurs ont répondu
Thème : Autre-Monde, tome 1 : L'alliance des Trois de Maxime ChattamCréer un quiz sur ce livre

{* *}