Maléfices

Une conclusion en beauté pour une saga qui explore les aspects les plus noirs de l'humanité, et qui se termine enfin sur une touche d'espoir! C'est encore une fois un récit addictif et bien ficelé que nous livre Maxime Chattam, avec des chapitres qui s'enchaînent et des pages qui se tournent toutes seules. Je quitte Annabel et Joshua avec un pincement au coeur, en leur souhaitant le meilleur!

Maxime Chattam m'a offert une expérience captivante et immersive avec ce dernier opus d'une super trilogie. L'intrigue est haletante du début à la fin, et il m'était difficile de lâcher le livre une fois commencé.

Les personnages sont bien développés, avec des traits psychologiques complexes qui ajoutent de la profondeur à l'histoire. Je me suis véritablement senti immergé dans l'enquête, me prenant au jeu de dénouer les mystères aux côtés des protagonistes.

Cependant, le dénouement, bien que solide, m'a laissé un peu déçu. J'espérais une conclusion plus surprenante ou plus complexe après une montée en tension si intense tout au long du récit.

Malgré cela, « Maléfices » est un livre qui mérite d'être lu pour son suspense prenant et son ambiance captivante. Je me suis même surpris à enquêter par moi-même, cherchant à résoudre les énigmes avant que les personnages ne le fassent. C'est là une preuve de l'immersion et de l'efficacité de l'écriture de Chattam.

"Maléfice," le dernier volet de la trilogie du Mal de Maxime Chattam, m'a laissé avec des sentiments mitigés. J'ai été captivé par l'intensité émotionnelle qui caractérise l'ensemble de la série, mais je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine frustration à l'égard du personnage d'Annabelle. Son oubli répété de son arme, malgré le rappel constant du droit de la porter, a parfois compromis le réalisme de la situation pour moi.

Cela dit, l'intrigue reste fluide et pleine de rebondissements.

L'introduction d'un tueur au profil psychologique complexe qui échappe à Brolin a apporté une nouvelle dynamique, et le retour d'Anthony Desvaux a été une touche appréciée. le style percutant de Chattam a continué à me faire tourner les pages rapidement, malgré mes réserves.

Cependant, le point fort demeure les retournements de situation inattendus, un trait signature de Chattam. Les scènes détaillées et les meurtres d'une violence marquante, bien que caractéristiques de son style, peuvent être trop intenses pour les âmes sensibles.

Dans l'ensemble, "Maléfice" reste un thriller solide, mais je ne peux m'empêcher de penser que certains éléments auraient pu être mieux exploités. Mon avis reste personnel, et malgré mes réserves, la trilogie du Mal de Chattam demeure une expérience de lecture mémorable.

Maxime Chattam est un auteur de thrillers français dont le succès n'est plus à faire. Maléfices est le deuxième livre que je lis de lui, mais certainement pas le dernier. C'est le troisième tome d'une saga nommée La trilogie du mal, qui peut néanmoins se lire parfaitement indépendamment des autres, comme je l'ai fait. Cela n'entache en rien le suspense, l'intrigue ou quoique ce soit d'autre. Seules quelques anecdotes et références antérieures resteront floues, mais rien qui ne vienne entacher l'avancée de l'histoire.

Dans une forêt de l'Oregon, un employé de l'environnement est retrouvé mort, le visage totalement horrifié. Puis des femmes disparaissent en pleine nuit, vraisemblablement devant leurs maris, endormis. Elles sont retrouvées quelques jours plus tard, comme momifiées dans une toile d'araignée géante, accrochées dans des positions très étranges, proches d'un court d'eau, avec le même visage horrifié. En parallèle, une invasion de veuves noires extrêmement venimeuses fait rage dans la ville de Portland, qui borde la forêt. de nombreuses personnes à la santé fragile décèdent. Pour Joshua Brolin et sa coéquipière Annabel O'Donnel, le doute n'est plus permis : il s'agit d'une seule et même personne, sans doute fanatique des araignées, qui répand la terreur dans la ville. Quel est son mobile ? Va-t-elle continuer à tuer des innocents ?

Maxime Chattam m'a fait frémir. J'ai l'habitude de lire le soir, dans un silence spectral et pendant ma lecture de Maléfices, je me suis vue à plusieurs reprises regarder derrière mon épaule si personne n'était là, ou frissonner en pensant qu'une araignée était sur mon corps. Les scènes d'angoisse et le suspense sont donc parfaitement présentes, nous tenant en haleine jusqu'au dénouement final. Les quelques 700 pages passent finalement à une vitesse folle tant le suspense est maintenue et notre envie d'en découvrir toujours davantage aussi. C'est simple : je n'arrivais plus à le lâcher. Sitôt un chapitre terminé, j'avais envie d'en débuter un nouveau.

Entre temps, j'en suis venue à soupçonner tout un chacun et à me méfier de tout le monde. Évidemment, j'étais à mille lieux de me douter du nom du véritable coupable. Néanmoins, la psychose est réelle. Les arachnophobes n'ont qu'à bien se tenir… car les références aux araignées sont presque omniprésentes. de longs paragraphes sont uniquement dédiés à ces bestioles aux multiples pattes : comment vivent-elles, se reproduisent-elles, etc. Des détails parfois très techniques, qui prouve que l'auteur s'est largement documenté avant de débuter ce récit.

Un excellent thriller, haletant, angoissant, qui ancre Maxime Chattam parmi les grands noms des auteurs d'histoires sombres.
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Fin de la trilogie du mal avec ce dernier roman « Maléfices » a ne pas mettre dans les mains des arachnophobes. Joshua Brolin et Annabelle O'Donnell se retrouvent à nouveau au coeur d'une série de meurtres totalement singuliers, nous entraînant dans une course haletante pour mettre fin à cette terreur qui se répand dans Portland.

Ce Tome 3 commence tout doucement.
Il y a donc des attaques d'araignées particulièrement dangereuses, des disparitions, des victimes bien sûr.
L'une d'elle s'avère être le frère de Larry Salhindro, c'est alors que nous nous retrouvons bien évidemment en compagnie de Joshua Brolin, avide d'aider son ami, satisfaisant ainsi sa soif de curiosité d'éluder une nouvelle enquête bien particulière, de connaître ce nouveau tueur psychopathe.
Annabel O'Donnel ne tardera pas à faire son apparition, reformant ainsi la collaboration « Brolin-Annabel ».

J'ai trouvé ce roman moins addictif que le précédent et encore bien moins par rapport au Tome 1.
Peut-être suis-je lassée... j'étais étonnée de m'ennuyer à plusieurs reprises.
Peut-être le côté araignées trop présent, l'enquête par moment pas assez réaliste, et surtout beaucoup d'éléments trop répétitifs, bien trop répétitifs.
Ce qui est sûr, c'est que nous en apprenons beaucoup sur le monde de l'arachnophilie, c'est ce qui m'a plu, d'apprendre, même si encore une fois, tout était un peu trop répétitif.

Il y a des passages que j'ai trouvé un peu grotesques... Par exemple Brolin qui meurt, mais en fait pas vraiment, et quelques heures plus tard, déjà sur pieds et prêt à reprendre l'enquête... ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres... un manque de réalisme sur pas mal de points, je n'ai malheureusement pas été transportée cette fois-ci.
Et je m'attendais à une fin « noire », je suis peut-être psychopathe, mais du coup j'ai été un peu déçue !!

Quoi qu'il en soit, le moins bon de la trilogie pour ma part, il y avait pourtant tant de potentiels !

Quelle excellente idée que de lire ce livre quand on est arachnophobe ... Je dois dire qu'à bien des reprises je n'ai pas fait le malin, les descriptions sont détaillées et cela a souvent été douloureux.

Mais bon une fois lancé dans cette trilogie du mal, il aurait été très dommage de passer à côté de cette conclusion.

Après un passage en Enfer dans le tome précèdent, on retrouve Joshua Brolin et Annabel O'Donnel sur une enquête qui laisse à penser qu'une affreuse bête géante est passée à l'attaque.

Globalement, les aventures rencontrées par les personnages m'ont grandement fait penser à l'image que je me fais de l'enfer, mais c'est sûrement personnel. Toutes ces bêtes là ... ugh je souffre.

Sinon, j'ai trouvé l'enquête très prenante. Mon dernier thriller avait plutôt des allures de cosy murder, ici c'est totalement l'inverse, des morts toutes plus glauques et atroces les unes que les autres, une enquête halletante avec des cliffhangers toutes les 20 pages, des fausses pistes, des dangers mortels à chaque coin de page. On ne s'ennuie jamais, malgré un livre assez conséquent, près de 600 pages en poche.

Finalement mon seul reproche serait peut-être sur les protagonistes, Joshua et Annabel qui ne m'ont pas beaucoup passionné. Et pourtant c'est bien eux que l'on retrouve dans cette trilogie (enfin presque, Annabel arrive plus tard) mais je ne peux pas dire que je me sois attaché à eux.

En tout cas je suis content de m'être plongé dans cette relecture car cette trilogie vaut vraiment le coup. Je vais me laisser tenter par La Promesse des Ténèbres, qui devrait éclaircir les zones d'ombre sur le destin d'un personnage mentionné dans l'un des tomes.

Après une très longue pause dans mes romans de Chattam, j'ai eu une envie subite de retrouver le superbe Joshua Brolin. J'ai donc, à présent clôturé cette trilogie du mal.

J'y ai retrouvé Lloyd Meats, Larry salhindro, Joshua Brolin et Annabel O'Donnell. Une équipe complémentaire qui nous fera traverser les pénombres de la race humaine.

Jusqu'où peut-on aller afin d'assouvir une vengeance terrifiante car notre douloureux passé nous est difficile à accepter ? Un tueur réfléchi et sanguinaire qui laissera derrière lui des cadavres de femmes vidés de l'intérieur et englobés dans des cocons de soie d'araignées. Une veuve noire dangereuse à essayer d'attraper dans ses filets par tout les moyens.

J'ai adoré ce roman noir et méchamment bien réalisé. Toutefois, à mes yeux, L'âme du mal restera le meilleur. J'ai tout de même suivi cette enquête inhabituelle avec beaucoup d'émotions. J'ai parfois eu des haut-le-coeur qui me serraient les tripes. Chattam s'est amusé à jouer avec ma peur. Ma peur des araignées. Il n'a fait que me les faire détester plus encore. Tellement que j'en ai rêvé le soir même qui a suivi ma lecture.
J'ai toujours détesté ces petites bestioles à huit pattes toutes velues. Qui se tortillent et te chatouillent le corps rien qu'en les regardant. Grrr 😖

Des frissons durant toute ma lecture. Une enquête qui nous met dans tout nos états. Un roman angoissant où un tueur aura des actes immondes envers les femmes. On sera remarquablement bien mené en bateau. Énormément de suspects à la carte qui nous feront tourner en bourrique. Une recherche du tueur pénible. Et pour couronner le tout, certains moments atroces, qui nous feront retourner le coeur et nos émotions.

Aux côtés de Brolin, on le sentira parfois perdre pied, mais grâce à son instinct de profiler redoutable, il saura déjouer le jeu macabre de ce monstre à huits pattes. Des personnages attachants et vraiment braves. Une histoire délicieuse entre Brolin et O'Donnell. Un meurtrier sans scrupule. Une fin à nous mettre la rage au ventre.
Un mélange parfait pour finaliser cette trilogie de fou !

Étant arachnophobe, je ne peux pas mettre 5 étoiles à ce roman.
Le dernier tome de la trilogie du Mal met en scène un tueur en série qui s'introduit chez le domicile des couples pour implanter des espèces dangereuses d'araignées. le tueur instrumentalise les araignées afin de faire peur à la population et tuer une certaine catégorie de population.

Ce que j'ai aimé dans ce roman :
- retrouver Joshua Brolin et Annabelle O'Donnell. Je me suis attachée à ces personnages.
- l'intrigue et le plot twist. Même si le choix de M. Chattam d'aborder et de décrire avec précision les araignées m'a dérangé, j'ai tout de même appréciée l'ambiance dark et glauque du roman ainsi que le déroulement de l'enquête policière.
- toujours la plume de l'auteur.
- les informations véridiques sur la tétrodotoxine, le venin des araignées, la culture de la soie d'araignée... J'ai beaucoup appris et renforcé par la même occasion ma culture G. Merci Maxime Chattam pour ce moment.
- la psychologie du tueur en série, analysée par Joshua Brolin ainsi que la symbolique des actes du meurtrier.

J'aimerais d'une manière générale, saluer le travail de recherche titanesque que Maxime Chattam a dû réalisé pour écrire la trilogie du mal.
Je ne peux que recommander la lecture de cette saga policière.

P.S : Je dirais que Maléfices m'a permis de mieux comprendre les araignées et d'affronter un peu plus ma peur de ces arachnides.

Me voilà arrivée à la fin des investigations de Joshua Brolin...
Fidèle à lui-même, Maxime Chattam réussi à nous plonger corps et âme dans son récit avec une description incroyable de l'environnement qui entoure les protagonistes. Chaque personnages est à nouveau un potentiel coupable en faisant allusion à leur vie privée inconnue. Et chaque fois qu'on pense avoir déniché le tueur... eh bien non ! Parce qu'au final, nous ne sommes qu'au quart du livre et l'auteur arrive à nous mener en bateau !
En décrivant les personnages de manière très précise, Brolin, par le biais de Maxime, nous glisse des indices sur le coupable de manière très subtil.
J'ai particulièrement aimé les liens culturels et mythologiques que Chattam a une fois de plus inséré dans son récit, comme il l'avait fait dans In Tenebris avec ce mysticisme autour des souterrains de New-York. Ici on nous parle d'Haïti et de ses vaudoux manipulateurs et de la Grèce Antique avec une Arachné persécutée par une déesse.
Deux points négatifs ne me permettent cependant pas de noter ce livre avec cinq étoiles comme il le mériterait : tout d'abord, au milieu du livre se glisse un retournement de situation totalement innatendu, susceptible de se démarquer de tous les autres romans policiers, mais on comprend rapidement (trop rapidement ?) que le prologue nous indique la chute de cet élément perturbateur ; ensuite et enfin, le plotwist final m'a déçue car il nous amène d'abord sur une "fausse-bonne" piste pour se conclure de manière très facile.
Pour conclure, ce livre me conforte dans l'idée que j'adore la plume de Maxime Chattam et que ce n'était sans aucun doute pas le dernier que j'aurai entre les mains !