Difficile de s'émerveiller sur cette poésie qui emprunte beaucoup trop aux autres. Trop de mots sont des lieux surannés de la poésie, combien de fois lit-on :
aurore, feuille, sang, ombre, exil, pluie d'étoiles... on a même droit à du
Nietzsche avec la citation sans être citée de l'éternel retour. Il nous décrit la nuit avec les animaux les plus communs : l'effraie, la chauve-souris, le hibou et le loup... les arbres ne sont pas épargnés : les saules ont séché leurs pleurs.....