La pression montait un peu plus à chaque pas le rapprochant du terrain. Rafael marchait droit devant lui sans se soucier de là où il mettait les pieds et bousculait plusieurs personnes sur son passage. Çà et là, des spectateurs étaient réunis par groupes, assis ou debout, pour applaudir et brandir des pancartes. Partout autour de lui, la foule était en délire.
Des sonorités étranges, d’innombrables noms d’oiseaux, des paroles de douleur, d’amour, des accents...
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