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3,98

sur 1733 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
2001 L'odyssée de l'espace est un film grandiose …
Et le bouquin ? Et bien à part le fait qu'il est légèrement bâclé comme la plupart des romans de l'auteur( oui et pi sé tout ! ) et à part le fait également que certains passages sont abscons en plus ,avouons qu' il est pas mal malgré tout .

Le texte pourrait bien vous inciter à continuer d'être ou à devenir enfin polis et très aimable avec votre PC , ceci pour rendre fructueuse votre relation mutuelle , mais aussi pour votre propre sécurité ,car sans devenir agressif votre PC , pourrait n'en faire qu'a sa tète toujours dans votre intérêt mutuel évidement , mais aussi pour lui-même , en tant qu'être d'acier et de silicium.
Les monolithes permettent peut-être de cultiver l'intelligence dans la galaxie et même dans notre système solaire du côté des mondes extérieurs certes oui , et par chez nous ? c'est une bonne question figurez-vous.
Le texte fait rêver parce qu'il est comme le film très immersif et spectaculaire , mais il est aussi riche que frustrant et légèrement abscons , donc difficile de conseiller de se précipiter pour entamer sa lecture , et plus ,je vous dit ! , : Si vous avez vu le film vous aurez plus de plaisir à cette lecture .
Cela dit , perso je conseille de lire le texte avant de voir le film car cela permet de profiter de l'univers splendide que nous offre ce film aux images grandioses au charme intemporel de manière plus profonde et immersive .
Le roman est solide du point de vue du déploiement d'un discours à la fois, scientifique et romanesque et c'est un voyage qui est aussi le prélude à une série d'aventures cinématographiques et littéraires , car , après l'auteur ,S Baxter s'est mêlé de prolonger ces aventures de multiples fois ( CF les titres titans …..) .
Un classique plaisant et assez incontournable car il fut inspirant pour de grands créateurs en SF .
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Aaaaaaaahhhhhh : 1968 : Kubrick : 2001 : Odyssée de l'espace : film majeur dans la filmo du maitre...
Aaaaaaaaaarghh : 1968 : Clarke : bouquin tres décevant qui sera néanmoins à l'origine d'un des films majeurs dans...

Je m'explique . C'est typiquement le genre de bouquin que je me fais une joie d'ouvrir , sur d'y trouver mon compte ( et plus si affinité ) et que je referme frustré ! Et j'aime pas etre frustré , j'trouve ça frustrant !
Rien à dire sur la trame complexe et mysterieuse à souhait . Rien à dire sur le style . Mais quid du rythme ? Aussi bonne qu'une idée puisse etre , si elle n'est pas soutenue par un récit qui , à défaut d'etre nerveux , possede au moins la faculté de vous donner envie de poursuivre et non de vous y accrocher désespérement comme une moule à son rocher dans l'espoir de voir décoller ( pour un bouquin de SF , c'est un minimum ! ) une histoire prometteuse , c'est gaché ! Et j'aime pas gaché , c'est gachant !
Livre donc inégal alternant l'excellence avec la lassitude...Tres bon début sur la terre de nos ancetres qui accroche véritablement le lecteur . Formidable description , empreinte d'une rare tension , de l'affrontement Bowman / Hal 9000 ( ordinateur de bord insurectionnel ) mais ces moments-là sont beaucoup trop rares pour faire oublier ces longs, longs passages techniques , descriptifs , explicatifs qui plombent immanquablement l'ensemble !

Paradoxalement , 2001 est malgré tout un bon bouquin qui se voit plutot qu'il ne se lit ! Dans le meme esprit barré , je vous incite fortement à découvrir , si ce n'est deja fait , l'incroyable film qu'est Moon , personnalisé par un Sam Rockwell au sommet de son art ! Faites-le sinon ça va m'enerver et j'aime pas etre enervé , j'trouve ça énervant...
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La « connaissance » apparue sur terre sous la forme d'un monolithe de couleur noir mesurant trois mètres de haut sur une largeur d'un mètre cinquante. Nantis de ses connaissances astronomiques, l'auteur nous emmène dans un long périple interstellaire, jusqu'aux confins du système solaire, plus précisément dans la banlieue de Saturne. Les chapitres sont courts, ce qui permet une lecture rapide, le style assez « académique ». La fin m'a paru assez embrouillée, même si cela reste de la science-fiction abordable par tous.
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A l'aube de l'Humanité, une tribu d'hommes-singes menée par Guetteur de Lune tente de survivre face aux prédateurs et aux tribus rivales. L'eau et la nourriture se font rares. Mais l'apparition d'un étrange rocher transparent semble changer la donne. Guetteur de Lune comprend qu'il peut défier son rival, Une Oreille, dont la mort devient alors un symbole de puissance...

Même si la trame générale de ce roman est identique à celle du film (Arthur C. Clarke s'inspire ici du scénario qu'il avait écrit avec Stanley Kubrick et l'histoire provient de plusieurs nouvelles de Clarke, dont La Sentinelle parue en 1951), il y a quelques divergences (qui sont dues très certainement au fait que l'auteur anglais a écrit son roman avant de voir le film du réalisateur américain). Malgré ce que laisse penser la présente couverture, le monolithe présent dans le livre n'est pas noir (comme dans le film), mais transparent comme du cristal. Ensuite, dans le long-métrage, le vaisseau spatial part vers Jupiter alors que dans le roman, il se dirige vers Japet, l'une des lunes de Saturne (ce qui était prévu dans le scénario original mais les effets visuels de l'époque étant ce qu'ils étaient, le rendu des anneaux de Saturne n'aurait pas été assez bon, Kubrick jugea entre-temps préférable de changer la destination). Dans le film, les deux astronautes Poole et Bowman s'isolent de HAL (CARL en V.F.) en se plaçant dans une capsule afin de décider d'une éventuelle déconnexion, mais l'ordinateur parvient à lire sur les lèvres le dialogue des deux hommes. Ici, CARL reçoit tout simplement l'ordre de déconnexion provenant de la Terre en même temps que les astronautes. Il y en a d'autres, même si ces petites différences n'enlèvent en rien les qualités intrinsèques des deux oeuvres. Bien au contraire.

Si j'ai rencontré quelques petites difficultés à entrer dans ce roman (le film de Kubrick est peut-être trop puissant), j'ai fini par mettre de côté les images fortes qui me restaient de mes multiples visions (celle de 2014 à l'occasion des Culturiales était une première pour moi sur grand écran) pour enfin entrer dans l'oeuvre de Clarke. Et si j'ai trouvé ça assez mal écrit au tout départ, cette impression a fini par s'estomper. Parce que si Clarke ne part pas dans des envolées lyriques, il sait tout de même donner une grande part de sense of wonder (exactement ce que tout lecteur de SF cherche, en somme) pour expliquer l'univers. Surtout que ce roman est assez court, moins de 200 pages.

Donc, pour tous ceux qui comme moi n'ont pas eu la chance jusqu'ici de lire ce roman, je ne peux que les inviter à se plonger dedans. Il ne regretteront pas le voyage. Pour les autres, ils savent déjà de quoi je veux parler...
Lien : http://les-murmures.blogspot..
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Tout le monde connais le film de Satnley Kubrik. Pour une fois, ce n'est pas un film qui est inspiré d'un livre, mais bien l'inverse. Il est vrai que ce long métrage est déroutant et difficile de s'immerger dedans, d'ailleurs, je n'ai jamais pu le regarder en premier. Ce roman fut parut en 1968 sous le titre original de A Space odyssey.

Voyons si le livre est plus digeste que le film. le livre a été écrit en plusieurs parties, elles ont toutes un lien directe. Sur la première partie, je ne fus pas étonner de voir l'histoire débuter à la préhistoire, mais je fus impressionné par l'immersion immédiate. Aucun dialogue puisque nos très anciens ancêtres avaient comme moyen de conversation des grognements, mais là, le récit se passe aisément de dialogues, c'est prenant, la fin arrive bien trop vite.
La deuxième partie se déroule au début des années 90. On y découvre l'avenir, puisqu'écrit en 1968. Et là, fait remarquable, un an avant que les américains marchent sur la Lune, l'écrivain avait déjà vu que l'on pouvait établir un centre. Il est vrai qu'aucun centre ne fut conçu pour des raisons diplomatiques, mais c'est et c'était tout a fait plausible si les gouvernements s'étaient entendus.
La troisième partie m'a plu également. Par contre, j'ai moins apprécié les suivantes pour finalement donner un peu plus d'envie sur la fin.

En conclusion, c'est un bon roman. Bon, je ne suis pas fan de ce type de Science-fiction, mais je pense qu'il plairait à beaucoup de gens.
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Novellisation par le scénariste : écrivain majeur de SF d'un des films les plus mythiques qui soit, réalisé par un fous de génie pas toujours facile à suivre. le film m'avait ébloui par des images, des idées parfois magnifiques, souvent folles, et presque toujours incompréhensibles ... le livre est un peu plus abordable, mais à peine. Un grand classique, auquel on ne comprend pas grand chose (Clarke a écrit d'autres livres bien plus simples, je vous laisse les chercher).
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Le probléme de ce livre c'est que le film est tellement colossal que l'on passe a coté de cette histoire sur laquelle Kubrick a posé des images inoubliales . C'est dommage parceque c'est plutot bien écrit , mais l'intéret est totalement ailleurs . A lire si l'on a pas vu le film ....
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Un livre intéressant pour remonter l'histoire de certains clichés de la SF qu'on retrouve partout aujourd'hui, par exemple la porte des étoiles et les êtres avancés faits d'énergie pure (qu'on retrouve à l'identique dans Stargate SG-1), l'I.A malveillante (ce n'est pas le premier roman qui emprunte ce thème, mais depuis il a été surexploité) ou encore le délire psychédélique de fin sur l'espace et le temps (dans le genre de ce qu'Interstellar fera avec un trou noir).
Dans ses "prédictions" du futur, Arthur Clarke ne tombe pas si loin lorsqu'il évoque les facilités de communication apportées par la technologie, et même très près lorsqu'il pense que plus la communication sera rendue facile, plus celle-ci sera remplie d'informations banales, inutiles ou sensationnelles... Pour ce qui est du voyage dans l'espace par contre, on ne peut qu'admirer son optimisme !
En ce qui concerne l'intrigue, ce roman est un peu décevant. Il y a une longue phase d'introduction et de préparation, puis à la fin une longue phase de conclusion dont le côté fantaisiste tranche avec la plausibilité scientifique que l'auteur arbore souvent. Entre ces deux phases, il y a quelques dizaines de pages sur l'intelligence artificielle qui prend le contrôle du vaisseau ; ce passage est malheureusement trop court et trop vite résolu par le protagoniste ; on peut y voir une sorte mise en abîme du roman dans le sens où il s'agit d'un pétard mouillé dans un pétard mouillé...

Je conseillerais d'aborder cet auteur par Rendez-vous avec Rama, qui fait de la vulgarisation scientifique dans une ambiance mystérieuse et captivante.
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Pour le grand public, 2001 ODYSSEE DE L'ESPACE reste sans doute le plus célèbre roman d'Arthur C. Clarke. Rappelons que Stanley Kubrick souhaitait réaliser un grand film de science-fiction épique et qu'il finit par puiser sa source d'inspiration dans une nouvelle de Clarke, publiée en 1951, « La sentinelle ». A partir de cette base Clarke et Kubrick rédigent un scénario dont l'écrivain tire parallèlement un roman édité peu après la sortie du long-métrage.
Le récit se veut plausible et réaliste quoique l'auteur prévienne dès l'introduction : « il s'agit d'une fiction et la vérité sera bien plus étrange ». le roman, assez court (188 pages) se divise en six chapitres de longueur à peu près égale. Nous commençons notre voyage aux temps préhistoriques, durant « la nuit ancestrale », où un homme-singe, Guetteur de Lune, entre en contact avec un monolithe transparent qui lui envoie d'étranges images mentales : la frustration apparait dans l'esprit de Guetteur de Lune qui décide d'utiliser des outils pour affronter un léopard puis le chef d'une tribu rivale. L'Homme a appris à maitriser son environnement : il « était maître du monde et il n'était pas sûr de ce qu'il devait faire. Mais il lui viendrait bien une idée ».
Nous allons ensuite rencontrer le Dr Heywood Floyd en route pour la base lunaire Clavius, placée en quarantaine suite à une probable épidémie. En réalité, cette mise au secret est justifiée par une découverte au centre du cratère Tycho dénommé AMT 1 (pour Anomalie Magnétique de Tycho N°1) : un monolithe noir parallélépipédique dont les dimensions obéissent très exactement au rapport 1 / 4 / 9 (le carré des 3 premiers nombres premiers). L'Homme vient de découvrir la preuve de l'existence d'une vie extraterrestre et l'objet lance un flux d'énergie en direction des étoiles.
Toutes les analyses, toutes les tentatives pour déterminer l'origine ou la nature de cet « objet » se sont révélées infructueuses. Aucune des hypothèses faites à son sujet n'est totalement satisfaisante. C'est un mystère total. Mais des certitudes existent : le monolithe n'est pas d'origine humaine et il a été enfoui il y a trois millions d'années. Lorsque Floyd se rend sur place pour le voir de ses propres yeux, il ne peut rien conclure d'autre.
Quelques temps plus tard un voyage spatial « entre les planètes » est organisé : la vie routinière de David Bowman et Frank Poole est perturbée par la rébellion de l'ordinateur de bord Carl 9000, normalement incapable de la moindre erreur. Après avoir « accidentellement » tué Poole et les trois membres de l'équipage encore en hibernation, l'ordinateur est déconnecté par Bowman. Celui-ci continuera son voyage vers Saturne et franchira la « Porte des Etoiles » pour aboutir à un autre monde en ne laissant à la Terre, en guise d'ultime message, qu'un mystérieux « Oh ! Mon Dieu ! C'est plein d'étoiles ! »
Si le roman et le film sont similaires (il existe de menues différences mais celles-ci sont insignifiantes sur le déroulement du récit), le livre se montre plus explicatif que sa version cinématographique, offrant quelques réponses supplémentaires à ceux qui trouvaient la réalisation de Kubrick trop absconse. Toutefois, 2001 (le livre) se montre un peu trop descriptif pour que l'ennui ne pointe pas à l'une ou l'autre reprise, surtout lorsqu'on a vu (et revu) son adaptation cinématographique. Il constitue cependant un honnête complément au long métrage dont il éclaire certaines zones d'ombre pour les plus cartésiens. Mais, d'un point de vue purement littéraire, nous sommes loin des plus grandes réussites de Clarke et de l'émerveillement suscité par ses classiques comme, par exemple, RENDEZ VOUS AVEC RAMA. A découvrir néanmoins pour les amateurs de science-fiction qui voudront prolonger le voyage avec ses trois suites qualitativement supérieures.

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Le film est beau, très esthétique et la musique qui accompagne les images est magnifique mais toutefois il ressort comme étant plutôt obscur, le livre est-il plus explicite?
Dans une certain sens oui mais malgré tout au final je ne suis toujours pas sure d'avoir compris la finalité de cette histoire.

Ce monolithe qui apparait à l'aube de l'humanité sur le territoire d'hommes-singes puis sur la lune, je n'ai toujours pas vraiment compris ce qu'il pouvait bien représenter.

Ce qui est plus simple à comprendre c'est toute la partie avec Carl le surpuissant ordinateur mais ça ne suffit pas pour en faire un roman qu'on n'a pas envie de lâcher.

Je suis contente de l'avoir lu pour le Challenge défi car sinon je pense qu'il aurait trainé encore un moment dans ma PAL. de plus ce n'est que le premier tome d'une saga....

Lien : http://delcyfaro.blogspot.co..
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