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sur 1239 notes
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Apres Avoir lu sur babelio des critiques tres négatives de lecteurs, j'ai entamé "le deniers des nôtres avec un a priori peu positif.
Au final, j'ai passé un très bon moment. L'ecriture est légère et fluide, la double histoire passée present, se déroule facilement.
Je ne suis pas compétant pour dire s'il mérite les prix littéraires, par contre je peux vous conseiller de lire ce livre ,vous passerez un très bon moment.

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Contrairement à certaines critiques que je viens de découvrir, j'aime beaucoup ce livre à peine commencé et déjà presque terminé.
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Manhattan, 1969.

Un homme rencontre une femme.
Werner Zilch à été adopté à l'âge de trois ans. Il n'a aucune idée de ses origines, de son histoire.
Rebecca est la fille d'un magnat new-yorkais et d'une mère revenue des camps d'extermination.
C'est simple finalement, ils s'aiment.
Sauf que. Dans ce monde qui est en train de changer, le poids du passé écrase encore certaines libertés.
Le secret qui entoure la naissance de Werner entache leur histoire.
Livre agréable à lire, malgré une certaine réticence vis à vis du héros. Très imbu de lui-même, mâle vociferant et colérique, par moment il est tellement archaïque qu'on aurait envie de le caser dans la machine à remonter le temps.
Très vite, on comprend ce qui pourrait empecher Werner et Rebecca de s'aimer. Malgré tout, on le lit jusqu'à la lie, sans écoeurement.
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Bon, et bien là j'avoue que je ne comprends pas comment ce livre a pu être primé et aussi bien vendu. Ça ne casse vraiment pas des briques comme dirait ma grand mère, qui a vécu la seconde guerre mondiale et qui en sait donc au moins autant que les protagonistes de l'histoire, et qui l'aurait, à coup sûr, mieux racontée. Et quand au dilemme 'je t'aime moi non plus' du héros, on n'y croit pas un seul instant, ça ne colle pas au personnage, ça l'fait pas, comme dirait ma fille qui en sait au moins autant sur les problèmes de coeur des djeunes que les protagonistes, et qui les aurait à coup sûr mieux expliqués. Vraiment, passez au large, choisissez une autre lecture...
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Dès la 1ère page j'ai pû dire que j'adorerais cette histoire... Pourquoi ? Comment ?
La magie de certains auteurs sans doute...
Je ressors de cette lecture avec tristesse car je n'avais aucune envie de me séparer de ce duo infernal que forme Werner et Becca...
Leur histoire d'amour est tellement profonde, sauvage, intense mais aussi très dure et incompréhensible par moment. Et puis ces destins terribles sous le régime SS, la force et le courage de certains, la dureté et le sadisme des autres.
Un mélange qui ne pouvait que fonctionner pour moi. Et puis cet entrelacement des époques qui est aussi le succès pour moi de ce livre.
Vous l'aurez sans doute compris c'est un gros coup de coeur pour moi.
Une écriture plus qu'agréable, je me mets directement en quête des autres ouvrages de la demoiselle. Et je vous le conseille, c'est du 4* pour moi.;-)
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Parlons d'abord des choses positives : l'histoire se lit facilement, avec des aller retour entre la fin de la seconde guerre mondiale en Allemagne et les années 1970 à New York.
Maintenant, les choses qui m'ont le moins plues. C'est vrai que les personnages principaux ne sont pas des personnages auxquels on s'attache facilement. Une fille à papa richissime et un self made man en passe de le devenir. Tout à l'air si facile quand il pleut des dollars mais non, rien n'est aussi simple que cela quand on a choisi pour femme de sa vie une petite capricieuse qui décide de foutre le camp sans laisser de traces ni d'explications quand ça lui chante. Et pour se venger, on va aller voir ailleurs sur tout ce qui bouge. Et quelle ne fut pas ma surprise de retrouver la femme de sa vie ayant pour passion la recherche des criminels de guerre alors qu'elle n'en a pas fait mention lors de son premier passage dans les draps de Werner... Bref, ce n'est pas un roman digne d'un chef d'oeuvre et de tout le foin qu'on en a fait. Je m'attendais à une autre histoire (ne pas se fier a la 4e de couverture... encore une fois grrr), a une histoire d'amour pure entre personnes qu'on n'a pas envi de baffer toutes les 5 min. Enfin une histoire du genre Au revoir là haut. Et puis le titre, le dernier des nôtres, on aurait pu s'attendre à autre chose. Cela n'a pas été exploité.
Donc pour résumé, une lecture facile où on ne s'ennuie pas mais qui ne nous marquera pas au fer rouge.
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Les décors changent mais les intrigues romanesques sont peu nombreuses me suis je dit en refermant ce roman addictif.

Jean Raspail, il y 35 ans déjà, dans « le Président » mettait en scène le duel de deux frères ennemis se ressemblant au point de pouvoir passer l'un pour l'autre.

Scénario régulièrement utilisé par nos feuilletonistes et qu'Adélaïde de Clermont Tonnerre insère dans un contexte de récupération de savants nazis, en l'occurrence l'opération Paperclip qui permit aux américains de récupérer Werner von Braun, le père des V2, et de le propulser à la tête du programme spatial qui réussira à poser des hommes sur la lune.

« Le dernier des nôtres » aborde des questions graves en évoquant Auschwitz, l'exploitation sexuelle des femmes, l'infertilité, l'adoption, la quête de ses géniteurs et enfin la question de l'auto-justice... de quoi offrir un grand roman.

Mais de Raspail on tombe vite dans du Sulitzer , version Loup Durand, avec des personnages dotés de plus de fric que de froc, qui gagnent des fortunes immobilières aussi vite que Donald Trump à New York et le jettent par les fenêtres lors de soirées stupéfiantes et scandaleuses pour le vulgum pecus.

Impossible d'avoir la moindre sympathie pour Werner Zilch et Rebecca Lynch, caricatures lui du mâle odieux et elle de la femelle dépensière, ou d'avoir une réelle empathie pour les autres acteurs. C'est la faille de ce roman, à mes yeux, comment conserver un bon souvenir d'un ouvrage où presque tous les personnages sont des épouvantails ?

Une déception donc, en ce qui me concerne, et d'autant plus décevante que ce roman fut distingué par le grand prix de l'académie française en 2018.

Espérons que les prochains ouvrages de cette romancière ne seront pas « le dernier des nôtres » !
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Grand prix du roman de l'académie Française, j'ai hésité à le lire puis me suis décidée. Je l'ai lu avec plaisir, détente. Mais je l'ai trouvé romanesque. Peut-être y-a-t-il un déséquilibre entre les chapitres Allemagne et ceux Etats-Unis. Ou un déséquilibre entre les personnages, ils étaient tous aux états unis mais on ne lit que sa vie à lui. On a un petit sentiment de brouillon, d'un livre pas parachevé, pour un livre qui a reçu ce prix en tout cas.
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Adélaïde de Clermont-Tonnerre, le dernier des nôtres - 2016 - ⭐️⭐️⭐️⭐️

Le Dernier des nôtres est un roman d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre paru le 17 août 2016 aux éditions Grasset et ayant reçu la même année en août le premier prix « Filigranes »[1], puis le Prix des Lauriers Verts du roman à La Forêt des livres le 28 août[2], et enfin le grand prix du roman de l'Académie française[3] le 27 octobre. Il a reçu le Prix des Lecteurs du Livre de Poche 2018[4]. (Wikipedia)

Très bon roman. Deux récits en alternance : celui de Werner, jeune adulte des années 70 et celui de ses origines et de sa naissance en 1945. L'oeuvre n'est pas dénuée d'humour, mais elle est aussi troublante, pleine de rebondissements et au moment où l'on croit avoir tout deviné, l'auteure nous surprend encore ! L'écriture est nerveuse, belle. Nous allons des amours tulmutueuses de Werner aux imbroglios de la fin de la guerre et à ses répercussions sur les êtres. Il est rare que je ne m'ennuie pas avec un livre d'une certaine épaisseur. Ce fut le cas ici.
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