Voulant lire un livre
Harlan Coben, et à l'exception du premier livre de la série « Myron Bolitar » que je n'ai toujours pas trouvée pour la commencer, je les ai tous. C'est donc, dans les « indépendants » que j'ai choisis au hasard un de ses livres.
Il a fallu que je tombe sur celui qui ne fallait pas prendre, car dans ce livre, le personnage principal, est issu de la série Myron. N'en ayant lu aucun, je ne pouvais deviner. Il aurait été bien que dans la quatrième de couverture, lorsqu'on a cité le personnage «
Win », de mettre « entre parenthèses » une référence sur le fait qu'il a connu pour être l'ami de Myron. Faut penser aux nouveaux lecteurs d'
Harlan Coben ou à ceux qui n'ont lu aucun livre de la série Myron...
Car bien que Myron n'intervienne pas dans ce livre et qu'il ne soit cité plusieurs fois, que dans les « pensées »
De Win, cela n'en reste pas moins que cette personne n'est pas inconnue et que je n'aurai pas choisi ce livre de suite, et classer dans la catégorie « Myron Bolitar ».
Comme je ne lis jamais les critiques d'un livre que je possède avant de l'avoir lu, je n'ai pas pu voir cette information par ce biais.
Même avant que le mot « Myron » ne soit cité pour la première fois, je reconnais, ne pas avoir du tout accroché, sur les premières pages avec notamment le tabassage d'un coach, Teddy Lyons après un match de basket-ball. J'ai trouvé le personnage
Win antipathique, violent, à une façon bien étrange de choisir les femmes avec qui il a une liaison d'un jour, qui se fait justice lui-même (
Win m'a fait penser à Raymond Reddington, dans la série « Black list » que je regarde actuellement), sa fortune facilitant ceci.
Et cela m'a d'autant déçue, d'avoir sélectionné ce livre. Car, j'aurai surement pris plus de plaisirs à lire si je l'aurais lu, après celle de la série « Myron Bolitar » vu que, j'aurai connaissance de ce personnage et aurait eu surement, une vision différente
De Win.
Une fois cette frustration passée, et faisant obstacle de la provenance
De Win, j'ai commencé à m'intéresser à l'histoire.
Win est convoqué par le FBI, après qu'une personne âgée, est retrouvée assassiner dans son appartement. La raison : la présence sur les lieux, d'une valise portant les inscriptions WHL III (
Windsor Horne Lockwood III) ainsi qu'un des deux tableaux volés il y a plusieurs années : le Vermeer.
Cela les ramène à une vingtaine d'années, où Aldrich, l'oncle
De Win, fut retrouvé assassiné chez lui, et sa fille Patricia séquestrée dans la « maison des horreurs » durant des mois avant qu'elle arrive à s'enfuir.
Deux tableaux prêtés (un Vermeer et un Picasso) à l'université sont volés
Et qui sont ses six étudiants rebelles, dont ils furent surnommés : les 6 de Jane street ?
Voilà ce qui attend
Win pour relier tout cela.
Je n'ai pas adhéré au personnage
De Win, bien que finalement l'histoire ne soit pas si mal que cela.
On est loin du livre « Ne le dit à personne » que j'ai adoré de même pour « Inconnu de la forêt » et « Identités croisés » où j'ai aimé le personnage
De Wilde.
A lire, si le livre a été lu...
J'ai trouvé que l'enlèvement de Patricia sonnait faux, certes, on avait peu d'informations, mais le peu qu'on donnait, je trouvais qu'elle s'était libérée assez facilement, alors qu'aucune des autres filles n'a survécu.
Pour Vanessa Hogan, la mère de fredérick, je me suis bien doutée que le pardon, ne pouvait être vrai et que la seule personne qui a accepté de la voir ne s'en saurait pas sorti indemne (par contre, je ne me suis pas douté pour ses autres victimes).
Pour Belinda, lorsqu'elle a révélé, son vrai visage et qu'elle s'est servi de ce veilleur de nuit, pour mieux préparé le vol, j'ai pensé que cela pouvait être Patricia.
De même je n'ai pas cru que sur la pierre tombale avec les initiales R. L. sont ses cendres et que cette personne était toujours vivante.