Surtout il fallait, coûte que coûte, revenir à cette réalité de l'enfance, réalité grave, héroïque, mystérieuse, que d'humbles détails alimentent et dont l'interrogatoire des grandes personnes dérange brutalement la féérie.
Les êtres singuliers et leurs actes asociaux sont le charme d’un monde pluriel qui les expulse.
Elisabeth passa un manteau sur sa nuisette et pieds nus et orteils à l'air s'asseyait , rêveuse, accoudée,une main contre la joue. Paul se balançait sur sa chaise, à peine vêtu. L'un et l'autre mangeaient en silence, comme les saltimbanques d'une roulotte, entre deux représentations. La journée leur pesait. Un courant les entrainait vers la nuit, vers la chambre où ils recommenceraient à vivre.
Les privilèges de la beauté sont immenses. Elle agit même sur ceux qui ne la constatent pas.
Les êtres singuliers et leurs actes asociaux sont le charme d'un monde pluriel qui les expulse. On s'angoisse de la vitesse acquise par le cyclone où respirent ces âmes tragiques et légères. Cela débute par des enfantillages; on n'y voit d'abord que des jeux.
Il est de ces maisons, de ces existences, qui stupéfieraient les personnes raisonnables. Elles ne comprendraient pas qu'un désordre qui semble à peine devoir continuer quinze jours puisse tenir plusieurs années. Or ces maisons, ces existences problématiques se maintiennent bel et bien, nombreuses illégales, contre toute attente. Mais, où la raison n'aurait pas tort, c'est que si la force des choses est une force, elle les précipite vers la chute.
Les êtres singuliers et leurs actes associaux sont le charme d'un monde pluriel qui les expulse. On s'angoisse de la vitesse acquise par le cyclone où respirent ces âmes tragiques et légères. Cela débute par des enfantillages; on n'y voit d'abord que des jeux.
Les privilèges de la beauté sont immenses.Ils agissent même sur ceux qui ne la constatent pas.
Cette réalité de l'enfance, réalité grave, héroïque, mystérieuse, que d'humbles détails alimentent et dont l'interrogatoire des grandes personnes dérange brutalement la féerie.
A peine entré, on découvrait le désastre. Un arôme funèbre, cet arôme noir, rougeâtre de truffe, d'oignon, de géranium que reconnaissaient les jeunes femmes,emplissent la chambre et gagnait la galerie.
Surtout il fallait coute que coute revenir à cette réalité de l’enfance, réalité grave, que d’humbles détails alimentent et dont l’interrogatoire des grandes personnes dérange brutalement la féérie.