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3,44

sur 1262 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce livre, ou tout l'intérêt de la persévérance !

Si je n'avais pas eu à le lire à l'occasion d'une lecture commune, il serait gentiment retourné sur mes étagères ! Mon dieu, les 200 premières pages sont d'une désolation et d'un morne affligeants. Heureusement que le héros se réveille un peu à la moitié du récit, cela a permis de me sortir de ma torpeur. Malgré tout, je dois avouer que la fin m'a bien plu, l'auteur a réussi à me surprendre (ce n'était pas gagné). Néanmoins, le verdict aurait pu être : tout ça pour ça !

Maxwell Sim, perdu sur les routes, métaphore de sa perdition dans la vie, n'est pas un personnage attachant, pas plus que le marin Donald Crowhurst auquel il s'identifie. L'idée de départ était pourtant intéressante : faire le portrait d'une personne lambda dans ces affres de la vie contemporaine, le divorce, le travail, le burn-out, la relation aux parents… mais en ce qui me concerne cela n'a pas pris.
Lien : http://metaphorebookaddict.w..
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Voilà un livre que j'ai eu envie de lire que par le titre et la couverture. Tout m'attirait, bravo pour le marketing éditorial!
Mais le contenu en soi m'a déçue. Et ça m'a pris un temps fou terminer ma lecture.
Surtout construite à base de monologues qui parfois n'en finissent plus, la narration au "je" nous fait suivre Max Sim, un homme dans la quarantaine qui a un peu raté sa vie et qui cherche à lui redonner un sens. Cette quête de sens débute dans un restaurant de Sidney ou Max croise une mère chinoise et sa fille qui semblent unies par un lien de complicité indestructible. Au fil des pages, Max croise différents personnages qui semblent tous détenir une clé à sa quête identitaire, à sa poursuite du bonheur. D'un marin disparu à la vente de brosses à dents en bois, de la relation amoureuse avec un GPS à la crise de nerfs, la route de Max le confronte à l'homosexualité de son père et ultimement à sa propre homosexualité.
Jusque là, tout va. Même si tout s'étire en longueur. Mais la fin? Qu'est-ce que cette fin? Johnathan Coe n'a-t-il pas été en mesure de trouver un destin à son personnage que c'est la seule façon qu'il a trouvé pour mettre fin au mal-être de Max Sim? J'ai été affreusement déçue par la fin. Tellement que je n'ai pu m'empêché de m'exclamer "QUOI?" à haute voix en refermant le livre. Tout ça pour ça. J'en suis amère.
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Avis mitigé pour ce roman. Je découvre cet auteur et je ne sais pas dire si j'ai aimé ou pas ce roman. Les critiques annonçaient un roman rempli d'humour. Je ne dois pas être sensible à l'humour anglais, à mon avis !
Le quatrième de couverture annonçait que Maxwell Sim est un loser. Pour moi, Maxwell est un paumé, déprimé, un type qui n'a vraiment pas de chance. Il se fait larguer par son épouse, il a du mal à communiquer avec son père, il change de boulot en espérant changer de vie. Au final il parvient à s'accepter. Mais le dernier chapitre fait tout basculer. C'est le chapitre de trop pour moi. Un livre bizarre.
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Ce dernier roman de Jonathan Coe est une déception. Déception d'autant plus grande que la plume de l'auteur britannique a été jusqu'à présent une des plus caustiques de sa génération.
Ici, rien, ou du moins pas grand chose.
D'abord, c'est long... très long. Les pérégrinations de cet homme solitaire sont sans intérêt, à l'instar de sa vie.
Bizarrement, on ne parvient jamais à s'y attacher malgré les invocations permanentes de Coe, les effets de style incitant le lecteur à être ami/ami avec lui, à le suivre jusqu'au bout du voyage.
C'est finalement avec soulagement qu'on arrive au bout de ces 448 pages, non sans la désagréable impression d'avoir patienté tout ce temps pour en arriver à... pas grand chose. La révélation sur les orientations sexuelles du narrateur sont un peu caricaturales, et la pirouette finale ne rattrape pas le reste, tant elle est bâclée.

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L'auteur se perd dans un noeud d'intrigues trop différentes. le roman perd alors beaucoup d'intérêt.
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Jusqu'à un certain point, ce roman m'a plu. Jonathan Coe louvoie avec maestria entre humour, dérision, critique d'une certaine société. J'ai ri tout en me désolant lorsqu'au moment de se faire agresser, notre héros remercie le ciel: enfin un contact humain! Que dire lorsqu'il relève son courrier électronique?... Ce fut une grande scène de rire pour moi. Bref, plus Max raconte sa vie, plus on le plaint tout en se moquant un peu de lui.

Ensuite, l'auteur s'arrange pour que le lecteur connaisse d'autres pans de la vie du héros par divers procédés. À force, je me suis attachée à ce personnage fragile et sensible. J'ai fini par ne plus me moquer de lui.

À mesure de l'avancée du récit, des correspondances, des indices (dont certains donnés très tôt), le lecteur est amené à comprendre quelque chose d'important quant à la famille de Max.
[...]
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Prenez place sur le confortable siège passager de la Toyota hybride de Mr Sim, laissez vous guider par la douce voix d'Emma (le GPS)et rentrez dans la vie très privée de Mr Sim...
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Cela me gêne un peu de critiquer un livre que je n'ai pas pu terminer. J'aime bien l'écriture de Jonathan Coe dont j'ai lu cinq romans avec en particulier de très bons souvenirs d'"Expo 58" et de "Les nains de la mort". le problème de ce Mr Sim est que j'avais vu le film éponyme avant. Pendant ma lecture je voyais le sublime et regretté Jean-Pierre Bacri, parfait dans le rôle titre. Donc plus de mystère pour moi. Et quand j'ai voulu jeter un oeil sur la fin qui nous était réservée, j'ai immédiatement refermé le livre.
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C'est très bien écrit , l'humour est très british mais je ne suis pas entré dans ce roman. Je me suis profondément ennuyé même si parfois j'ai souri aux (més)aventures du héros mais au risque de tomber endormi j'ai du capituler au tiers du roman .
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Très décevant. C'est comme un journal de bord de quelqu'un qui n'a rien à dire. Devient très plate à lire.
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