AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,95

sur 1328 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Avec La charmante librairie des jours heureux, j'avais envie d'une lecture légère entre deux thrillers, envie d'un peu de réconfort en cette période difficile et stressante, envie d'amour et de sentiments dégoulinants.

On fait la connaissance de Nina, passionnée de livres, qui un jour décide de réaliser son rêve et d'ouvrir un camion librairie qui irait à la rencontre des lecteurs. C'est une très bonne idée sur le papier mais Nina, c'est un peu un Pierre Richard ambulant et elle va devoir faire face à bien des imprévus.

C'est léger, frais, drôle bref un très bon roman pour se vider la tête. J'ai aimé partir en Écosse et retrouver cette terre sauvage et ses habitants au grand coeur.

Malgré ça, le roman a quelques défauts : le style ou devrais-je dire l'absence de style m'a dérangé. En effet, j'ai souvent eu l'impression que l'auteure écrivait comme elle parlait, comme si elle jetait directement ses pensées sur la feuille sans essayer de tourner ses phrases ou d'y ajouter un peu de style. J'ai lu le roman en anglais, alors j'espère que pour les lecteurs francophones, le ou la traductrice aura ajouté sa petite touche personnelle.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Nina qui est une battante et qui malgré les obstacles, se bat pour son projet. Surinder aussi est drôle et m'a beaucoup fait sourire grâce à sa répartie. Par contre, le personnage de Marek est terriblement cliché. C'est le stéréotype même de l'européen des Balkans et j'aurai aimé un peu plus d'originalité de la part de Jenny Colgan.

Enfin ce roman parlera à tous les amoureux de la lecture et des librairies. J'aurai aimé plus de références à des livres existants et à la littérature mais j'en demande peut-être un peu trop. C'est une bonne lecture mais je pense qu'elle ne me laissera pas un grand souvenir.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
Commenter  J’apprécie          380
Après La route de MC Carthy, un peu de légèreté ne pouvait pas me faire de mal...

Et bien ce livre ne m'a fait aucun mal... C'est une sorte de lecture romantique avec un zeste de pensée politique (fermeture de bibliothèques, émigration et solitude)

C'est plein de bons sentiments. C'est écrit... sans style.

L'idée était bonne. Un bus libraire itinérante au fin fond de l'Ecosse. Mais la fin en rose bonbon est tellement prévisible.
Commenter  J’apprécie          210
Préparant mon voyage en train à venir je me plonge dans les différents challenges auxquels je participe pour tenter de faire un gros coup. Romance, roman étiquetté feel good, ce peut-être une bonne piste. N'étant pas du tout spécialiste du genre, je file sur Babélio et fouille parmi toutes les listes et critiques. Me voilà partie à la médiathèque avec quelques titres en tête. Mon choix s'arrête sur ce roman "La charmante librairie des jours heureux" qui me permettra non seulement de ne pas voir le temps passer mais aussi de valider cinq challenges!

Quatre heures de train en compagnie d'un roman sans surprise. Nina, bibliothécaire décide de changer de vie suite à des évenements que je vous laisse découvrir. Elle va réaliser son rêve en ouvrant une librairie itinérante dans un van. C'est en Ecosse qu'elle trouvera le véhicule et c'est donc là qu'elle va s'installer. Il y a de beaux paysages, un peu de culture locale, des gens charmants. Sauf vous vous en doutez le prince charmant plutôt revèche! Cela me donne envie de voyager, de boire une bière locale sur fond de musique folklorique, mais mon train ne va pas dans la bonne direction...

C'est doux, gentil, sucré. L'écriture est assez quelconque. Je ne suis pas passionnée mais sereine. Je devine avant les personnages l'histoire d'amour à venir, je ne m'inquiète pas pour la réussite des projets de Nina. Pas d'effort, des petites cellules grises au repos! Je tourne les pages tandis que le train file et ma foi je passe un moment plutôt agréable mais qui ne me laissera aucun souvenir marquant.
Commenter  J’apprécie          130
Je ne sais si c'est un effet secondaire de la pandémie et des confinements successifs, mais les romans étiquetés « feel good » ont le vent en poupe. Ayant la grogne vis à vis de ce recours systématique à l'anglais (qui devient une véritable maladie en France), je préfère quant à moi les appeler romans « doudou », « pyjama » ou « sucre d'orge ». Visiblement, les livres de Jenny Colgan épousent parfaitement la morphologie de ce type d'écrit. Alors un petit « doudou » de temps en temps, pourquoi pas ? Cela me rappelle un peu les histoires d'Enid Blyton (version adulte, car l'on s'embrasse parfois sur la bouche) qui ont pimenté mon enfance. Alors va un temps pour suivre les aventures de cette gentille bibliothécaire, un peu nunuche, devenant une « self made woman » au volant de son camion librairie. Les ficelles sont un peu grosses, les clichés se ramassent à la pelle, mais, que voulez-vous, j'adore les livres, les librairies et les bibliothèques aux rayonnages croulant sous le poids des trésors reliés que je convoite. Dans cette histoire il y a des gentils (très) et des méchants (un peu), une dure réalité socio-économique que l'on peut dompter avec une baguette magique, et une histoire d'amour à rebondissement (sans s car il n'y en a qu'un).
Je ne vous dirai rien de plus sur l'intrigue, d'autant qu'elle se devine déjà dès la première page. Les paysages d'écosse sont brumeux, humides et envoûtants ; les traditions rurales sont un peu rustiques ; les kilts des messieurs très « couleur locale ». Ça se lit. L'écriture est fluide et les jolis rêves sont au rendez-vous si l'on réserve ce genre de lecture à la veillée. Amateurs de thrillers (encore un anglicisme !) abstenez-vous, vous risquez un arrêt cardiaque suite à un ralentissement excessif de fonctionnement de votre organe habitué aux décharges d'adrénaline. Je pense quand même que je ne lirai pas la seconde histoire de librairie de cette auteur ; ma patience et ma bonté d'âme ont des limites ! D'autant qu'après il y a la boulangerie, et pourquoi pas… la mercerie, la chocolaterie…
Commenter  J’apprécie          64
Une jolie histoire qui me fait rêver avec Nina qui quitte tout pour ouvrir une librairie ambulante en Écosse. Au fil des pages, elle fait de jolies rencontres et s'habitue à la vie à la campagne alors que c'est une citadine.

Pour être honnête, j'ai trouvé ce livre plat. Pour moi, il y a beaucoup trop de passages avec des descriptions, ce qui m'a beaucoup ennuyée. de plus, j'ai trouvé que certaines situations étaient complètement saugrenues notamment son histoire avec Marek et les allers/retours en train. Je n'ai pas été emporté dans l'univers… et je n'ai pas forcément accroché avec les personnages.
Surtout, je m'étais fait une idée sur un des personnages avec les descriptions de l'autrice.. Lennox la cinquantaine alors qu'à la fin, il a la trentaine et super sexy. J'ai dû rater quelque chose !

J'adore les feel good mais là, grosse déception.

Commenter  J’apprécie          40
J'avais envie d'un bon roman feel good, qui me fait voyager ! J'ai donc opté pour ce livre audio @audible_fr de Jenny Colgan

Nina est une jeune bibliothècaire de Birmingham. Tout se passe très bien dans sa vie : elle aime beaucoup sa colocataire, elle a du temps pour s'adonner à la passion, la lecture et s'entend très bien avec ses collègues. Jusqu'au jour où un plan de licenciement prend forme a la bibliothèque et que son emploi est menacé. La seule chose que Nina sait, c'est qu'elle veut continuer à travailler avec les livres. En tombant sur une petite annonce, elle décide de partir pour les Highlands en Ecosse afin de rencontrer un vieux monsieur qui vend son van atypique. Elle pourrait faire de ce petit camion, une librairie itinérante, originale !

Cette histoire est de base très alléchante et prometteuse : une jeune femme qui plaque toute sa vie pour se lancer à son compte et achete un van pour en faire une librairie ambulante, et qui parcourt les routes sinueuses écossaises. Sur le papier, c'est sympathique. le rapport à la littérature est bien amené et ravira tous les amoureux des livres. Et même si j'ai trouvé dommage que les références litteraires n'existent pas, la thématique de la lecture via ce van-librairie apporte une touche colorée au récit.

Grâce à ce roman, on voyage instantanément en Ecosse. Tout y passe : de la description des paysages enchanteurs des Highlands aux spécialités culinaires en passant par le folklore et les traditions écossaises...on s'y croirait !

Cependant, je m'attendais à lire un bon roman "feel good" avec des thématiques intéressantes et ça n'a malheureusement pas été le cas. Plus je tournais les pages, plus le livre devenait un roman à l'eau de rose bien cliché, mièvre et assez banal. L'évolution des personnages m'a beaucoup dérangé : le personnage principal, Nina, est d'une naiveté sans nom. Elle est beaucoup trop ingénue et certaines de ses réflexions et de ses gestes m'ont fait lever les yeux au ciel. On assiste vite a une relation amoureuse triangulaire. le personnage de Marek est une véritable caricature de l'homme réfugié et le personnage de Lennox change beaucoup au cours de l'histoire. Il passe du simple fermier sans intérêt à l'homme grand, sexy, et trentenaire du village.

Bref, ce roman n'a pas été une réussite pour moi. Si vous cherchez une belle roman qui vous fait voyager, allez-y. Sinon, passez votre chemin...
Commenter  J’apprécie          30
Très déçu par ce livre.
C'est le deuxième de l'auteure que je lis - le premier étant La petite boulangerie du bout du monde - et je pense que je n'accroche tout simplement pas à l'écriture (ou la traduction mais j'en doute) de cette autrice.
C'est supposé être un "feel good" mais ce n'est pas du tout ce que j'ai ressenti en le lisant.
Je ne m'attache pas aux personnages, aux relations qu'ils nouent, à l'histoire...
En fait, rien ne me plait sauf quand elle sort de l'histoire, comme pour nous raconter un secret, pour parler de sa relation aux livres et ce qu'ils nous apportent :
« D'après moi, avoir le goût de la lecture signifie qu'on ne se fie pas à sa seule perception. Cela permet d'embrasser d'autres points de vue, de mener d'autres vies. »
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (3021) Voir plus



Quiz Voir plus

La petite boulangerie du bout du monde - Jenny Colgan

Le personnage principal s'appelle...

Neil
Polly
Reuben
Gillian

20 questions
90 lecteurs ont répondu
Thème : La petite boulangerie du bout du monde de Jenny ColganCréer un quiz sur ce livre

{* *}