Edito : Fermeture du Grand Palais à l'automne 2020 pour les travaux nécessaires à l'accueil des épreuves d'escrime et de taekwondo des jeux olympiques de 2024 : un manque criant d'anticipation.
Tolkien, pour les amateurs, tolkienestate.com
Par contre, concernant Vinci : seulement 9 misérables pages sur 156 que comporte ce magazine... !!
Suit une « Visite d'atelier » sur un certain Denis Laget, (je n'ai rien contre lui), 7 pages pour lui tout seul !! et pour rendre hommage à « Ce rêveur au flegme à la Buster Keaton qui pose dans son bric-à-brac organisé de chiffons, peintures, palettes en tous genres et boîtes de cigarillos vides » je dirais plutôt sans exagérer dans son atelier poubelle, capharnaüm crasseux à côté duquel le plus sordide taudis ferait figure de palace.
Découverte : de l'Architecte viennois Otto Wagner (enfin un peu d'air et de beauté) « jamais le dépouillement n'engendre l'austérité »
Plus ça va et plus je ressens que ces magazines d'art qui devraient nous donner à contempler, à admirer, à nous apporter ouverture et élargissement, beauté..., m'envoient des ondes négatives du monde
Par contre, j'ai quand même apprécié le travail d'un certain Mathieu Ducournau. « Peintre de formation, très inspiré par la machine à coudre de sa grand-mère, il a mis au point une technique de peinture avec des fils, qu'il parvient à maintenir verticalement par diverses méthodes. …. de loin, ses oeuvres évoquent des peintures. de près, l'oeil se perd dans les fils. Son travail plaît à nos amateurs de tapisserie comme à de nouveaux collectionneurs ». (une tite recherche Google sur son nom : surprenant et intéressant).
Et puis, si quand même, j'aurais appris avec ces quatre pleines pages de pub de Champagne Roederer, que je pouvais «tutoyer la nature »… pas mal non ?
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Si le travail de Charlie Chaplin se construit, en apparence, loin de la culture savante, il rencontre pourtant les avant-gardes, voire les devance dans le rôle donné au corps même de l’artiste, autant que dans le processus de création. « Il est son peintre propre, soulignait le critique Louis Delluc dès 1921. Il est l’œuvre et l’auteur à la fois. Il a fait cette chose qui n’est possible qu’au cinéma – le dandysme m’excuse ! – C’est-à-dire peindre, modeler, sculpter à même sa propre chair et son visage, une transposition d’art. »
La grande exposition que le Louvre consacre à Léonard de Vinci pour célébrer les 500 ans de sa mort, sera sans doute l’événement artistique de l’année 2019. Elle nous propose une relecture de l’œuvre du grand maître, à la lumière des plus récentes découvertes.
Malgré peu d'informations concernant la vie privée de Léonard, on peut observer une sensualité particulière dans son traitement des corps. Femmes et jeunes gens ont un même caractère androgyne.