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Les belles couvertures des aventures d'Aliette Renoir me faisaient de l'oeil depuis un bon moment. Non, vraiment, qui n'a pas craqué dessus ? Comment ai-je fais pour résister si longtemps... Elles sont justes magnifiques mais un peu comme les couvertures de BD, j'avais peur d'être déçue, que l'intérieur ne reflète pas l'extérieur. Et pour m'ôter les derniers doutes, j'ai ouïe dire qu'un certain Stan faisait une apparition dans la série. Oui. Oui. le Stan de Sophie Jomain ! Il m'en fallait pas plus, j'ai sauté sur l'occasion, je voulais voir ce petit clin d'oeil !

On fait la connaissance d'Aliette Renoir qui est un personnage avec une palette de caractère assez étendue. Elle est à la fois froussarde, grande gueule, pudique et séductrice... un côté femme-enfant qui dénote de ce qu'on attend d'elle. En effet, elle est la fille d'un chasseur de vampires réputé dans ce Paris de 1942, où les SS ne sont pas les seuls à occuper la ville, elle n'est ni forte, ni débrouillarde... bien au contraire. Au départ, c'est à dire jusqu'au 20% du livre j'ai eu du mal à comprendre ses "sautes de caractères", elle est capable d'être une tapette à mouche tout en étant grande gueule face à des protagonistes de hautes importances, est-elle aussi "insouciante" ? Oh oui c'est certain, ce doit être son côté blond :/

Puis, j'ai posé mon livre (pour bosser, non parce que j'ennuyais, hein) et là, je me suis rendue compte à quel point j'étais accro ! Il me fallait vite continuer l'histoire. Addictif.

Cécilia Correia a su vraiment transcrire sa plume au caractère de cette "chipie", c'est vif et bourré de parenthèses comme une copine qui nous raconterait un "tu sais pas ce qui m'est arrivé" en débitant un flot important de paroles (et de cowneries). A côté de ça, nous avons des personnages mâles plutôt intéressants — Lawrence, l'Amerloque c'est la force tranquille, le protecteur — et Sytry plutôt un personnage complexe à cerner, j'avoue l'avoir dés le départ rapproché au personnage de Vlane de KMM... il a ce côté mauvais-gentil indéchiffrable. de quoi nous faire douter dés le départ sur ses vrais intentions envers elle. Aliette entre dans un monde qu'elle croyait connaître mais qui va boulverser sa vie en révélant un peu de son passé. Elle va devoir revoir ses a priori.

J'ai beaucoup aimé la fraicheur d'Aliette, la complexité des personnages secondaires (gentils & méchants), l'enquête qui la mènera vers ses souvenirs enfouis, par contre, j'ai moins aimé la rapidité de la romance au vu de "l'innocence" de la jeune femme et le petit triangle amoureux qui se profile à l'horizon. Mais ça c'est personnel, je sais que la plupart des lectrices en raffolent moi c'est toujours pas le cas ;) J'enchaîne avec le tome 2 car la fin me laisse une question sans réponse ! Qu'est-ce-que ce saladier a pu dire à l'andouille ?!
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Ce livre, ça fait un petit moment qu'il me faisait de l'oeil. Déjà, la couverture est sublime. Premier point positif. Secondement, le résumé fait très envie et promet une lecture pleine de peps et d'humour comme je les aime. Troisièmement, l'auteure est française et c'est édité chez Rebelle, une maison d'édition dont je n'ai entendu que du bien. Vous vous doutez donc que j'avais placé la barre TRÈS haut avant même de recevoir ce livre en cadeau d'anniversaire. Et quand on place la barre trop haut, on est souvent énormément déçue... Sauf que là, ça n'a pas été le cas. Parce que non seulement Les Aventures d'Aliette Renoir a répondu à toutes mes attentes, mais il les a même largement dépassée !

La première chose qui m'a le plus qu'agréablement surprise fut le style d'écriture de Cecilia Correia. Bien sûr je m'attendais à une narration pimpante et entraînante, mais pas forcément à ce que le style soit si agréable et travaillé. Non seulement c'est un vrai plaisir de suivre les péripéties d'Aliette, mais le récit regorge également d'authentiques expressions d'époque toutes plus succulentes les unes que les autres. J'ai de ce fait été plongée à 300% dans l'univers et l'époque du roman dès les premières pages.

Nous suivons donc les péripéties d'Aliette, une héroïne assez spéciale qui ne plaira peut-être pas à tout le monde mais qui a su s'attirer ma sympathie dès les premières pages. Disons surtout que le "la plus brillante des chasseuses de vampires de l'hexagone" qui se trouve sur la couverture est un tantinet exagéré. Bon d'accord, un tantinet beaucoup même ! La jeune femme n'est en effet pas spécialement passionnée par l'entreprise familiale puisqu'elle est un peu trouillarde sur les bords (un peu hein !). Etant un peu trouillarde moi-même (bon okay, énormément trouillarde), je me suis bien reconnue dans les réactions de la jeune femme tout au long du roman. Je ne serais donc pas celle qui lui jettera la première pierre sur cette facette de sa personne puisque je n'aurais certainement pas fait mieux qu'elle. de plus j'ai également beaucoup apprécié son humour, j'ai plus d'une fois éclaté de rire face à ses petites remarques gratinées, ainsi que son charisme indéniable qui saura en charmer plus d'un (moi la première).

Les personnages secondaires ne sont également pas en reste. En effet si ces derniers ne sont pas forcément mis autant en avant que notre intrépide chasseuse, ils en restent tous si bien travaillés qu'ils tiennent bien la comparaison face à elle. Surtout Lawrence et Sytry qui sont les deux protagonistes masculins principaux. Ne nous mentons pas, ils sont tous les deux hautement swoonworthy (c'est à dire séduisants, hot, caliente, au-secours-je-veux-le-même-à-la-maison etc...). Ils ont également tout deux des caractères si radicalement opposés qu'il y en aura forcément pour tous les goûts. Et puisque vous vous le demandez très certainement, mes goûts penchent grandement du côté de Lawrence. Après, j'ai un peu plus de réserves en ce qui concerne le personnage de Sytry qui est assez insaisissable dans son genre. de ce fait j'ai eu plus de mal à m'y attacher et j'ai gardé une certaine distance avec le monsieur tout au long de ma lecture. Peut-être saura-t-il rattraper l'avance que Lawrence a prit dans mon coeur lors du second tome ?

L'intrigue est quant à elle bien menée et le mystère m'est resté entier jusqu'à la fin. le monde développé est également bien plaisant à découvrir et j'ai apprécié de suivre les divers rebondissements et épreuves traversés par nos personnages, rendus encore plus savoureux par les réactions et pensées d'Aliette. Bref le cocktail est explosif et a totalement pris en ce qui me concerne.

Pour conclure, je dirais simplement que ce tome 1 des Aventures d'Aliette Renoir fut un vrai délice ! J'ai adoré ma lecture et j'ai passé un excellent moment grâce à une héroïne haute en couleur et une plume sublime. Je ne pourrais que vous conseiller de vous laisser tenter et de succomber au charme de cette chasseuse de vampires un peu particulière !
Lien : http://altheainwonderland.bl..
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Un super moment passé à dévorer ce premier tome!
Aliette est une anti-héroïne attachante a la gouaille et à la répartie foudroyante. Son argot et son humour m'ont souvent fait rire et j'ai apprécié ses relations avec les deux autres personnages centraux.
L'écriture est fluide, simple, agréable et gaie. C'est bien simple j'ai fini ce livre en quelques heures.
Je me suis laissée entrainer à suivre Aliette dans son enquête à travers les dédales des sous sols de Paris et parmi tous ces vampires.
Lien : http://wheresalicemarie.blog..
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Aliette, gentille Aliette ….

Bon, j'ai mis 4 étoiles, mais en fait j'aurai préféré mettre 3 , 5 étoiles.
Commençons par ce qui ne m'a pas plus : au début, c'est baveux. Tous les mecs (Sytry, Lawrence, Stanislas…) ils sont beaux, ils sont forts, ils sont trop sexy… bref moi ça me sort par les yeux. Et Aliette qui baves, bave (mais le dit clairement elle !). Heureusement, cela s'arrête un peu lorsque l'intrigue se met plus en place (et qu'elle s'envoie en l'air avec un des beaux vampires). Ha oui, puis petite (grosse coquille ?) c'est Winston Churchill et pas Wilson.

À part cela, j'ai bien aimé. Il faut l'avouer Aliette, c'est un peu un boulet quand même : trouillarde, pas doué… rien à voir avec la renommé de chasseur de vampire de ça famille. D'ailleurs le père d'Aliette ne montrera aucun scrupule à s'en prendre à ça propose fille devenue vampire. Les personnages sont bien construits, crédibles et surtout drôles. Les joutes verbales à connotations sexuelles, c'est juste trop marrant. J'ai un peu envie de comparer Aliette à Alexia Tarabotti de la série le protectorat de l'ombrelle de Gail Carriger, le coté trouillarde en plus. Et puis on déteste ceux qu'on doit détester, ne sais pas quoi penser de ceux dont on ne doit pas savoir quoi penser, etc.…

L'intrigue se met bien en place et rapidement, on a vraiment envie de savoir ce qu'il c'est passé et comment ce sont passé les événements de l'histoire. Bref on accroche et on veut savoir comment ça va se terminer.
Le livre est conté à la première personne, mais le style est fluide et assez bien décrit pour qu'on s'immerge dans l'histoire au travers des yeux d'Aliette.

Bref, malgré un côté un peu baveux au début, on a envie de suivre les aventures d'Aliette !
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