Ce recueil en langue normande n’a plus rien à voir avec les œuvres du terroir sacrifiant aux thèmes régionalistes ou folkloristes que l’on avait pu trouver même chez l’auteur à ses débuts. La langue libérée de tout compromis, refusant toutes concessions y compris en elle-même devient alors le merveilleux instrument que présageait L. Beuve s’adressant à son jeune disciple Côtis-Capel : « Vouos pouoraez tout dire d’aveu voute loçais, même voute priyire ».
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