On m'a offert ce livre parce que c'est la suite d'une BD que j'ai (et surtout que c'est Crisse) (et j'aime beaucoup le travail de Crisse)
J'ai eu en le recevant un temps d'arrêt.
Aucun souvenir dudit précédent tome (à part l'illu' de la quat' de couv') (mais effectivement je l'avais chroniqué céans) (pour une fois je regrette de ne pas spoiler/résumer l'histoire dans mes chroniques) ni de l'avoir vu depuis mon dernier déménagement. Ce fut donc une lecture sans filet de souvenirs ni rappel de lecture.
Et donc ça se lit sans problème. On fourmille d'infos, de lieux, d'explications, le lecteur galactique amnésique n'est pas perdu.
Le casting est presqu' entièrement féminin, et comme Crisse les dessine trop bien, elles accomplissent missions, sauvetages ou trahisons en poses lascives et tenues suggestives. Je pense que mon féminisme proteste velu mais mon côté fangirl le réduit au silence.
Une pastille nous annonce la série close. Vu la fin, je dirais plutôt : "mission saga à moult tomes avortée avec succès mon général" (mais c'est certes un peu long pour une pastille). Et c'est peut-être bien dommage.
Et pour conclure ces lignes peu coordonnées (je m'auto flagelle à me relire), chers éditeurs du Lombard, mettez vos coloristes dans les auteurs en titre. Histoire que tout le monde soit identiquement (mal) payé. Ils font autant le boulot que le reste (pour moi, ça me prend bien plus de temps de colorer et saloper mes dessins que f'en faire le trait)
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Gunblast Girls nous raconte l'histoire d'un groupe féminin de mercenaires (les Gunblast Gilrs) qui après s'être séparé de nombreuses années, se reforme pour une dernière mission avec un gros chèque à la clé.
Si l'univers SF et le dessin sont sympa, le scénario est très classique et n'apporte rien qu'on ai déjà vu.
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Koyaanisqatsi, la fin de Gunblast Girl clôt sans brio les intrigues ramifiées du premier volet. Laissant une impression de déjà-vu, le "reboot" est dispensable.
Lire la critique sur le site : BDGest
Les personnages sont bien cadrés avec toujours ce coup de crayon sensuel de Crisse pour les héroïnes. Des méduses électriques, une vamp dans les années 50, un Indien givré qui a des points commun avec Infinity, il faut bien tirer tous les fils de cette histoire qui termine la série. On va regretter Zdenka, la Guêpe, Gretchen et Rodriguez et tous les rebondissements en Crisse majeur.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Avec Koyaanisqatsi, Crisse termine de belle manière ce cycle consacré aux Gunblast Girls. Il nous a offert un bon moment de détente et de divertissement avec ce titre.
C'est un space-opera qui mérite le détour !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Si vous cherchez une série de SF qui sait être prenante sans se prendre au sérieux, avec des héroïnes mignonnes dont l'auteur s'est fait une spécialité, nul doute que Gunblast Girls a de quoi vous séduire. Seul vrai regret : ce sticker sur la couverture qui annonce la fin de la série ! Un diptyque c'est (trop) court et on aurait volontiers embarqué à bord de la Limule pour d'autres aventures...
Lire la critique sur le site : Auracan
Infinity nous a PROJETÉS DANS l'OCEAN PRiMORDIAl. Là OÙ NAiSSENT les MULTIVERS, LES MONDES Parallèles.
(note de la lectrice, cette cascade a été réalisée avec la fonction qui prend en photo ta citation pour la retranscrire. Pour les BD ça ne marche pas très bien)