Confessions d'une radine

Une écriture vive pour dépeindre son gros défaut.
J'avais aimé aussi "La haine de la famille", mais c'était très dur.

Un petit livre très court, probablement autobiographique, sur un défaut majeur de l'auteur : la radinerie.

On apprécie l'autodérision, la lucidité, l'humour de l'auteur sur son travers détestable (et qu'elle-même déteste). Toutefois le personnage devient peu sympathique lorsqu'il profite largement des autres à des fins purement d'économie. C'est ainsi que famille et nombre de partenaires amoureux sont utilisés essentiellement dans le but d'engranger toujours plus d'argent sur son compte bancaire.

« Confessions d'une radine", loin d'être un grand livre, constitue cependant un bon divertissement, facile à lire, et amusant.

Quel vilain défaut la radinerie.
L auteure a le cran de dévoiler ce" péché capital" où paranoïa, mesquineries et suspicions vont de pair avec le manque de générosité.

Un roman court acquis gratuitement que j'ai lu très rapidement sans vraiment en garder un souvenir mémorable.. Il y a beaucoup de mauvaise foi même si certaines situations existent et que nous pouvons rencontrer des personnes aussi radines.Le roman ne m'a vraiment pas plus transcendée que ça... Cependant, je tiens quand même à dire que l'auteure a eu du courage de vouloir écrire sur papier son plus grand défaut et de le décortiquer sous toutes les coutures.

Raconté au 1er degré, avec aucune distance entre la narratrice et CC, sans aucun humour, cela n'a aucun intérêt. Que l'on ait chacun des choses dont nous ne soyons pas fier, certes, mais quelle est la valeur ajoutée de CC si elle me raconte des petites histoires navrantes qui me sont arrivées pour certaines (vol de bonbons, enfant) sans les transcender ou les rendre piquantes.
Je n'ai pas terminé ce livre.

Le martyre d'une radine incapable de surmonter l'idee d'ouvrir son porte monnaie...très très drôle . A faire lire aux personnes concernées! !!!

Une écriture pétillante et une confession drôle, sans faux-semblants

Un livre qui se lit très facilement par sa simplicité et son authenticité. L'auteur dévoile ici une facette de sa personnalité que l'on préférerais taire, par honte ? J'ai apprécié cette lecture, facile à lire donc et aussi très rapide, 160 pages pour un poche c'est peu et c'est écrit assez gros avec pas mal d'espacements. A lire sans se prendre la tête.
Lien : http://meslectures-emmanuell..

J'ai été très déçue par ce livre. Sans doute parce que je m'attendais à autre chose.
Je me suis ennuyée.
Je n'ai pas trouvé de rythme, je ne suis pas entrée dans le monde de l'autrice.
Pour moi il manque quelque chose, ne serait-ce qu'une pointe d'humour... Ça aurait sauvé ma lecture.
Bref, je me suis demandée si, finalement, l'autrice n'était pas radine aussi sur les mots...

C'est le deuxième livre de Catherine Cusset que je lis, après la définition du bonheur. J'ai eu autant de plaisir à lire cette autrice, j'ai retrouvé le style facile à lire et fluide.
En 130 pages, l'autrice nous décrit sa relation à l'argent sous de multiples aspects, enfance, famille, achats, amitiés, nourriture, travail, immobilier, classé en bref chapitres thématiques. Elle fait le tour des manifestations de sa radinerie irrepressible pour s'en désoler "Je la condamne et me bats contre elle. Il me semble que c'est une diminution de l'être. Mais elle est un instinct premier. C'est elle qui fait que je me déteste".
Peu de psychologie dans ce texte, encore moins de sociologie.
L'autrice décrit presque cliniquement ses comportement et ce que cela fait à ses relations familiales, amicales ... car l'argent c'est de la relation aux autres.
J'ai apprécié de retrouver des situations communes comme par exemple le partage le partage de l'addition au restaurant ou le problème des cadeaux pour un radin. C'est assez drôle.