Les Femmes du bout du monde

Les femmes du bout du monde - Melissa Da Costa

Evidemment le dernier livre de Mélissa Da Costa, je l'attendais avec impatience et je l'ai lu dès sa réception.

L'autrice change complètement de décor et nous emmène en Nouvelle Zélande dans un camping géré par 2 femmes Autumn et sa fille Milly. Ce camping est nommé "Mutunga o te ao,", le bout du monde en maori, car il est la terre la plus au sud avant l'océan austral et le pole sud. Un jour, débarque Flore, une jeune parisienne, qui ne demande qu'à travailler quelques heures, contre le gîte et le couvert. Que vient-t-elle faire dans cette région isolée et pourquoi vouloir s'y installer ?
Nous allons suivre ces 3 femmes dans leur vie assez rude de tous les jours. Seules au bout du monde, elles vont s'apprivoiser et veiller les unes sur les autres et petit à petit Flore va s'ouvrir pour nous livrer son histoire.
Nous sommes plongés dans une nature sauvage avec des paysages magnifiques, des sublimes couchers de soleil sur la mer. Les descriptions de la faune et la flore locales sont d'une incroyable beauté.
La plume est travaillée, riche et poétique. Comme toujours avec Mélissa Da Costa, la lecture est agréable et très fluide.
Ce livre sur la maternité, les rapports mère-fille, la préservation de la nature, l'amour, l'amitié, la culpabilité, le pardon, la reconstruction de soi, la confiance, la liberté…nous fait également découvrir la culture maori et ses légendes.
C'est une très belle lecture.🥰

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Un très beau portrait de 3 femmes qui se rencontrent, se découvrent et s'apprivoisent au bout du monde, en Nouvelle-Zélande. Flore la française arrivée là on ne sait pas pourquoi (mais on pressent un lourd passé) et arrive au camp tenu par Autumn, veuve revêche, et sa fille Milly. Chacune a ses secrets. On parle de nature, on parle de beauté, d'animaux mythiques, on parle de solitude, on parle d'amitié et d'amour ici. C'est sans doute un peu lent, certains auraient aimé savoir le passé / passif de Flore plus tôt: pour moi c'est arrivé quand ç devait arriver. On devait d'abord s'installer dans cette histoire, et laisser se tisser tous les liens entre "nos" trois femmes. Un regret: c'est loin ce pays qui semble si beau, dommage.

Si vous me suivez depuis quelque temps maintenant vous savez que j'apprécie particulièrement la plume de cette romancière. Un style qui me transporte, des histoires fortes avec des protagonistes qui ne nous laissent jamais insensibles et qui gardent une place en moi pour très longtemps.

Je n'ai pas craqué à sa sortie pour son nouveau roman tout simplement parce que je vais au Festival du livre de Paris à la fin du mois d'avril et de base il était impossible d'apporter ses propres romans... mais oh joie les "règles" ont changé et il est maintenant possible de s'y rendre avec deux livres, j'ai donc accouru en librairie pour me procurer ce roman qui me tentait tant.

On fait la rencontre de Flore, une jeune femme dévastée qui a fait le choix de s'isoler au bout du monde pour tenter de se faire oublier par les siens. En plein divorce de son mari, Paul, on ressent de suite que c'est une femme blessée qui atterrit en Nouvelle-Zélande et particulièrement dans le camping d'Autumn et sa fille Milly.

Elles vont devoir s'apprivoiser les unes les autres, elles sont toutes les trois des êtres blessées par la vie, dotées d'une résilience parfois insoupçonnée. Ce trio féminin va cohabiter avec la nature néo-zélandaise qui ne fait pas toujours de cadeaux. Les journées sont ponctuées de durs labeurs sur le camping et c'est dans le travail, dans le silence, dans l'abnégation qu'elles vont chacune trouver la force de se relever des épreuves que la vie à mis sur leur chemin.

J'ai aimé que ce roman soit enrichis par les mythes maoris, on respire à plein poumons, on voyage aux côtés de ses trois femmes, on surveille la nature, on rêve de nager avec les dauphins, d'apercevoir les manchots aux yeux jaunes. Je n'avais qu'une envie c'est de retourner, chaque jour de ma lecture, au côté de Flore, Milly et Autumn.

J'ai eu un coup de coeur pour ce roman, pour la sororité qui en résulte, pour le calme qu'il emmène dans son sillon et des tempêtes intérieures que nous traversons avec ses trois femmes du bout du monde.
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Embarquement immédiat. Destination : le bout du monde. Ah, ça existe vraiment ? Oui, direction la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région des Catlins. Là, vous posez vos bagages dans ce camping géré par une mère et sa fille. Face à la mer, où droit devant émerge le pôle Sud. Pourquoi un tel voyage ? Ce n'est pas un voyage. Mais une fuite : l'histoire d'un désespoir qui vient s'échouer à côté des lions de mer et des manchots aux yeux jaunes. Vous trouvez ça glauque ? Que nenni. Vous allez être surpris. Si, si je vous assure. Au programme : découverte de la culture et des légendes Maoris, navigation dans une eau turquoise, en filigrane une jolie histoire d'amour, bien sûr quelques tempêtes (elles font partie du décor) mais, surtout, ensorcellement dès les premières lignes et, à l'arrivée, un périple magnifique. Dépaysant ? A coup sûr. Rafraichissant ? Aussi. Mais pas que. Nous recevons aussi une leçon sur l'écologie (et ça ne fait pas de mal), une leçon à vivre librement notre désir de maternité (ça nous déculpabilise) et surtout nous nous évadons. Par les temps qui courent, qu'est-ce que ça fait du bien. A dévorer tout cru.

Un voyage vertigineux à l extrême pointe Sud de la Nouvelle Zélande ou Antumm et sa fille Milie vont accueuillir Flore, une jeune française débarquée de Paris en quête de redemption.
Toutes les trois, vont se découvrir , s‘entraider, et panser les plaies de leurs blessures secrètes .
Melissa Da Costa nous offre une nouvelle pépite en se basant de son expérience personnelle à travers la description de paysages uniques à l‘autre bout du monde

Flore, jeune parisienne, rompt ses attaches après une déception amoureuse qui nous sera décrite au cours de l'ouvrage pour se rendre en nouvelle Zélande et tenter une reconstruction aux antipodes géographiques de ses déboires. Elle y rencontre, au sud du pays, face au pôle sud deux femmes (Autumn et sa fille Milly) avec lesquelles elle va faire la paix avec elle même dans un cadre naturel somptueux et d'une diversité animale exceptionnelle. Ce trio nous entraîne dans une aventure ou la connivence et l'amitié sont l'épine dorsale d'une narration captivante, bien construite qui régale le lecteur.

Magnifique !!!
Melissa Da Costa est une auteure que j'adore.
Elle a le don de nous transporter au bout du monde on s'y croirait, on aimerait vraiment y aller et découvrir la région des Catlins.
Ces personnages sont hyper attachants.
Comme pour ces précédents romans "Je revenais des autres" & " Les douleurs fantômes" j'espère vraiment que nous aurons droit à la suite des aventures de Flore, d'Autumn et de Milly.
Très beau roman.

Pour fuir sa vie parisienne Flore part au bout du monde, à la pointe de la Nouvelle-Zelande.
Là-bas vivent Autumn et sa fille Millie qui tiennent un camping à l'année. C'est ici que la française pose ses bagages, le gîte et le couvert contre quelques heures de travail. Beaucoup passent découvrir le bout du monde, personne ne reste, qui voudrait et pourquoi surtout ?
Entre ces 3 femmes blessées vont naître l'entraide, la solidarité, l'écoute et bien davantage !

Ouvrir un livre de Melissa Da Costa est la certitude, pour moi, de passer un beau moment ! La plume est toujours très addictive, douce et en même temps percutante et très juste dans les émotions !
La Nouvelle-Zélande est pour moi le personnage principal de ce roman ! C'est d'ailleurs ce qui m'a le plus plu au fil des pages, découvrir ce pays qui semble si époustouflant ! Les paysages, la faune et la flore, le climat tantôt doux tantôt hostile, la douce paix qui succède aux tempêtes. Bref vous l'aurez compris j'ai adoré !
En ce qui concerne les personnages féminins ils sont comme on les aime, complexes, abîmés par la vie mais très attachants et dotés d'une grande force de résilience !
Les femmes du bout du monde ne sera pas mon préféré de l'autrice mais j'ai passé un joli moment de lecture !

Et vous ? Vous l'avez lu ? Quel est votre préféré de Melissa Da Costa ??

Quel plaisir d'emmener Mélissa avec moi en vacances.

Elle signe son sixième roman et nous offre un voyage délicieux et une belle leçon de vie.

Voyage, évasion, reconstruction.

En fuyant Paris, Flore abîmée par la vie décide de partir à l'autre bout du monde, à la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, au coeur d'une nature sauvage. Là-bas, elle rencontre Autumn et sa fille Milly, propriétaires d'un camping Mutunga o te ao, qui signifie le bout du monde en maori. Flore va tenter de laisser ses démons et sa culpabilité derrière elle.
Quel lien va unir ces trois femmes ?
Mélissa nous entraîne dans un sublime voyage avec un décor magnifique aux côtés de trois femmes cabossées qui vont se reconstruire en pleine nature.
Dès le début, je me suis accrochée à ces trois femmes fortes qui vont s'apprivoiser au fil des pages. Elles vont faire la paix avec elle-même.
Cette histoire démarre lentement, car évidemment qu'il y a des longueurs, néanmoins c'est ce qui apporte une touche magique et un zeste de profondeur à cette jolie histoire.
Ce roman est une bulle de douceur. Trois portraits de femmes indépendantes et puissantes. Trois histoires et trois destins.
Des descriptions exotiques et des paysages à couper le souffle. Quant à la plume de Mélissa, elle est sublime et d'une telle finesse que le lecteur ne décroche pas.
J'ai été subjuguée, touchée et envoûtée. Les thématiques sont fortes et je me suis attachée à ces trois héroïnes.
C'est un joli condensé d'émotions.
Ce roman est une ode à la femme, à la nature, à la résilience et à la reconstruction.
Une fois de plus, Mélissa a su toucher mon coeur de lectrice !
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Flore, jeune Française en plein divorce et marasme émotionnel, s'engage comme bénévole dans un camping à la pointe sud de la Nouvelle Zélande. Une histoire de reconstruction, de quête identitaire, de paix intérieure à (re)trouver. Un roman ”feel-good” intelligent, parfois un peu sentimental ou facile, mais qui se lit d'une traite et avec plaisir.