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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Relecture de Nazis dans le métro, lu une première fois en 1996 lors de sa réédition dans la collection LIBRIO, 10 FF dit la couverture comme une vieille nostalgie de la monnaie d'autrefois.
Roman étonnant, réussi, truculent, plein d'humoiur, qui n'a pas pris une ride, ni perdu une goutte de son actualité.
Gabriel enquête cette fois dans le Marais Poitevin.
André Sloga, un écrivain de 78 ans, traquant les thuriféraires de la bête que l'on croyait définitivement disparue après la victoire de 1945, a été agressé et trouvé pour mort dans le parking de sa résidence.
Un court entrefilet du Parisien donne l'information au Poulpe dont c'est l'écrivain favori.
Il a lu de lui Les Innocents, Week-End à Nagasaki, Moisson d'enfer, A contre courant.
Sloga doit livrer à son éditeur un manuscrit sur une tueuse en série, assassinée à son tour, La lune au Marais.
Gabriel suit cette piste pensant que les agresseurs de Sloga sont les auteurs du crime décidés à faire taire l'auteur qui risque de mettre la police sur leurs traces.
En suivant les itinéraires de Sloga avant sa mort, Gabriel découvre les liens qui se tissent dans l'ombre entre les extrêmismes, qu'ils soient de gauche ou de droite, dans un contexte où, après la chute du mur et la disparition de l'URSS, des frontières idéologique tombent.
En lisant le paragraphe intitulé, "cinquante ans après ils reviennent, les messagers de la haine", le lecteur constate que "les liaisons dangereuses" dénoncées par Sloga, sont tuojours d'actualité si l'on pense Zemmour, Finkielkraut, Onfray, Polony et consorts prenant un malin plaisir à taper sur la soi disant bien pensance (comprendre ceux qui ont le tort de ne pas penser comme nous) pour enfumer leurs lecteurs.
A lire et à faire lire.
Lien : https://camalonga.wordpress...
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Relecture de Nazis dans le métro, lu une première fois en 1996 lors de sa réédition dans la collection LIBRIO, 10 FF dit la couverture comme une vieille nostalgie de la monnaie d'autrefois.
Roman étonnant, réussi, truculent, plein d'humoiur, qui n'a pas pris une ride, ni perdu une goutte de son actualité.
Gabriel enquête cette fois dans le Marais Poitevin.
André Sloga, un écrivain de 78 ans, traquant les thuriféraires de la bête que l'on croyait définitivement disparue après la victoire de 1945, a été agressé et trouvé pour mort dans le parking de sa résidence.
Un court entrefilet du Parisien donne l'information au Poulpe dont c'est l'écrivain favori.
Il a lu de lui Les Innocents, Week-End à Nagasaki, Moisson d'enfer, A contre courant.
Sloga doit livrer à son éditeur un manuscrit sur une tueuse en série, assassinée à son tour, La lune au Marais.
Gabriel suit cette piste pensant que les agresseurs de Sloga sont les auteurs du crime décidés à faire taire l'auteur qui risque de mettre la police sur leurs traces.
En suivant les itinéraires de Sloga avant sa mort, Gabriel découvre les liens qui se tissent dans l'ombre entre les extrêmismes, qu'ils soient de gauche ou de droite, dans un contexte où, après la chute du mur et la disparition de l'URSS, des frontières idéologique tombent.
En lisant le paragraphe intitulé, "cinquante ans après ils reviennent, les messagers de la haine", le lecteur constate que "les liaisons dangereuses" dénoncées par Sloga, sont tuojours d'actualité si l'on pense Zemmour, Finkielkraut, Onfray, Polony et consorts prenant un malin plaisir à taper sur la soi disant bien pensance (comprendre ceux qui ont le tort de ne pas penser comme nous) pour enfumer leurs lecteurs.
A lire et à faire lire.


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Un livre excellent de tous points de vue, mêlant humour, politique, ironie, philosophie... le style de Didier Daeninckx est réellement enrichissant, riche en figures de styles et sous-entendus! Un roman policier-politique incontournable
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trouvé dans la boîte à livres du village de Coulon - Marais poitevin -, j'ai lu ce volume des enquêtes du Poulpe avec plaisir, tout en regrettant un tout petit peu que le côté folklorique du personnage soit aussi sobre.
l'enquête nous emmène d'abord dans le Marais, et j'ai quand même tiqué à la description d'une aubergiste du cru ; jamais vu de telles personnes par là-bas :) préjugé parisien???
finalement la piste de Bonvix ( pourquoi inventer ce nom??? il y a Damvix, mais ça ne correspond pas au souvenir que j'ai de ce village, peur de mettre les notables du coin mal à l'aise?) ne sera qu'un détour, une occasion de faire un bon repas agrémenté de bière locale (il y en a toute une collection, A Goûter!). une occasion de nous présenter le journaliste provincial...
et l'enquête revient à Paris, d'où le métro du titre.
la voiture de Cheryl subit quelques avanies, la collection de PV s'agrandit, Léon, Gérard, Vlad, Maria, Gilbert sont au rendez-vous, sans eux, le Poulpe ne serait pas tout à fait le Poulpe.
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C'est un véritable plaisir que de lire ce très court roman. A déguster tranquillement, comme un bon vin.
Le style est plaisant, l'humour frôle l'ironie, le sujet est brûlant, les faits d'actualité. En outre la ballade dans Paris est fort agréable.
Une heureuse découverte.
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C'est pas cher et ça vaut plus. Je rédige une critique sur l'opus écrit par Didier Daeninckx car c'est un auteur que j'adore et c'est mon histoire préférée dans la série. L'idée de départ est vraiment bonne, la "négritude" réinventée. le cahier des charges est minimaliste : un personnage principale surnommé le poulpe en raison de ses bras immenses, qui aime les bonnes bières, les bécanes, les livres et trouve des affaires à résoudre dans les faits divers de dernière catégorie (en apparence) en petit déjeunant au "pied de porc à la sainte-scolasse". Créé par Bernard Pouy, chaque épisode est écrit par un auteur différent. Il y a du très bon, du moins, mais je n'en ai pas lu de très mauvais (je ne les ai pas eu tous entre les mains). Je recommande chaudement et si vous ne trouvez pas en neuf, il y en a plein sur le marché de l'occasion. Un librio chez Emmaüs, au chiffonniers de la joie ou sur un marché, c'est 0.5€ maximum. ça serait bête de se priver d'un bon "film".
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