À l'aide d'un dessin qui fait penser à Tardi, un polar bien sympathique, malgré une intrigue quelque peu alambiquée...
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(LX971) Pour moi, cet album est un beau raté. On dit souvent que le monde est petit mais là, dans ce polar mal ficelé, les coïncidences sont plus qu'énormes. Au final, l'histoire n'est pas crédible et on a le sentiment d'une intrigue un peu bâclée. Les dessins manquent de justesse, en particulier sur le physique des personnages qui semblent tous avoir plus ou moins le même âge. Une BD dont on peut faire l'économie à mon avis.
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Excellent polar noir. J'ai adoré les dessins, l'histoire, et le final ! Comme annoncé : "une histoire qui se termine bien, c'est qu'elle est inachevée".
Coïncidences, vengeance, violence, nostalgie, trahison et manipulation étalés sur la petite semaine que dure le récit. Un bijou. La dernière case comme un uppercut !
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Un bon polar, malgré un dessin en-deçà.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Un bon polar à l'ancienne, c'est aussi un récit dont le scénario trace quelques fausses pistes et dont la narration pousse le lecteur à partager l'aventure avec le personnage principal.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Aussi efficace que sombre, Matin de Canicule réservera un bon moment de lecture aux amateurs du genre.
Lire la critique sur le site : Auracan
Notre histoire avait duré une quinzaine de jours incandescents que j'avais enfouis sous un épais matelas d'années inutiles.
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Elle avait trois ans de plus que moi, ce qui pèse des siècles au sortir de l'adolescence.
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Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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