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Je ne suis pas une grande fan des nouvelles et j'ai été un peu déçue de réaliser que ce livre n'était qu'une compilation de trois nouvelles et non pas un roman comme je le pensais. La 1e, au sujet de la tortue, m'a clairement laissée sur ma faim. La 2e ne m'a pas emballée plus que cela non plus. La 3e est plus intéressante, car c'est un fait divers réel et comme toujours, j'aime quand la littérature se mêle à la réalité et que je passe du temps ensuite à enquêter sur le vrai du faux. Il y a un peu peu de Pierre Bellemarre dans cette 3e nouvelle. Et cela donne envie d'aller visiter le British Museum ! :-)
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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J'ai beaucoup aimé ce roman de trois nouvelles ! J'ai largement préféré la première histoire qui je trouve est très belle, très pure aussi. le style de Dahl est très addictif je trouve.
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Ce livre contient trois nouvelles de Roald Dahl. La première, "L'enfant qui parlait aux animaux", raconte comment un jeune enfant bien courageux sauve une tortue géante des griffes d'adultes mal intentionnés. La seconde, "L'Auto-stoppeur" nous narre les aventures d'un écrivain et de l'auto-stoppeur un peu curieux qu'il a chargé. Ce dernier est un maître-de-la-main. A vous de découvrir de quoi il s'agit à la lecture! Et la troisième "Le trésor de Mildenhall" se passe durant la seconde guerre mondiale et explique comment un humble ouvrier agricole a découvert, en labourant le champs d'un autre, à sa demande, le plus grand trésor jamais découvert en Angleterre, un trésor datant de l'époque romaine! Cette dernière histoire est basée sur un fait divers qui a inspiré l'auteur.

Ce livre est intéressant par la morale que chaque petite histoire laisse entendre au lecteur. Les nouvelles sont bien écrites, mais ce n'est pas mon livre préféré de l'auteur. Un livre jeunesse que nos enfants devraient néanmoins apprécier. Les histoires sont courtes, font voyager et on n' a pas le temps de s'ennuyer.
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Trois nouvelles fort différentes où Roald Dahl montre l'étendue de son talent de conteur. Quelque soit le thème Roald Dahl excelle à nous conter une histoire fantastique, un faits divers, une nouvelle contemporaine.
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Des trois histoires contenues dans ce recueil, une seule met un jeu un enfant. C'est bien évidemment celle qui lui donne son titre. Les deux autres n'incriminent que des adultes, ce qui surprend un peu dans un livre pour la jeunesse.

Le narrateur - qui pourrait être l'auteur lui-même puisqu'il se présente comme écrivain dans deux des textes - est tour à tour témoin ou partie prenante des évènements qu'il raconte.

Dans le premier texte, L'enfant qui parlait aux animaux, il est en vacances en Jamaïque. Alors qu'il sirote un verre et lit un livre sur sa terrasse, il est attiré par un remue-ménage sur la plage. Des pêcheurs ont capturé une gigantesque tortue qui git, les pattes en l'air, sur le dos. Les vacanciers accourent et se mettent ensemble pour tracter le vénérable animal jusqu'aux cuisines de l'hôtel. Quand un cri d'enfant les arrête net !

Dans le second, L'auto-stoppeur, il prend en stop un étrange personnage qui le met au défi de pousser sa nouvelle voiture au maximum. Ce qui lui vaut bien évidemment d'être arrêté par la police. le curieux talent de son passager lui permettra-t-il de passer à travers les mailles du filet ?

Dans le troisième, le trésor de Mildenhall, il relate l'histoire vraie d'une découverte archéologique d'importance *.
1942, dans l'est de l'Angleterre. Alors qu'il charrue un champ pour le compte d'un autre fermier, Gordon Butcher tombe sur une pièce de métal couverte d'une couche verdâtre. Inquiet, il stoppe tout et court prévenir son employeur du jour. Celui-ci ne se sent plus quand ils mettent à jour une trentaine d'objets et qu'il comprend qu'il a sous les yeux un véritable trésor en argent massif datant de l'époque romaine. Rusé, il fait croire à Gordon qu'il s'agit de vieux trucs rouillés...

De ces trois récits, seul le premier m'a semblé adapté aux plus jeunes. David, le jeune garçon, affronte Goliath, ici la cruauté des hommes à l'encontre des animaux. Si l'enfant trouvera la fin incroyable, l'adulte sera, quant à lui, un peu désabusé puisque l'auteur laisse entendre - à raison malheureusement - que l'homme est irrécupérable et que la nature, pour survivre, doit vivre loin de lui !

Le deuxième - mon préféré - est bien plus flippant qu'il n'y parait au premier abord. En effet, même si en apparence l'histoire se termine bien, le lecteur adulte trouvera cette relation entre l'automobiliste et l'auto-stoppeur assez malsaine et ne pourra s'empêcher de penser que, tôt ou tard, tout va se retourner contre le narrateur. A la lecture de ces quelques pages, on ne peut que s'imaginer le thriller qui pourrait suivre...

Quant au dernier, il met en lumière un autre des travers de l'homme : sa cupidité. La morale est en partie sauve puisque le "méchant" est en partie puni et que le "gentil" est en partie récompensé ! Si l'auteur croque à merveille les personnalités des protagonistes, cette histoire ne m'a pourtant pas emballée. Il y manquait le côté merveilleux de la première ou celui bien plus inquiétant de la seconde !

En conclusion, un avis mi-figue mi raisin pour ce recueil du maitre. Et ce ne sont pas les quelques illustrations de Morgan qui me rendront plus enthousiaste. de loin, je préfère celles de Quentin Blake, plus vivantes et bien moins effrayantes.

* Ces découvertes sont conservées au British Museum de Londres.

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Une énorme tortue gît sur la plage, la carapace contre le sable et les pattes battant l'air désespérément. Des pêcheurs viennent de la capturer. Une telle prise est rare. le directeur de l'hôtel voisin leur en a promis un bon prix. Mais la bête intéresse aussi les touristes qui se pressent autour d'elle, qui pour en manger la chair, qui pour en faire un trophée. C'est alors qu'une petite voix se fait entendre, celle de David. L'enfant met toute son énergie à défendre l'animal condamné. Alors que tous le mettent en garde contre sa dangerosité, il fend la foule et passe ses bras autour du cou de la tortue, qui s'appaise aussitôt. le public assiste, stupéfait, à un improbable dialogue et, convaincus par un important dédommagement financier promis par le père de David, le directeur et les pêcheurs acceptent de rendre la tortue à l'océan. Mais entre l'enfant et l'animal s'est créé un lien que rien de pourra rompre.

Seul contre tous, le petit David incarne le courage et la détermination qui parviennent à inverser les situations les plus périlleuses. Mais pour défendre sa juste cause, l'enfant possède un sérieux atout : la confiance de ses parents qui ont reconnu dans son amour des animaux une base de sa force de caractère. Cependant, ce soutien serait bien moins efficace s'il ne s'accompagnait des moyens financiers capables de vaincre des résistances insensibles aux discours les mieux prononcés. le lecteur, lui, se sentira surtout concerné par les réflexions du narrateur témoin de la scène : « Quant à moi, j'écoutais ces êtres humains parler de tuer, de manger et d'apprécier le goût d'un animal qui paraissait, même sur le dos, rempli d'une extraordinaire majesté. Une chose était certaine, cette tortue était plus âgée qu'aucun d'entre eux… Et maintenant, elle gisait là, renversée sur cette plage, attendant d'être sacrifiée pour de la soupe et du bifteck… Elle tendait son vieux cou ridé et tortillait son énorme tête, comme si elle cherchait quelqu'un qui lui expliquerait pourquoi on la maltraitait ainsi. » Mais apparemment rare sont ceux qui, comme le petit David, seraient capables de la comprendre. Et la fin de l'histoire laisse entendre que ce don exceptionnel ne peut s'exercer que loin de l'insatiable civilisation humaine. Doit-on le déplorer, s'y résigner, ou refuser une telle conclusion ?


Lien : http://libr.animo.over-blog...
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Toujours dans mon objectif de lire des auteurs classiques de la jeunesse, je me suis lancée dans la lecture de ces deux petits ouvrages ma foi très sympathiques !

Mais je dois dire que Matilda est indétrônable pour le moment !

Entre les deux j'ai un peu plus aimé La girafe, le pélican et moi, car je me suis un peu plus approprié l'histoire, elle m'a plus parlé alors que je pensais que ce serait l'inverse.

Je croyais que L'enfant qui parlait aux animaux serait celui que j'aimerais le plus car j'aime beaucoup ce genre d'histoire d'interactions particulière et au final eh bien elle est peu passée à la trappe :/ Elle fut bien mais moins que le premier cité.

Je dois dire aussi que je compare avec Matilda mais ce n'est pas comparable en vérité car ces livres ci font entre 69 et 129 pages alors que Matilda en fait plus de 300, l'attachement à l'histoire et au personnage et donc beaucoup plus profond et facile qu'avec les petits formats.

J'ai tout de même mis 5/5 car ce sont de très bonne histoire et en me mettant à la place des enfants, je sais qu'ils passeront un très bon moment avec ces deux livres !
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Un tout petit livre dévoré en moins de deux heures, en fait il n'y a pas une mais trois histoires dans ce petit livre de 120 pages qui contient aussi des dessins dans un style de gravures en noir et blanc.
Les trois petites histoires sont sympathiques.
Je pense que le format pourra être apprécié par des enfants assez jeunes qui lisent depuis peu en raison de sa facilité de lecture (sauf quelques noms/prénoms dans la troisième nouvelle) et du format court de ces trois nouvelles.
Les trois nouvelles sont:
- L'enfant qui parlait aux animaux
- L'auto-stoppeur
- le trésor de Mildenhall
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Trois nouvelles complètement différentes dans ce recueil.
D'abord une sorte de conte écologique, merveilleux et poétique où un enfant veut à tout prix protéger une tortue contre la cruauté des adultes puis disparait mystérieusement. Ensuite deux nouvelles plus réalistes : l'histoire d'une rencontre entre un automobiliste écrivain et un auto-stoppeur au travail tout particulier nécessitant une habileté exceptionnelle et enfin Le Trésor de Mildenhall découvert par un ouvrier agricole détaché et un propriétaire cupide qui tentera de le garder jalousement.
On retrouve ici le talent de conteur de Roald Dahl qui nous entraîne dans des histoires très originales, où rien n'est vraiment attendu ni même les personnages aux fortes personnalités (accentuées par les illustrations de Morgan, très expressives) qui prennent vraiment vie sous sa plume.
Petite préférence pour la 2e nouvelle (l'Auto-stoppeur).
Dès 11, 12 ans jusqu'à l'âge adulte.
Peut bien se prêter à la lecture à voix haute je pense (surtout les deux premières nouvelles).
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Trois petites nouvelles joliment écrites même si j'avoue avoir eu une préférence pour la deuxième ( " L'auto-stoppeur " )
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